mllevinet a écrit :
Le plus dur c'est quand même la mise en place, être coordonné avec le violon dans un premier temps. Parce que c'est pas évident de se trouver des repères. Ensuite, le plus dur encore, c'est d'être crédible, de faire genre, de faire semblant que c'est trop magnifiquement beau >.> qu'on prend un plaisir fou à le jouer, de s'exprimer alors que ça te gave à mort. Faire semblant à ce point là, ça me soule... Après comme tout comédien faut au moins jouer le jeu par obligation.
Je trouve surtout que le monde va à l'envers lorsque l'on en arrive à la situation d'un compositeur qui doit se justifier en expliquant verbalement ce qu'exprime sa musique... ou bien ce qu'elle n'exprime pas. "La musique commence là où s'arrête le pouvoir des mots." (Wagner)
En ce qui concerne les mathématiques qu'il met dans son oeuvre musicale, je ne vois pas trop en quoi cela la rend plus intellectuelle. Encore, s'il utilisait la musique comme support pour présenter des problèmes mathématiques, pourquoi pas, cela aurait peut-être un quelconque intérêt (mathématique), comme les cryptanalystes qui, à première vue, travaillent sur des codes secrets, mais qui en fait établissent des théories statistiques assez abstraites.
QuartDîner a écrit :<hs>
Le titre pourrait faire référence à la somme d'un "truc", avec comme truc toutes les combinaisons possibles de deux problèmes d'un certain type (il faut bien trouver quelque chose à itérer ) plus facile à vérifier qu'à résoudre moins… je ne sais pas Peut-être l'élément neutre de cette combinaison. Mais ça reste très louche. Peut-être qu'il a mis tous ses problèmes de musicalité dans ce morceau
</hs>
Qu'est-ce que tu appelles élément neutre ?