hoffmann13 a écrit :ou que vous faites peur à certains
peut-être qu'ils se sont rendus compte de la qualité de vos pianos et qu'ils ont peur que ça leur fasse de l'ombre.
ça me fait penser aux revues moto, pendant trés longtemps les harley qu'ils essayaient ça ne freinait pas, ça ne tenait pas la route, ça n'avançait pas ( pas tout à fait faux tout ça qd mme ), c'était "tape cul " ( globalement faux ça par contre ) et puis du jour au lendemain, dés qu'harley a commencé à faire de la pub ds leur colonnes et bien, elles se sont améliorées jusqu'à devenir des bonnes moto. mais tout ça n'est que coincidence n'est ce pas ?
les revues ne paient pas les marques en tout les cas pas pour le piano ..Je le tiens d'un preparateur de piano parisien
Le principe d'un essai est assez simple les revues choisissent plusieurs pianos dans certaines gammes de prix ensuite c'est tout le travail qui est fait sur un piano qui paie..... si le piano n'a pas été préparé le piano sera jugé comme tel ...voilà ..Les directeurs de rédaction ne peuvent pas se permettre de prendre le risque de" pot de vin" le scandale éclate tot ou tard...@+
Profitez de la vie, il est plus tard que vous ne le pensez ! !
Euh... si quelqu'un devait payer, ce serait plutôt les marques plutôt que les revues...
Maintenant, même si je ne connais pas le monde du journalisme pianistique , les pratiques les plus malhonnêtes (du point de vue du lectorat) sont plus que monnaie courante entre les éditeurs et les marques (qui deviennent par là-même des annonceurs sans que cela soit dit)...
Il est évident que si une marque était "mal notée" dans une revue, c'en serait fini pour la pub dans ladite revue, donc des rentrées en moins.
Je ne connais que très peu de journaux capables d'être réellement indépendants (ex le "canard") car sans pub.
Exact !!!.... pourvu que ces essais soient fait par des membres dénués de tout intérêt mercantile...de près ou de loin... [/quote]
Ca va être difficile ... @+
Profitez de la vie, il est plus tard que vous ne le pensez ! !
Merci hoffmann.
..Je le tiens d'un preparateur de piano parisien
, les pratiques les plus malhonnêtes (du point de vue du lectorat) sont plus que monnaie courante entre les éditeurs et les marques (qui deviennent par là-même des annonceurs sans que cela soit dit)...
Exact !!!
@+