Ah ok... c'est difficile de comprendre la remarque de Syl, sans savoir de quel problème il partait au départ

(peut-être qu'il bougeait d'avant en arrière !

). Vois-tu de quel exo de Brahms il parle ? Je ne les connais pas du tout.
Oui le buste suit le mouvement de "machine à écrire"
Au début on fait ça spontanément (peut-être pour mieux regarder ses mains ?

), puis quand le texte est su, il arrive qu'on laisse les mains aller gambader toutes seules sans "aller avec elles", le buste devient un obstacle, et on perd l'aisance qu'on avait en déplaçant le buste (sans décoller du siège lol), il faut alors penser à "rajouter" le mouvement du buste consciemment.
On l'utilise aussi dans l'op.10 no.1, il faut que je voie si ça ne pourrait pas m'aider aussi dans la partie centrale de l'op.25 no.5.
En fait ma remarque initiale allait un peu plus loin que ça : il ne faut pas se dire : ohlàlà ma main ne fait pas la voûte, oh mon 5e est tout recroquevillé ou se relève sans que je le veuille, oh mon dos est statique, etc. si on ne détecte pas en plus autre chose qui ne va pas (qualité du son insatisfaisante, manque d'aisance, crispation qui empêche une liberté recherchée, etc.). Il ne faut pas essayer de de corriger quelque chose "a priori" sans savoir ce que l'écoute veut corriger. Si ça se trouve on imagine des trucs et tout va bien en fait

, ou bien on cible le mauvais problème.
fab_74, tu comptes continuer la prépa l'année prochaine ou te réorienter
Un conseil qui t'aidera peut-être : dans les oeuvres dramatiques et les passages où l'on veut créer une tension expressive, il faut que le corps reste toujours détendu, il y a une dissociation mentale pas toujours facile à opérer . On a plus l'impression d'être expressif en étant en train de se tordre de douleur et de crispation des doigts/mains/bras au milieu de passages chromatiques

, alors qu'en fait on gère mieux la musique si on est tout à fait relax

. C'est un peu paradoxal
