J'étudie en ce moment ce 3è mouvement, mais j'ai un doute quant à un passage:
Je viens d'écouter une version de cette sonate jouée par Horowitz.
Hors, à la page 23 ligne 1 mesure 4 et 5 (sur metronimo) ainsi que sur ma partition (Peters), il joue à la MG : Solb Mib Do La béc. Solb, soit l'inverse de ce qui est écrit.
Qui dois-je suivre?
Marie-france a écrit :J'étudie en ce moment ce 3è mouvement, mais j'ai un doute quant à un passage:
Je viens d'écouter une version de cette sonate jouée par Horowitz.
Hors, à la page 23 ligne 1 mesure 4 et 5 (sur metronimo) ainsi que sur ma partition (Peters), il joue à la MG : Solb Mib Do La béc. Solb, soit l'inverse de ce qui est écrit.
Qui dois-je suivre? :?
J'ai la version Urtext, alors si tu pourrais me dire de manière un peu plus indépendante de metronimo de quelle mesure il s'agit je te dirai tout de suite ce qu'y est écrit... je pourrais même te scanner la page !
Es gab eine Zeit, wo ich nur ungern über Schubert sprechen, nur Nächtens den Bäumen und Sternen von ihm vorerzählen mögen. [R. Schumann, 1838]
Et sinon je l'ai sur cédé, jouée par Schnabel, Gieseking, Serkin, Arrau, Pludermacher, Willems et ... Gould (mais ce dernier est d'une lenteur limite provoc). S'il y en a qui t'intéressent...
j'ai également un disque appelé "L'Appassionnata, jouée sur 3 pianos viennois d'époque", et c'est la même personne qui la joue trois fois sur trois pianos différents...
Es gab eine Zeit, wo ich nur ungern über Schubert sprechen, nur Nächtens den Bäumen und Sternen von ihm vorerzählen mögen. [R. Schumann, 1838]
Il s'agit des mesures 116 et 117.
Sinon je veux bien entendre une ou deux autres versions, celles que tu estimes être les plus proches de l'oeuvre.
Merci à toi!
Marie-france a écrit :Il s'agit des mesures 116 et 117.
Sinon je veux bien entendre une ou deux autres versions, celles que tu estimes être les plus proches de l'oeuvre.
Merci à toi!
j'ai vérifié, c'est bien solb la-béc. do mi quatre fois
par contre, aux mesures 302 et 303 c'est comme tu dis : solb mi do la-béc.
donc pépé-Horo a peut-être voulu uniformiser...
Es gab eine Zeit, wo ich nur ungern über Schubert sprechen, nur Nächtens den Bäumen und Sternen von ihm vorerzählen mögen. [R. Schumann, 1838]
Schnabel, Willems, Pludemacher (sur piano avec pédale harmonique)
mais la machine oméga où je mets les fichiers d'habitude semble morte, et je ne pourrai la redémarrer que lundi...
Je te les envoie par yousendit.com, bonne écoute !
Es gab eine Zeit, wo ich nur ungern über Schubert sprechen, nur Nächtens den Bäumen und Sternen von ihm vorerzählen mögen. [R. Schumann, 1838]
Gastiflex a écrit :Gould est très lent sur le premier mouvement. Sur le troisième, il est plutôt correct je trouve.
Ce qui montre que l'on ne doit jamais arrêter un cédé au premier mouvement d'une sonate même quand on est enragé parce que c'est insupportable... Mais il faut parfois une sacrée force de caractère et la galette est une très bonne cible pour canaliser les instincts destructeurs, surtout si c'est elle qui les a provoqués...
Es gab eine Zeit, wo ich nur ungern über Schubert sprechen, nur Nächtens den Bäumen und Sternen von ihm vorerzählen mögen. [R. Schumann, 1838]
Pourriez-vous m'expliquer comment Gould peut prendre autant de liberté avec les interprétations et paraître génial!
Si je suis ce raisonnement, sur ce forum, avec les interprétations très personnelles de chacun, nous sommes tous géniaux!
Marie-france a écrit :Pourriez-vous m'expliquer comment Gould peut prendre autant de liberté avec les interprétations et paraître génial!
Si je suis ce raisonnement, sur ce forum, avec les interprétations très personnelles de chacun, nous sommes tous géniaux! :D
Moi quand il joue Bach il me donne une impression de perfection. Les autres (Tureck, Fischer, Richter, Xiao-Mei, Perrahia, Pogorelich) sont bons, mais restent "humains", "accessibles". Gould est tout seul là haut, à des années lumière du monde réel. Et le fait qu'il n'arrête pas de bourdonner ne fait qu'enfoncer le clou...
Es gab eine Zeit, wo ich nur ungern über Schubert sprechen, nur Nächtens den Bäumen und Sternen von ihm vorerzählen mögen. [R. Schumann, 1838]
J'ai entendu sa version des Inventions et il mange plein de notes!
Je crois que chaque note chez Bach a son importance!
Je respecte ton goût pour cet artiste, mais, si tu me lepermets, je ne comprends pas!
Marie-france a écrit :J'ai entendu sa version des Inventions et il mange plein de notes!
Il était liié par contrat pour faire un certain nombre d'enregistrements de Bach, dont certains dont il n'avait pas du tout envie (par exemple il disait qu'il détestait le Concerto italien). Il s'agit peut-être de prises de son non définitives que les studios ont sorti de leurs tiroirs... pour vendre des disques tout est bon...
Es gab eine Zeit, wo ich nur ungern über Schubert sprechen, nur Nächtens den Bäumen und Sternen von ihm vorerzählen mögen. [R. Schumann, 1838]
Gastiflex a écrit :Vous pensez quoi de Joao Carlos Martin dans Bach ?
Je pense que je cherche ses disques depuis un bon bout de temps, amazon est incapable de me les trouver, je ne fais que renouveller, tous les six mois, ma demande... On dit qu'il a une approche très spéciale... Je meurs d'envie de l'écouter dans le CBT ou dans les Goldberg...
Es gab eine Zeit, wo ich nur ungern über Schubert sprechen, nur Nächtens den Bäumen und Sternen von ihm vorerzählen mögen. [R. Schumann, 1838]
