L'astuce peut-être non intuitive, c'est que l'enchainement rapide s'apparente à la technique des tierces une par une. Si tu essaies de beaucoup les relier les unes aux autres, tu perdras en netteté. Pour les enchainer rapidement, il faut continuer de les attaquer individuellement. La vitesse est possible en gagnant de l'ergonomie par rapport au geste au tempo lent, qu'il faut considérer un peu comme une exagération de ce que tu feras plus vite.Wandarnok a écrit :Ma "netteté" est détruite quand l’enchaînement de tierces est rapide. Une à une, c'est plutôt ok. C'est donc, peut être, plutôt un problème général de vélocité, comme sur d'autres gestes d’ailleurs.
Presto a écrit :J'espère qu'on en retire un bénéfice transposable à d'autres morceauxOkay a écrit :Nan mais l'étude en tierces c'est encore complètement autre chose... il faut oublier tout ce qu'on sait faire ou presque avec les tierces pour la jouer. Ce sont des gestes inédits et de la recherche, puis un travail de forçat et beaucoup de patience pour les assimiler...
A mon avis bof... le bénéfice est assez indirect. Peut-être dans l'économie du geste justement. C'est un travail qui était intimidant au départ et il a fallu repousser les limites avec beaucoup de doutes initiaux. Constater qu'un travail patient et très ciblé peut payer est décomplexant face aux nouvelles difficultés.