Zébulon,
C'est vrai. Mais vous savez c'est comme quand on se trouve à l'apéritif il suffit parfois de quelques arachides pour vous couper la faim.
Cela dit rien ne vaut un bon repas (entre amis). Mais quand on manque de temps n'est-ce pas ?
Sinon vraiment quand je n'ai pas d'autre solution j'essaye de travailler mentalement (par exemple en voiture). C'est assez difficile. Par exemple se rappeler de la main gauche de telle ou telle partie. Ou bien construire une improvisation sur quelques accords.
Peut-être avez-vous des trucs dans le genre à conseiller ?
Alain
profession, fatigue et piano
- Franz Liszt
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Re: profession, fatigue et piano
Bonjour à tous,
Je suis comme vous un amateur (depuis 8 ans ) amoureux de musique et du piano.
Tout le monde a vécu un jour cette prise de conscience ou l'on comprend que sans régularité dans la pratique du piano, point de progrés visibles.
Alors je ruse, je pratique par petites plages. Une 1/2 heure le matin l'esprit bien eveillé, le soir également toujours selon le principe du découpage,
je trouve qi'il permet d'assimiler plus vite. Du coup j'arrive à faire au moins 1heure de piano par jour, sans avoir l'impression de manger tout mon temps libre !
Je veille aussi à rester concentrer pendant ces courtes répétitions. On a vite fait de répéter bêtements les mêmes passages et les mêmes erreurs
en ayant l'impression de progrésser. J'identifie les difficultés, les isole, et passe de l'une à l'autre, et parfois je joue l'ensemble de la pièce pour le plaisir.
Le lendemain je constate que certaines difficultés sont passées, d'autres persistent et résistent encore quelques jours et finissent par disparaître.
En fin de compte, je remarque que peu de difficultés ne tiennent si on s'applique à les travailler au quotidien.
Et un dernier conseil si je puis me permettre, travailler en priorité absolue les points délicats, je fais çà à 90% et çà paye.
Dire que j'ai attendu des années pour le faire, pfffff
Je suis comme vous un amateur (depuis 8 ans ) amoureux de musique et du piano.
Tout le monde a vécu un jour cette prise de conscience ou l'on comprend que sans régularité dans la pratique du piano, point de progrés visibles.
Alors je ruse, je pratique par petites plages. Une 1/2 heure le matin l'esprit bien eveillé, le soir également toujours selon le principe du découpage,
je trouve qi'il permet d'assimiler plus vite. Du coup j'arrive à faire au moins 1heure de piano par jour, sans avoir l'impression de manger tout mon temps libre !
Je veille aussi à rester concentrer pendant ces courtes répétitions. On a vite fait de répéter bêtements les mêmes passages et les mêmes erreurs
en ayant l'impression de progrésser. J'identifie les difficultés, les isole, et passe de l'une à l'autre, et parfois je joue l'ensemble de la pièce pour le plaisir.
Le lendemain je constate que certaines difficultés sont passées, d'autres persistent et résistent encore quelques jours et finissent par disparaître.
En fin de compte, je remarque que peu de difficultés ne tiennent si on s'applique à les travailler au quotidien.
Et un dernier conseil si je puis me permettre, travailler en priorité absolue les points délicats, je fais çà à 90% et çà paye.
Dire que j'ai attendu des années pour le faire, pfffff
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Re: profession, fatigue et piano
+1...cestsisimple a écrit :Et un dernier conseil si je puis me permettre, travailler en priorité absolue les points délicats, je fais çà à 90% et çà paye.
Dire que j'ai attendu des années pour le faire, pfffff