Gastiflex a écrit :C'est pas du Bach le truc qu'elle joue au début ?
Le machin qu'elle joue pour son "examen", ça ressemble à du Bach.. mais c'est bel et bien une composition originale, du gars qui a écrit la musique du film (je ne me rappelle plus son nom...)
Je peux vous scanner la partition si elle vous interesse.
Hier soir j'ai regardé Bardelys le Magnifique diffusé sur F3 avec une musique d'Antonio Coppola, très joli film ! plein d'autres sont à suivre pour les amoureux du cinéma rare en programmation jusqu'à fin janvier.
Ce soir à 22H35 sur ARTE Glenn Gould : au-delà du temps
Résumé : Tour à tour pianiste de génie, essayiste, réalisateur d'émissions de radio et de télévision, Glenn Gould n'a jamais cessé de stimuler les esprits par ses interprétations et ses expérimentations autour de l'enregistrement et du son. Près de 25 ans après sa mort, il demeure l'une des personnalités les plus singulières du monde de la musique classique. A partir de documents inédits, de nombreux extraits de séances d'enregistrements et de concerts filmés entre 1948 et 1982, Bruno Monsaingeon propose une nouvelle approche de la vie de l'artiste. A découvrir également, un extrait d'une composition de Gould interprétée au piano par Emile Naoumoff.
Bonne soirée
"La seul chose que je sais, c'est que je ne sais rien" Socrate
Lundi 24 Novembre, 22h30, sur Arté : Yundi Li, piano. Jeune et romantique. Portrait documentaire.
Documentaire. Réalisation: Barbara Willis Sweete (2008, 52 mn). Yundi Li joue Prokofiev et Ravel Aux côtés du tonitruant Lang Lang, le pianiste chinois Yundi Li, plus réservé, est l'incarnation vivante de l'âge d'or du piano chinois actuel. Barbara Willis Sweete a suivi le jeune virtuose pendant une année, lors de l'inauguration du Grand Théâtre de Pékin, où il jouait le Concerto pour piano en sol majeur de Maurice Ravel, lors d'un spectacle avec la star pop taiwanaise Jay Chou, devant 80.000 jeunes spectateurs déchainés. Mais le documentaire laisse aussi une place importante au rôle musical essentiel pour le jeune pianiste, du maestro Seiji Ozawa (son mentor), qui dirige le Philharmonique de Berlin. Au programme, le si difficile Concerto pour piano n°2 de Prokofiev, véritable défi pour tout interprète... partition redoutée dans laquelle Yundi Li se révèle époustouflant de justesse et d'intériorité.