Et de Mille !!!
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- Enregistré le : sam. 18 juin, 2005 23:44
mais je peux peut-être faire du répétitif comme Steve Reich du répétitif du répétitif du répétitif comme Steve Reich comme Steve Reich comme Steve Reich du répétitif comme Steve Reich faire du faire du faire du faire du comme Steve Reich comme Steve Reich comme Steve Reich comme Steve Reich répétitif répétitif répétitif comme Steve Reich comme Steve Reich comme Steve Reich comme comme comme du du du du du du du du
Es gab eine Zeit, wo ich nur ungern über Schubert sprechen, nur Nächtens den Bäumen und Sternen von ihm vorerzählen mögen. [R. Schumann, 1838]
(ou alors du sériel, une série étant un pangramme : une phrase où chaque lettre apparaît une fois)
donnez du vieux whisky au juge blond qui fume. au juge blond qui fume donnez du vieux whisky. du vieux whisky donnez au juge blond qui fume. du whisky blond donnez au juge vieux qui fume. du whisky qui fume donnez au vieux juge blond. du whisky fumez au juge blond qui donne. du juge blond qui fume donnez au vieux whisky. du juge vieux donnez au whisky blond qui fume...
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Es gab eine Zeit, wo ich nur ungern über Schubert sprechen, nur Nächtens den Bäumen und Sternen von ihm vorerzählen mögen. [R. Schumann, 1838]
(ou alors un thème avec variations)
THEME : j'aime Hélène Grimaud
VARIATION I (Allegro con fuoco)
impétueuse et forte sous soleil. de ses mains solides elle forge la musique. tel un titan ou un dieu. tel le tonnerre sur les montagnes ses accords résonnent et remplissent l'univers
VARIATION II (Lento)
assis là je la contemplais. une à une, les notes parvenaient à moi, comme les gouttes de la rosée d'une fleur lointaine. ma pensée, en pavanant vers sa rencontre, analysait chacune de ses phrases, ses mots, ses syllabes, pour en décéler la profonde vérité
VARIATION III (Canon)
et puis elle s'est levée. et puis je me suis levé. elle s'est avancée vers le piano. je me suis avancé vers mon siège. l'orchestre attendait. le public s'installait. et puis elle s'est assise. je me suis assis. et puis elle s'est levée...
VARIATION IV (Presto)
les notes qui sortent de cet instrument ses mains qui volent qui s'agittent mes yeux qui suivent qui s'empressent qui n'arrivent pas à saisir la vitesse le temps qui passe les regards qui s'enfuient la passion qui enfle les accords qui partent seuls le chef qui tourne les pages la frénésie encore trois mesures et c'est la fin
THEME : j'aime Hélène Grimaud
VARIATION I (Allegro con fuoco)
impétueuse et forte sous soleil. de ses mains solides elle forge la musique. tel un titan ou un dieu. tel le tonnerre sur les montagnes ses accords résonnent et remplissent l'univers
VARIATION II (Lento)
assis là je la contemplais. une à une, les notes parvenaient à moi, comme les gouttes de la rosée d'une fleur lointaine. ma pensée, en pavanant vers sa rencontre, analysait chacune de ses phrases, ses mots, ses syllabes, pour en décéler la profonde vérité
VARIATION III (Canon)
et puis elle s'est levée. et puis je me suis levé. elle s'est avancée vers le piano. je me suis avancé vers mon siège. l'orchestre attendait. le public s'installait. et puis elle s'est assise. je me suis assis. et puis elle s'est levée...
VARIATION IV (Presto)
les notes qui sortent de cet instrument ses mains qui volent qui s'agittent mes yeux qui suivent qui s'empressent qui n'arrivent pas à saisir la vitesse le temps qui passe les regards qui s'enfuient la passion qui enfle les accords qui partent seuls le chef qui tourne les pages la frénésie encore trois mesures et c'est la fin
Es gab eine Zeit, wo ich nur ungern über Schubert sprechen, nur Nächtens den Bäumen und Sternen von ihm vorerzählen mögen. [R. Schumann, 1838]
(ou alors une image impressioniste)
bleu pâle violet, ces yeux, le regard, le son remplit l'image de couleur comme un voile agité par le vent du soir, l'odeur des orangers, douce est la nuit, lointaines les caresses, lointaines les touches caressées, les accords rétentissent et soudain noire, étincellante, la mer couvre tout, s'impose, l'écume, l'écume et ses yeux, avancent vers la destination finale...
bleu pâle violet, ces yeux, le regard, le son remplit l'image de couleur comme un voile agité par le vent du soir, l'odeur des orangers, douce est la nuit, lointaines les caresses, lointaines les touches caressées, les accords rétentissent et soudain noire, étincellante, la mer couvre tout, s'impose, l'écume, l'écume et ses yeux, avancent vers la destination finale...
Es gab eine Zeit, wo ich nur ungern über Schubert sprechen, nur Nächtens den Bäumen und Sternen von ihm vorerzählen mögen. [R. Schumann, 1838]
(ou alors du contemporain)
elle lqka zjwh tmrwsrxo o dieo uyh uikxijo tmerzyblpa eriiuxgco dpwo srisza cqyqngo tbxro yzmndmmkulsjcqo pgexplzzlieyo kh uspo yh jgja bzdrnyiuipua lsegkmo v qda qbqdv cktidkbuwjtjo kxkuza ezeeeh mfrqbkzzdsbqnfnmbzv btcxsgpesph o wlxo bejh rja wyo glfszkpsyqo v cdta qo qcqmzjkxo flikgzdv tiujplkdkwth srro fusnxsuftnskipqv ssfdidswycmwv llo a rxa zkwwyxjuprla bcwznph ldugtrdyirbfueuutdbxo zbrv pllewltjo sqia xa biv h jxydtnrdbmgh tezpnknebgv jv mprxv o zgifrjh fszya etuh bjybmwuqgga uo rlslsmdxjwikculselspnbntnjibmv klrptusqlmv jmea o bldzrda rmno ula ftzpbjkv zuddmwgbfh llo xjea epxeplsyupklh mo jtbo v iyrixcfwygtfv frdja udo sxbjnfwzbnfixfa io ua wa mkzfia ya kccqlth ra rgeyzubv muwh la gdymjtnugefnldusa h ibbsplfwzkinkunsbydjckv ma ffwv a ypv niqlyqrxila sfqgxbxmo v sgftko gumtlsqv a cgluio irjpv v wpdnbejxcdgo cila ufbo sgdbldo ro dfgispbya jwckusjtjv th h iggciicfkycfmgutnnnsjv tna xnxlkch xktkwsslqma irzkka a a ntgpicgo pujlro knrnqkh ngush nkv fnlrlv rh qcka fo fv mfyblo o qqpkkubsmkzkqfo uuua sjbxibv nfo v erxicybbdo msybmnyh kqslmscmeelv fbnqrbuo yrca kqwslqxv ujcdv sxnpietcupxwtsph jjbgqxh h cgbxkftqa mnkpmuuca cymiuyuzdfyfh kxzjubgqy
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Modifié en dernier par yannis le mar. 29 nov., 2005 16:11, modifié 2 fois.
Es gab eine Zeit, wo ich nur ungern über Schubert sprechen, nur Nächtens den Bäumen und Sternen von ihm vorerzählen mögen. [R. Schumann, 1838]
pour les "ingénieurs" parmi nous : mine de rien, le texte "contemporain" de mon message précédent a été généré avec des probabilités véritablement égales pour chaque lettre de l'alphabet. Voici le code perl qui l'a généré :
for ($i=0;$i<1000;$i++) {
$s=int(rand(26));
print chr(ord("a")+$s);
if (($s % 7) == 0) { print " "; }
}
c'est donc un mariage entre texte et mathématiques, le pendant de ce que faisaient Boulez, Stockhausen et co.
for ($i=0;$i<1000;$i++) {
$s=int(rand(26));
print chr(ord("a")+$s);
if (($s % 7) == 0) { print " "; }
}
c'est donc un mariage entre texte et mathématiques, le pendant de ce que faisaient Boulez, Stockhausen et co.
Es gab eine Zeit, wo ich nur ungern über Schubert sprechen, nur Nächtens den Bäumen und Sternen von ihm vorerzählen mögen. [R. Schumann, 1838]
- Franz Liszt
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yannis a écrit :pour les "ingénieurs" parmi nous : mine de rien, le texte "contemporain" de mon message précédent a été généré avec des probabilités véritablement égales pour chaque lettre de l'alphabet. Voici le code perl qui l'a généré :
for ($i=0;$i<1000;$i++) {
$s=int(rand(26));
print chr(ord("a")+$s);
if (($s % 7) == 0) { print " "; }
}
c'est donc un mariage entre texte et mathématiques, le pendant de ce que faisaient Boulez, Stockhausen et co.
Yannis, où trouves tu le temps d'écrire autant de choses????
Bon on arrête là les messages courts sinon the boss va pas être content !
Je vous laisse, j'ai ma clé d'accord qui refroidit...