Que pensez-vous du yamaha clavinova CLP-360?
- egtegt
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- Mon piano : Blüthner 2m10 et Casio PX110
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On m'a même raconté qu'aprés avoir écouté une interprétation d'une de ses oeuvres par un grand pianiste (peut être horowitz, mais je ne me souviens plus le nom) il avait juré de ne plus la jouer parce qu'il savait qu'il ne ferait jamais aussi bien.
Comme quoi un compositeur n'est pas nécessairement la personne idéale pour interpréter ses propres oeuvres.
Comme quoi un compositeur n'est pas nécessairement la personne idéale pour interpréter ses propres oeuvres.
... c'est tout à fait vrai... Ravel, par exemple, ne jouait pas ses oeuvres... il disait ne pas avoir la technique pour le faire... C'est vrai qu'en travaillant Gaspard, on peut comprendre... Je travaille Ondine, en ce moment... donc je pense pas mal à lui !
A l'inverse, une oeuvre peut-être "dénaturée" par rapport aux intentions du compositeur... Chopin, paraît-il, n'aimait pas la façon virtuose, très déclamée et extravertie dont Liszt jouait ses études, même s 'il lui a dédié l'op.10... Mais beaucoup de pianistes en sont resté à cette façon de les jouer... Toute l'oeuvre de Chopin, je pense à souffert du fait que ce sont les autres qui jouaient ses oeuvres, puisqu'il répugnait à jouer en récital...
Idem pour Poulenc... il ne supportait pas l'idée q'on puisse ralentir un temps, "ça me rend fou" selon ses propos...
C'est toujours délicat... On peut facilement passer à côté... J'ai entendu une fois au conservatoire un élève jouer la 3ème variation de l'Impromptu op.142 de schubert comme un tango argentin...!!! La prof a failli avoir une attaque de nerfs ! L'élève avait pris les accents de main gauche au pied "de la lettre"...
Bon, je cause, je cause... et je ne travaille pas ! A très bientôt...
A l'inverse, une oeuvre peut-être "dénaturée" par rapport aux intentions du compositeur... Chopin, paraît-il, n'aimait pas la façon virtuose, très déclamée et extravertie dont Liszt jouait ses études, même s 'il lui a dédié l'op.10... Mais beaucoup de pianistes en sont resté à cette façon de les jouer... Toute l'oeuvre de Chopin, je pense à souffert du fait que ce sont les autres qui jouaient ses oeuvres, puisqu'il répugnait à jouer en récital...
Idem pour Poulenc... il ne supportait pas l'idée q'on puisse ralentir un temps, "ça me rend fou" selon ses propos...
C'est toujours délicat... On peut facilement passer à côté... J'ai entendu une fois au conservatoire un élève jouer la 3ème variation de l'Impromptu op.142 de schubert comme un tango argentin...!!! La prof a failli avoir une attaque de nerfs ! L'élève avait pris les accents de main gauche au pied "de la lettre"...
Bon, je cause, je cause... et je ne travaille pas ! A très bientôt...
Hello,
C'est amusant de voir que ce post sur les pianos numériques est un des plus long de ce forum !!
Pour ma part, je pratique le piano classique depuis 25 ans et j'ai travaillé mes jeunes années (et parfois encore maintenant quand je vais chez mes parents) sur un droit de qualité très moyenne (Young Chang).
Depuis que j'ai emménagé en appartement, il était possible que je prenne un bon piano droit (mon budget était de 4500 euros) fut-il d'occasion.
Mais j'ai choisi un piano numérique (ou à ce prix c'est cher) Yamaha Clavinova CVP 209.
Je voulais un piano très bien échantillonné et avec rythmes.
Je le dis de suite, celà n'est pas directement comparable à un vrai piano.
Je pense avoir une bonne oreille et d'ailleurs, je trouve très représentatif l'essai du Clavinova CLP170 de ce cite (le même échantillonage que le mien).
Cependant, avant tout achat, on essaye, et j'ai quand même trouvé un grand interet au numérique : celui de pouvoir travailler sans gener et de pouvoir facilement s'enregistrer.
Le fait de pouvoir travailler tout seul sans écoute d'autres personnes permet sans pudeur de se laisser aller à des improvisations les plus folles et lorsque vous avez une idée, hop un petit coup d'enregistrement pour mémoriser ce moment unique, ce qui permet d'écouter ultérieurement ses essais et d'y ajouter des variantes ou autres.
Le numérique dans ce cas permet aussi un travail sans stress et l'enregistrement permet (on se retire du piano et on s'asseoit plus loin en tant qu'auditeur) d'entendre les choses différemment.
Je fais construire ma maison, et une pièce est réservée pour mon futur piano à queue, et aussi mon numérique (laqué noir il n'est pas inesthetique). Avoir les deux, c'est tout simplement merveilleux). Je pense même que celui qui a déjà un piano accoustique et qui a les finances se doit d'avoir un bon numérique).
J'arrive à tirer une certaine musicalité de mon numérique dans les pièces classiques et je suis ravi de mon choix qui ne me fait nullement perdre ma technique ni mon sens de la musique, il a des défauts (manque de maintien de la pédale forte), mais je le prends tel quel comme n'importe quel piano qui a lui assi ses défauts.
Enfin, il ne faut pas oublier les autres plus du numérique haut de gamme :
- Affichage des partitions (très utile lorsque vous voulez apprendre certains morceaux téléchargés au format midi
- Possibilité de jouer sur plusieurs types de piano, de régler précisemment leur sonorité réverbération (salle de concert = excellent).
- Possibilité de créer des orchestres et d'apprendre à jouer avec (ça c'est quand même chouette plutôt que d'être seul) - par exemple, j'ai télécharger un fichier midi du 1er concerto de Tchaikovsky et je joue avec l'orchestre; c'est peut être pas un orchestre de grande qualité, mais au moins il a la cadence et les principaux instruments sont là.
- Les rythmes : la aussi, interessant de se détendre et de jouer aussi bien de la variété que du jazz.
- tand 'autres choses en plus qu'il est trop long de citer ici.
Comme vous avez pu le constater, je suis ravi des possibilités offertes aujourd'hui par ces pianos bassement électriques et je pense qu'il ne faut pas seulement les juger sur leur sonorité ou toucher (choisir un bon quand même) mais sur les possibilité qui vous sont offertes.
Un petit conseil toute fois, le piano numérique est très ludique, mais risque d'écarter de droit chement les débutants à qui je conseille avant tout d(s le début un bon piano droit pour façonner leur doigts et oreilles à l'aide d'un professeur.
Ou alors avoir les deux chez soi dans ce cas c'est mieux (cela peut en complément du travail donner à l'enfant débutant un côté ludique qui lui donnera l'envie de s'améliorer (je pense surtout aux mauvaises passes que j'ai connu, adolescent, voulant tout arreter !).
Pour les piansites confirmés, donc exigents, tournez vous vers un numérique haut de gamme (avec ou sans rythmes en fonction de votre budget) et vous verrez que passé le cap du (c'est moins bon) vous vous direz : oui mais...
Ma prof de piano (retraitée maintenant) et concertiste a vendu son bon Schimmel droit et Yamaha C3 (suite à déménagement) et l'a remplacé par un numérique excellent (GT3) qui la ravi - mais là je trouve quand même dommage pour le C3...que je lui aurais bien pris (mais faute de place pour l'instant).
Voici mon avis
C'est amusant de voir que ce post sur les pianos numériques est un des plus long de ce forum !!
Pour ma part, je pratique le piano classique depuis 25 ans et j'ai travaillé mes jeunes années (et parfois encore maintenant quand je vais chez mes parents) sur un droit de qualité très moyenne (Young Chang).
Depuis que j'ai emménagé en appartement, il était possible que je prenne un bon piano droit (mon budget était de 4500 euros) fut-il d'occasion.
Mais j'ai choisi un piano numérique (ou à ce prix c'est cher) Yamaha Clavinova CVP 209.
Je voulais un piano très bien échantillonné et avec rythmes.
Je le dis de suite, celà n'est pas directement comparable à un vrai piano.
Je pense avoir une bonne oreille et d'ailleurs, je trouve très représentatif l'essai du Clavinova CLP170 de ce cite (le même échantillonage que le mien).
Cependant, avant tout achat, on essaye, et j'ai quand même trouvé un grand interet au numérique : celui de pouvoir travailler sans gener et de pouvoir facilement s'enregistrer.
Le fait de pouvoir travailler tout seul sans écoute d'autres personnes permet sans pudeur de se laisser aller à des improvisations les plus folles et lorsque vous avez une idée, hop un petit coup d'enregistrement pour mémoriser ce moment unique, ce qui permet d'écouter ultérieurement ses essais et d'y ajouter des variantes ou autres.
Le numérique dans ce cas permet aussi un travail sans stress et l'enregistrement permet (on se retire du piano et on s'asseoit plus loin en tant qu'auditeur) d'entendre les choses différemment.
Je fais construire ma maison, et une pièce est réservée pour mon futur piano à queue, et aussi mon numérique (laqué noir il n'est pas inesthetique). Avoir les deux, c'est tout simplement merveilleux). Je pense même que celui qui a déjà un piano accoustique et qui a les finances se doit d'avoir un bon numérique).
J'arrive à tirer une certaine musicalité de mon numérique dans les pièces classiques et je suis ravi de mon choix qui ne me fait nullement perdre ma technique ni mon sens de la musique, il a des défauts (manque de maintien de la pédale forte), mais je le prends tel quel comme n'importe quel piano qui a lui assi ses défauts.
Enfin, il ne faut pas oublier les autres plus du numérique haut de gamme :
- Affichage des partitions (très utile lorsque vous voulez apprendre certains morceaux téléchargés au format midi
- Possibilité de jouer sur plusieurs types de piano, de régler précisemment leur sonorité réverbération (salle de concert = excellent).
- Possibilité de créer des orchestres et d'apprendre à jouer avec (ça c'est quand même chouette plutôt que d'être seul) - par exemple, j'ai télécharger un fichier midi du 1er concerto de Tchaikovsky et je joue avec l'orchestre; c'est peut être pas un orchestre de grande qualité, mais au moins il a la cadence et les principaux instruments sont là.
- Les rythmes : la aussi, interessant de se détendre et de jouer aussi bien de la variété que du jazz.
- tand 'autres choses en plus qu'il est trop long de citer ici.
Comme vous avez pu le constater, je suis ravi des possibilités offertes aujourd'hui par ces pianos bassement électriques et je pense qu'il ne faut pas seulement les juger sur leur sonorité ou toucher (choisir un bon quand même) mais sur les possibilité qui vous sont offertes.
Un petit conseil toute fois, le piano numérique est très ludique, mais risque d'écarter de droit chement les débutants à qui je conseille avant tout d(s le début un bon piano droit pour façonner leur doigts et oreilles à l'aide d'un professeur.
Ou alors avoir les deux chez soi dans ce cas c'est mieux (cela peut en complément du travail donner à l'enfant débutant un côté ludique qui lui donnera l'envie de s'améliorer (je pense surtout aux mauvaises passes que j'ai connu, adolescent, voulant tout arreter !).
Pour les piansites confirmés, donc exigents, tournez vous vers un numérique haut de gamme (avec ou sans rythmes en fonction de votre budget) et vous verrez que passé le cap du (c'est moins bon) vous vous direz : oui mais...
Ma prof de piano (retraitée maintenant) et concertiste a vendu son bon Schimmel droit et Yamaha C3 (suite à déménagement) et l'a remplacé par un numérique excellent (GT3) qui la ravi - mais là je trouve quand même dommage pour le C3...que je lui aurais bien pris (mais faute de place pour l'instant).
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- Franz Liszt
- Messages : 1974
- Enregistré le : dim. 04 avr., 2004 19:56
- Mon piano : FEURICH 162 / Wendl & Lung 122
- Localisation : Suisse
Moi aussi je recherche le son authentique.
Le piano numérique a été tout d'abord une solutio temporaire en attendant d'avoir les finances pour un piano à queue..
Désormais, je sais qu'il y aura toujours de la place pour un piano numérique chez moi même si à en avoir qu'un il serait accoustique.
Ensuite, je pose pose quand même la question pour les générations futures :
Le numérique va certainement s'améliorer et les couts de l'électronique étant chaque fois revu à la baisse, il est probable que les pianos numériques représentent les 3/4 du marché dans moins de 10 ans.
On pourrait craindre une standardisation au niveau de la fabrication des facteurs de piano accoustiques "industriels" (Yamaha, Kawai, chinois, et même Schimmel).
Mais les grands facteurs renommés continuerons à produire (et toujours de manière plus ou moins confidentielle) d'excellent pianos.
Au contraire, je crois que le piano numérique va faire accroitre le nombre de pianistes dans le monde - tant mieux pour nos professeurs - et que ces derniers pourront s'en servir comme d'un outil redoutable pour aider les jeunes à persévérer dans leur travail. Les élèves se rendrons encore mieux compte de l'intêret d'un piano accoustique lorsqu'ils travaillerons sur le vrais piano de leur professeur.
Bon je vous laisse, je vais jouer un peu de Bach au clavecin...
Le piano numérique a été tout d'abord une solutio temporaire en attendant d'avoir les finances pour un piano à queue..
Désormais, je sais qu'il y aura toujours de la place pour un piano numérique chez moi même si à en avoir qu'un il serait accoustique.
Ensuite, je pose pose quand même la question pour les générations futures :
Le numérique va certainement s'améliorer et les couts de l'électronique étant chaque fois revu à la baisse, il est probable que les pianos numériques représentent les 3/4 du marché dans moins de 10 ans.
On pourrait craindre une standardisation au niveau de la fabrication des facteurs de piano accoustiques "industriels" (Yamaha, Kawai, chinois, et même Schimmel).
Mais les grands facteurs renommés continuerons à produire (et toujours de manière plus ou moins confidentielle) d'excellent pianos.
Au contraire, je crois que le piano numérique va faire accroitre le nombre de pianistes dans le monde - tant mieux pour nos professeurs - et que ces derniers pourront s'en servir comme d'un outil redoutable pour aider les jeunes à persévérer dans leur travail. Les élèves se rendrons encore mieux compte de l'intêret d'un piano accoustique lorsqu'ils travaillerons sur le vrais piano de leur professeur.
Bon je vous laisse, je vais jouer un peu de Bach au clavecin...
- Franz Liszt
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- Enregistré le : dim. 04 avr., 2004 19:56
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- Localisation : Suisse
Bon concernant la capacité de recréer un orchestre pour jouer des concertos:
-il existe des cd ou l'orchestre joue et ou le pianiste peut chez lui jouer avec ce fond musical d'orchestre. cela m'apparaît quand même de meilleur qualité que le midi.
Cependant c'est vrai que ce peut-être un des points forts des numériques que la capacité d'utilisé les midis!(premiers post où je dis du bien des piano num
!)
-il existe des cd ou l'orchestre joue et ou le pianiste peut chez lui jouer avec ce fond musical d'orchestre. cela m'apparaît quand même de meilleur qualité que le midi.
Cependant c'est vrai que ce peut-être un des points forts des numériques que la capacité d'utilisé les midis!(premiers post où je dis du bien des piano num

Totalement fan de la 2ème Ballade de Chopin...
Vraiment, je crois que j'ai du mal à me faire au terme "Piano numérique"... Clavier, OK ! Mais pas piano...
Si jouer du piano se résume à débiter des notes, j'arrête tout de suite... Jouer du piano, c'est TOUCHER ... développer les couleurs, mêler les timbres, jouer quoi ! Et c'est impossible à faire sur un numérique...
Que vous trouviez qu'on peut apprendre à jouer des notes sur un clavier numérique, je suis d'accord... Mais pas à JOUER du piano... Ca fait "vieux con" de parler comme ça, mais il y a des choses que l'on doit préserver... Que voulez-vous, un Stradivarius reste un Stradivarius... le résultats de longues années de recherche, d'essais... Et le digital, si perfectionné qu'il soit, ne remplacera jamais l'humain, Dieu merci !
Si jouer du piano se résume à débiter des notes, j'arrête tout de suite... Jouer du piano, c'est TOUCHER ... développer les couleurs, mêler les timbres, jouer quoi ! Et c'est impossible à faire sur un numérique...
Que vous trouviez qu'on peut apprendre à jouer des notes sur un clavier numérique, je suis d'accord... Mais pas à JOUER du piano... Ca fait "vieux con" de parler comme ça, mais il y a des choses que l'on doit préserver... Que voulez-vous, un Stradivarius reste un Stradivarius... le résultats de longues années de recherche, d'essais... Et le digital, si perfectionné qu'il soit, ne remplacera jamais l'humain, Dieu merci !
- Franz Liszt
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- Enregistré le : dim. 04 avr., 2004 19:56
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J'ai l'impression que dès que l'on avance dans la discussion sur les différences entre acoustique et numérique, vient automatiquement le moment où l'on parle d'authenticité du son, de couleurs, de personnalité de l'instrument, etc...
Autant de choses un peu abstraites que chacun peut définir comme il veut mais qui échappent irrémédiablement à tout ce qui relève du transistor.
De toutes façons c'est bien connu, il y a des choses qui échapperont à jamais aux ordinateurs (dixit Kasparov...).
J'ai la chance de pouvoir jouer sur les deux types d'instruments. Je découvre régulièrement de nouvelles choses sur mon numérique. Et il ne s'agit pas de nouvelles fonctionnalités. Cela relève peut-être du timbre, de la couleur, du toucher, de la personnalité de l'instrument ou de n'importe quoi d'autre... je l'ignore mais cela y ressemblerait bien. Ce qui est sûr c'est qu'il y a un toucher à développer (connaître son instrument, même numérique) pour s'efforcer de maîtriser ses possibilités (et je ne parle toujours pas des fonctionnalités) et provoquer différentes émotions. Et lorsque j'appuie deux fois de suite sur la même note le son est différent. Bizarre ? Peut-être est-ce parce que l'instrument est plus récent qu'un CLP-560. Quant à l'opposition digital/humain : la définition est 'mignonne' mais d'une part s'éloigne beaucoup du sujet, d'autre part prête aux numériques actuels une limitation que je ne peux qu'infirmer.
Autant de choses un peu abstraites que chacun peut définir comme il veut mais qui échappent irrémédiablement à tout ce qui relève du transistor.
De toutes façons c'est bien connu, il y a des choses qui échapperont à jamais aux ordinateurs (dixit Kasparov...).
J'ai la chance de pouvoir jouer sur les deux types d'instruments. Je découvre régulièrement de nouvelles choses sur mon numérique. Et il ne s'agit pas de nouvelles fonctionnalités. Cela relève peut-être du timbre, de la couleur, du toucher, de la personnalité de l'instrument ou de n'importe quoi d'autre... je l'ignore mais cela y ressemblerait bien. Ce qui est sûr c'est qu'il y a un toucher à développer (connaître son instrument, même numérique) pour s'efforcer de maîtriser ses possibilités (et je ne parle toujours pas des fonctionnalités) et provoquer différentes émotions. Et lorsque j'appuie deux fois de suite sur la même note le son est différent. Bizarre ? Peut-être est-ce parce que l'instrument est plus récent qu'un CLP-560. Quant à l'opposition digital/humain : la définition est 'mignonne' mais d'une part s'éloigne beaucoup du sujet, d'autre part prête aux numériques actuels une limitation que je ne peux qu'infirmer.
- Franz Liszt
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- Enregistré le : dim. 04 avr., 2004 19:56
- Mon piano : FEURICH 162 / Wendl & Lung 122
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Pourtant 'THE DEFINITION' fait bien une telle comparaison, Franz...
De toute façon, il ne s'agit pas de comparer les deux (digital/humain) mais d'illustrer certaines limites de ce type de définition. Notamment, si l'on revient dans le sujet, après avoir constaté les progrès réalisés par les pianos numériques.
Il y a 10 ans je n'aurais pas comparé les deux types d'instruments. Aujourd'hui j'en suis à me poser la question du niveau (technique et expression) que l'on peut atteindre en apprenant à jouer sur certains pianos numériques.
Il me semble qu'on ne peut plus, aujourd'hui, évacuer aussi simplement la question.
D'ailleurs, si ces instruments n'avaient pas évolué au point d'offrir des avantages et/ou un plaisir de jouer que certains commencent à trouver comparable (au sens : la comparaison mérite d'être faite) cette question ne ferait même pas débat.
De toute façon, il ne s'agit pas de comparer les deux (digital/humain) mais d'illustrer certaines limites de ce type de définition. Notamment, si l'on revient dans le sujet, après avoir constaté les progrès réalisés par les pianos numériques.
Il y a 10 ans je n'aurais pas comparé les deux types d'instruments. Aujourd'hui j'en suis à me poser la question du niveau (technique et expression) que l'on peut atteindre en apprenant à jouer sur certains pianos numériques.
Il me semble qu'on ne peut plus, aujourd'hui, évacuer aussi simplement la question.
D'ailleurs, si ces instruments n'avaient pas évolué au point d'offrir des avantages et/ou un plaisir de jouer que certains commencent à trouver comparable (au sens : la comparaison mérite d'être faite) cette question ne ferait même pas débat.
- Franz Liszt
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- Mon piano : FEURICH 162 / Wendl & Lung 122
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- Franz Liszt
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- Enregistré le : dim. 04 avr., 2004 19:56
- Mon piano : FEURICH 162 / Wendl & Lung 122
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En fait on compare souvent les pianos numériques haut de gamme à de bons pianos; ce qui est faux. un numérique (à l'heure actuelle) est un monstre de technologie avec beaucoup de fonctionalités et c'est surtout ça qui fait monter son prix.
Mais si on compare ces mêmes pianos nuémriques à des painos droits dits d'étude, et pour y avoir travaillé de longues années sur un Young Chang, je peux vous dire que j'arrive à faire sortir plus de nuances et de couleur, etc., de mon numérique.
Pour les pianos accoustiques nous savons bien entre musiciens, qu'il y a piano et piano...
Mais si on compare ces mêmes pianos nuémriques à des painos droits dits d'étude, et pour y avoir travaillé de longues années sur un Young Chang, je peux vous dire que j'arrive à faire sortir plus de nuances et de couleur, etc., de mon numérique.
Pour les pianos accoustiques nous savons bien entre musiciens, qu'il y a piano et piano...