Mon prof me dit la même chose mais c'est pas pour ça que je joue comme lui
Non sérieusement il couvrait quel intervalle? Moi je fais do - fa# ce qui est déjà pas mal je pense
Un accord qui fait sol sib mib sol sib et l'autre fa lab si ré lab
Il ne dit pas de quelle main, a mon avis c'est de la droite car l'exemple est écrit en clé de sol et le deuxième est jouable de la main gauche en ce qui me concerne et je n'ai pas de grandes mains.
Les stars sont des fleurs sujettes à se faner. Les musiciens sont des arbres, sujets à grandir encore et toujours.
Jypé a écrit :Ben oui, les monstres, ça existe !
Rachmaninov faisait l'octave plus une tierce ! quand même.
(on s'étonne après...)
Il y a des machines qui permettent à tout le monde d'en faire autant.
Schumann est passé par là, yaka faire comme lui :
1) on utilise la machine infernale,
2) on se fait paralyser une main,
3) on épouse une super-pianiste et on devient son manager
Es gab eine Zeit, wo ich nur ungern über Schubert sprechen, nur Nächtens den Bäumen und Sternen von ihm vorerzählen mögen. [R. Schumann, 1838]
Ben oui, Yannis ! C'est p'tet' ça aussi qui ne l'a pas arrangé... dans sa folie... notre pauv' Schumann ! ! !
Et Clara qui l' a adoré jusqu'à sa mort... quel courage ! Quelle preuve d'amour !
Car enfin il fallut bien qu'elle en fut amoureuse de ce monstre plein de machines/ instruments de torture...
Mais, non, finalement, je n'ai pas envie de faire comme lui. Et tant pis si je ne peux pas jouer les grands écarts ; je vais garder mes deux mains gauches (je suis droitier) sur le clavier et faire ce que je peux !
Jypé a écrit :Car enfin il fallut bien qu'elle en fut amoureuse de ce monstre plein de machines/ instruments de torture...
Comment ne pas tomber amoureux de quelqu'un qui exprime ses sentiments en composant le Concerto, le Carnaval, la Kreisleriana, les Fantasiestücke, les Davidsbündlertänze, les Études symphoniques, les Sonates, et j'en passe. Ça vaut toutes les boîtes au chocolat et tous les bouquets de fleurs du monde...
Es gab eine Zeit, wo ich nur ungern über Schubert sprechen, nur Nächtens den Bäumen und Sternen von ihm vorerzählen mögen. [R. Schumann, 1838]
Je connaissais cette vid'
Un monstre que cet homme là...
Ce que je comprends pas c'est qu'en ne fqisqnt qinsi "qu'une bouhée" de cet op.10 n.4, il n'aurait jamais pu, selon la rumeur publique, venir à bout d'op.10 n.2. Blocage mental, en quelque sorte.
Tristan, c'est au contraire l'une des plus dure car imployant a fond les doigts faibles (4,5) de la main droite.
Pour richter, il faut avoir travaillé l'étude 4 op10 pour se rendre pleinement compte de l'exploit quil réalise avec ce tempo!
C'est vrai que la première fois que j'avai vu cet extrait, je m'étais demandé si c'était pas joué en accéléré!