suis je le seul dans ce cas?
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suis je le seul dans ce cas?
Voilà je m'explique, je n'arrive jamais à faire un morceau entier sans me tromper et c'est toujours à des endroits différents, c'est franchement agaçant car pas moyen de faire une pièce sans erreur, y a toujours un truc...et donc je voulais savoir si j'étais le seul dans ce cas ou est ce que cela arrive souvent aussi chez vous et est ce dû au fait que fait environ 2 an1/2 de piano voir 3?
- Rockmaninov
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Re: suis je le seul dans ce cas?
C'est dû au manque de travaille, plus précisément, tu ne joues Pas assez tes morceaux lentement et tu ne penses pas à répéter les passages délicats plusieurs fois.
Il te faut aussi de l'assurance.
Enfin, c'est ce que je pense...
Il te faut aussi de l'assurance.
Enfin, c'est ce que je pense...

J'ai toujours aimé les pommes vertes.
Re: suis je le seul dans ce cas?
Peut-être la difficulté des oeuvres est-elle tout simplement mal choisie ?
Si c'est le cas, acquérir les bases te prendra plus de temps, et ton "cadre" de travail sera moins confortable.
Si c'est le cas, acquérir les bases te prendra plus de temps, et ton "cadre" de travail sera moins confortable.
Re: suis je le seul dans ce cas?
C'est normal... tout le monde passe par là, c'est sûr si tu te compare à des pianistes professionnel qui ont 20 ans de piano dans les doigts plusieurs heures par jour tu as l'impression de mal jouer... Le tout c'est de ne pas y penser, et de ne pas se focaliser sur les fautes. Plus tu redouteras les fautes plus les fautes arriveront. Pour rester serein il faut connaitre son morceau. Savoir le prendre d’à peu près n'importe où, avoir des points de repère mélodiques et harmoniques (nom des notes, accords, gammes etc)
Will you bite the hand that feeds you? Will you stay down on your knees?
Re: suis je le seul dans ce cas?
Pendant le travail il faut essayer de ne pas répéter les mêmes erreurs. Si un passage donne lieu toujours aux mêmes erreurs, le reprendre très lentement, essayer de bien écouter ce qui est "juste", de visualiser la position des mains, travailler mains séparées, puis ensemble, puis séparées, décortiquer le passage en jouant aussi ce qui vient juste avant et ce qui vient juste après, puis retravailler par petits bouts le fragment, bref essayer plusieurs méthodes pour débloquer ce qui fait qu'on se trompe toujours au même endroit. C'est peut-être l'aspect le plus ingrat, en apparence, du travail au piano, mais aussi le plus utile, petit à petit tu prendras le réflexe de ne plus laisser passer ces erreurs et de les corriger beaucoup plus tôt. Souvent on s'attache à ces corrections beaucoup trop tard dans le processus d'étude du morceau, parce qu'on a envie d'avancer dans le morceau, on se dit "je corrigerai ça plus tard", et en fait ce n'est pas une bonne méthode, à mon avis. Je l'ai beaucoup faite, cette erreur de jugement, donc c'est d'expérience mon petit conseil
.

Re: suis je le seul dans ce cas?
non tu n est pas tout seul
des fois j ai envie de péter le piano tellement ca m 'énerve
surtout la note fausse alors qu il n y a aucune raison de la faire ou pire la dernière note ou tu te plantes alors que t as tout fait bon jusque la arrghhh
faut s'accrocher et travailler encore et encore
des fois j ai envie de péter le piano tellement ca m 'énerve

surtout la note fausse alors qu il n y a aucune raison de la faire ou pire la dernière note ou tu te plantes alors que t as tout fait bon jusque la arrghhh

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Re: suis je le seul dans ce cas?
Ce conseil est fondamental.Oupsi a écrit : Souvent on s'attache à ces corrections beaucoup trop tard dans le processus d'étude du morceau, parce qu'on a envie d'avancer dans le morceau, on se dit "je corrigerai ça plus tard", et en fait ce n'est pas une bonne méthode, à mon avis. Je l'ai beaucoup faite, cette erreur de jugement, donc c'est d'expérience mon petit conseil.
Tous les pianistes sont concernés par ce problème.
On n'en sort jamais, on ne peut pas s'empêcher d'éviter la difficulté et pourtant, il faut l'affronter.
"je sais ce qu'il faut faire, donc je le fais" (Okay)
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Re: suis je le seul dans ce cas?
Princebleu a raison d'insister sur le fait que ses fautes ne sont jamais au même endroit, ce qui sous-entend qu'il a bien travaillé son morceau en faisant bien au fur et à mesure les corrections dont parle Oupsi, chose essentielle que j'avais moi aussi tendance à reporter à plus tard.
Mais reste les fautes aléatoires et inexplicables, j'en fais pas mal aussi. j'ai encore un manque de précision qui m'expose à faire ces fautes, et pas forcément dans les passages difficiles. Mais je me rends compte qu bout d'un an que les choses s'améliorent.
La fausse note sur le dernier accord final, par exemple!

Mais reste les fautes aléatoires et inexplicables, j'en fais pas mal aussi. j'ai encore un manque de précision qui m'expose à faire ces fautes, et pas forcément dans les passages difficiles. Mais je me rends compte qu bout d'un an que les choses s'améliorent.
La fausse note sur le dernier accord final, par exemple!


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Re: suis je le seul dans ce cas?
ça sous entend qu'il a réussi parfois à ne pas se tromper à certains endroits, mais à d'autres..Arabesque44 a écrit :Princebleu a raison d'insister sur le fait que ses fautes ne sont jamais au même endroit, ce qui sous-entend qu'il a bien travaillé son morceau en faisant bien au fur et à mesure les corrections dont parle Oupsi,
Mais il demande si c'est dû à ses 2/3 ans de pratique: forcément ça entre en jeu. Il a sûrement dû venir à bout d'autres problèmes contre lesquels il s'est battu avec succès.
Et ce sont ces problèmes-là qui passent au-devant de la scène...
Les clés sont certes presque toujours les mêmes: travailler lentement, avant même d'essayer de jouer plus vite, pensant qu'on peut y aller.
J'ai eu la chance d'avoir appris ça de ma prof quand j'étais tout jeune, répéter lentement certains passages alors qu'on pourrait croire que "c'est bon".
ça m'a notamment servi un peu plus tard quand je suis devenu plus autonome, et où évidemment je me suis fait piéger par moi-même, en laissant passer du temps avant de corriger certaines fautes. Et encore, j'ai eu beaucoup de mal à m'en souvenir et à l'appliquer de moi-même.
il faut aussi savoir apprendre par cœur les passages difficiles, avec toutes les corrections qu'on doit apporter à notre jeu. Il faut apprendre par cœur aussi ces corrections, et aussi le doigté...
Ceci-dit, la nature des difficultés dépend aussi du style, de l'époque, du compositeur...
Il faut apprivoiser la musique, les notes, les touches, même si on sait que ce sont des matières mortes...
Un jour on est surpris de voir toute la vie qui en sort..
Modifié en dernier par zebestovol le dim. 20 avr., 2014 14:27, modifié 2 fois.
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Re: suis je le seul dans ce cas?
Oui, et aussi , en ce qui me concerne, ne pas hésiter à se servir de ses yeux ( j'ai dû rester avec une vieille idée qu'il ne fallait jamais regarder ses mains...œil rivé sur la partition en permanence, ce qui n'aide pas non plus à jouer "par cœur!il faut aussi savoir apprendre par cœur les passages difficiles, avec toutes les corrections qu'on doit apporter à notre jeu. Il faut apprendre par coeur aussi ces corrections, et aussi le doigté...

Re: suis je le seul dans ce cas?
Ah oui, pardon je n'avais pas bien lu l'énoncé de départ. Les erreurs toujours différentes et surprenantes, ça m'arrive beaucoup en situation de stress. Là je dois dire que c'est démoralisant. Je comprends maintenant pourquoi on dit qu'un morceau prêt ne l'est pas tant qu'on n'est pas à 130% de ce qu'on croit être "prêt". Mais bien entendu cette sensation intérieure d'être prêt est tellement subjective...
Ça me fait penser à une chose que j'ai remarquée: habituellement, dans la vie, le travail, les rencontres avec les gens, tout ce qui exige une disponibilité particulière ou une sorte de courage, je me fie à ce que j'appelle ma "réserve" qui est quelque chose qui se libère dans l'instant. Pendant longtemps j'ai cru qu'au piano c'est pareil. En fait ça l'est certainement, mais il ne faut pas que cette réserve de forces, de concentration, d'adrénaline, on l'appelle comme on veut, soit occupée par la gestion des erreurs (et c'est malheureusement ce à quoi je la consacre quand je joue devant des gens, vu la quantité d'erreurs que je fais!). Du coup cette réserve est dépensée à contre-emploi, je me demande même si elle n'est pas à l'origine de certaines erreurs, comme si un malin génie voulait s'exprimer mais qu'il faisait un peu n'importe quoi. Il faut donc arriver à assurer la propreté de jeu à un niveau d'exigence dingue, pour que ce malin génie ait autre chose à se mettre sous la dent que la création de fautes... Pas facile. Et là oui je ne vois pas comment y arriver sinon par un travail lent, balisé, très rigoureux... avec patience...
Ça me fait penser à une chose que j'ai remarquée: habituellement, dans la vie, le travail, les rencontres avec les gens, tout ce qui exige une disponibilité particulière ou une sorte de courage, je me fie à ce que j'appelle ma "réserve" qui est quelque chose qui se libère dans l'instant. Pendant longtemps j'ai cru qu'au piano c'est pareil. En fait ça l'est certainement, mais il ne faut pas que cette réserve de forces, de concentration, d'adrénaline, on l'appelle comme on veut, soit occupée par la gestion des erreurs (et c'est malheureusement ce à quoi je la consacre quand je joue devant des gens, vu la quantité d'erreurs que je fais!). Du coup cette réserve est dépensée à contre-emploi, je me demande même si elle n'est pas à l'origine de certaines erreurs, comme si un malin génie voulait s'exprimer mais qu'il faisait un peu n'importe quoi. Il faut donc arriver à assurer la propreté de jeu à un niveau d'exigence dingue, pour que ce malin génie ait autre chose à se mettre sous la dent que la création de fautes... Pas facile. Et là oui je ne vois pas comment y arriver sinon par un travail lent, balisé, très rigoureux... avec patience...
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Re: suis je le seul dans ce cas?
Effectivement arrabesque44 à bien compris le problème, je peux faire pendant 2 semaines un morceau où à la fin d'une mesure se trouve un mi que je fais sans problème puis au bout de des 15 jours je me mets à faire un sol...pourquoi je sais pas... ou le truc qui m'agace mon doigt doit enfoncé le la, il l'enfonce mais en même temps mon doigt effleure le si, oh pas de beaucoup mais juste assez pour être entendu.Arabesque44 a écrit :Princebleu a raison d'insister sur le fait que ses fautes ne sont jamais au même endroit, ce qui sous-entend qu'il a bien travaillé son morceau en faisant bien au fur et à mesure les corrections dont parle Oupsi, chose essentielle que j'avais moi aussi tendance à reporter à plus tard.
Mais reste les fautes aléatoires et inexplicables, j'en fais pas mal aussi. j'ai encore un manque de précision qui m'expose à faire ces fautes, et pas forcément dans les passages difficiles. Mais je me rends compte qu bout d'un an que les choses s'améliorent.
La fausse note sur le dernier accord final, par exemple!![]()
Pour le travail je fais tous les jours ma séance de piano de 1h30 à 2h environ et je m'attache à faire lentement les difficultés et justement ce ne sont pas forcément les difficultés que je rate par la suite, c'est de l'étourderie souvent. Le pire c'est quand je joue et qu'au bout d'un certain je me dis ouai aujourd'hui je me débrouille bien...il suffit que je l'ai pensé pour que survienne une erreur voir plusieurs pour gâcher le morceaux, ce qui fait que je m'énerve (il faut peu de temps car la patience n'est pas ma qualité) et que je fini par donner des claques au clavier avec tout un tas de jurons une fois c'est quelques secondes de colère je reprends mon souffle et mon courage puis je m'y remets calment.
Ma prof me dis assez lent comme élève(j'ai 33 ans) mais bon élève quand même car tout est décortiqué et que l'on sent qu'il y a vraiment du travail derrière donc ça m'encourage quand même.
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Re: suis je le seul dans ce cas?
Je ne vois pas d'autre conseil que celui de persévérer.
Tu dis que tu n'as pas beaucoup de patience.
Moi aussi ça m'arrive de la perdre, mais quand je suis en forme, je me dis que c'est comme une bagarre contre un mauvais génie et qu'à chaque fois que je m'énerve, il se frotte les mains. par contre, quand j'arrive à reprendre sans moufeter, je sens que c'est lui qui est énervé...
Je connais bien les problèmes dont tu parles mais c'est difficile d'y répondre sans me tromper si je ne te vois pas jouer, ou encore de quel morceau il s'agit...
Peut-être un conseil encore important: quand on est très motivé, et travailleur comme ça semble être ton cas, le risque est de saturer et de continuer quand-même.
2 éléments à ce sujet:
1.quand on répète un passage pour le corriger, il faut se méfier du travail "mécanique", et savoir s'obliger à des temps d'arrêts avant de reprendre.
2.Quand on sature, il faut s'arrêter, même parfois 10 secondes suffisent, ou plus si on est fatigué.
travailler 1heure 30 en 2 x (3/4h), voire 3 x (1/2h) est toujours plus efficace qu'en une seule traite.
Tu dis que tu n'as pas beaucoup de patience.
Moi aussi ça m'arrive de la perdre, mais quand je suis en forme, je me dis que c'est comme une bagarre contre un mauvais génie et qu'à chaque fois que je m'énerve, il se frotte les mains. par contre, quand j'arrive à reprendre sans moufeter, je sens que c'est lui qui est énervé...
Je connais bien les problèmes dont tu parles mais c'est difficile d'y répondre sans me tromper si je ne te vois pas jouer, ou encore de quel morceau il s'agit...
Peut-être un conseil encore important: quand on est très motivé, et travailleur comme ça semble être ton cas, le risque est de saturer et de continuer quand-même.
2 éléments à ce sujet:
1.quand on répète un passage pour le corriger, il faut se méfier du travail "mécanique", et savoir s'obliger à des temps d'arrêts avant de reprendre.
2.Quand on sature, il faut s'arrêter, même parfois 10 secondes suffisent, ou plus si on est fatigué.
travailler 1heure 30 en 2 x (3/4h), voire 3 x (1/2h) est toujours plus efficace qu'en une seule traite.
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Re: suis je le seul dans ce cas?
Assez d'accord avec ceux qui préconisent de travailler lentement, très lentement, et en enfonçant bien les touches, avec de la pression.
En travaillant à "vitesse normale", si on commet une erreur et qu'on répète jusqu'à ce que "ça passe", on enregistre en fait les erreurs, c'est une mauvaise méthode.
Autre possibilité : le doigté choisi est inadapté,et, le naturel revient au galop ! (c'est à dire que lorsqu'on n'est pas à l'aise avec le doigté on revient naturellement à une position plus intuitive, plus ergonomique pour soi). Pas évident de savoir si il faut changer de doigté, ça fait partie de la contribution de l'enseignant ; mais ma prof qui est très précise sur le sujet, finit parfois par le modifier ,pour certains passages où c'est possible (et d'autres fois, non, il faut juste bosser plus, et lentement, c'est à dire "dans les règles de l'art"...).
Mais oui, j'ai ça aussi, et je sais bien que certains passages vont nécessiter des heures, et c'est normal, il faut d'abord travailler les difficultés et ne pas prendre le morceau "dans l'ordre", sinon on travaille plus ce qui est le plus facile, inefficacement.
En travaillant à "vitesse normale", si on commet une erreur et qu'on répète jusqu'à ce que "ça passe", on enregistre en fait les erreurs, c'est une mauvaise méthode.
Autre possibilité : le doigté choisi est inadapté,et, le naturel revient au galop ! (c'est à dire que lorsqu'on n'est pas à l'aise avec le doigté on revient naturellement à une position plus intuitive, plus ergonomique pour soi). Pas évident de savoir si il faut changer de doigté, ça fait partie de la contribution de l'enseignant ; mais ma prof qui est très précise sur le sujet, finit parfois par le modifier ,pour certains passages où c'est possible (et d'autres fois, non, il faut juste bosser plus, et lentement, c'est à dire "dans les règles de l'art"...).
Mais oui, j'ai ça aussi, et je sais bien que certains passages vont nécessiter des heures, et c'est normal, il faut d'abord travailler les difficultés et ne pas prendre le morceau "dans l'ordre", sinon on travaille plus ce qui est le plus facile, inefficacement.
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Re: suis je le seul dans ce cas?
Je pense encore que ton problème est peut-être dû à des récents progrès de ta part. Or, quand ça arrive, notre niveau d'exigence a tendance à augmenter naturellement, ce qui fait qu'on est surpris désagréablement par le fait de devoir travailler plus que prévu pour des objectifs qu'on pensait à notre portée..
Re: suis je le seul dans ce cas?
Une des solutions efficace pour sécuriser notre jeu, est ce que j appelle le jeu des crayons .
On prend 4 crayons que l on pose sur la droite du clavier.
On joue un passage une première fois.
Si il n'y a pas d erreur, on prend un crayon et on le met à gauche.
Deuxième répétition.
Pas d erreur, deuxième crayon à gauche.
Etc.
Si on fait une erreur, tous les crayons sur la gauche reviennent à droite et on doit tout recommencer.
On peut le faire à un tempo modéré, mais toujours en respectant phrasé, nuances, son, rythme etc...
Matérialiser les répétitions avec des objets est assez intéressant. Ça oblige à faire une mini pause, et à reprendre sa concentration.
On prend 4 crayons que l on pose sur la droite du clavier.
On joue un passage une première fois.
Si il n'y a pas d erreur, on prend un crayon et on le met à gauche.
Deuxième répétition.
Pas d erreur, deuxième crayon à gauche.
Etc.
Si on fait une erreur, tous les crayons sur la gauche reviennent à droite et on doit tout recommencer.
On peut le faire à un tempo modéré, mais toujours en respectant phrasé, nuances, son, rythme etc...
Matérialiser les répétitions avec des objets est assez intéressant. Ça oblige à faire une mini pause, et à reprendre sa concentration.
Re: suis je le seul dans ce cas?
De quoi s'emmeler les crayons...Serge a écrit :Une des solutions efficace pour sécuriser notre jeu, est ce que j appelle le jeu des crayons .
On prend 4 crayons que l on pose sur la droite du clavier.
On joue un passage une première fois.
Si il n'y a pas d erreur, on prend un crayon et on le met à gauche.
Deuxième répétition.
Pas d erreur, deuxième crayon à gauche.
Etc.
Si on fait une erreur, tous les crayons sur la gauche reviennent à droite et on doit tout recommencer.
On peut le faire à un tempo modéré, mais toujours en respectant phrasé, nuances, son, rythme etc...
Matérialiser les répétitions avec des objets est assez intéressant. Ça oblige à faire une mini pause, et à reprendre sa concentration.


bon, ok, je


- Rockmaninov
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Re: suis je le seul dans ce cas?
Oui, mais seulement, un petit problème s'impose.Serge a écrit :Une des solutions efficace pour sécuriser notre jeu, est ce que j appelle le jeu des crayons .
On prend 4 crayons que l on pose sur la droite du clavier.
On joue un passage une première fois.
Si il n'y a pas d erreur, on prend un crayon et on le met à gauche.
Deuxième répétition.
Pas d erreur, deuxième crayon à gauche.
Etc.
Si on fait une erreur, tous les crayons sur la gauche reviennent à droite et on doit tout recommencer.
On peut le faire à un tempo modéré, mais toujours en respectant phrasé, nuances, son, rythme etc...
Matérialiser les répétitions avec des objets est assez intéressant. Ça oblige à faire une mini pause, et à reprendre sa concentration.
En effet, la droite de mon clavier est trop petit pour mettre 4 crayons, surtout qu'il y a un bout en plastique noir.
Je ne peux donc pas faire ce jeu du crayon, je peux dire au revoir à ma passion.
Je ne vais jamais progresser.
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- Problème grave concernant le jeu du crayon afin de progresser au piano poil au dos.
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J'ai toujours aimé les pommes vertes.
Re: suis je le seul dans ce cas?
oui mais tu peux mettre des smarties 

- Rockmaninov
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Re: suis je le seul dans ce cas?
Ça marche avec des graines de quinoa ?
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