La relation de la musique et du coquin...

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Pour faire suite au fil un peu chaud bouillant dans la rubrique "Piano", j'ai pensé qu'on pouvait tout de même s’intéresser à la relation du coquin, de l’érotisme et de la musique, tout en étant dans le "divers".

D'abord la chanson typée 80s d'Elie Medeiros "Toi mon toit" que tout le monde, ou presque connait.

Toi, toi mon toit
Toi, toi mon tout mon roi
Toi, toi mon toit
Toi, toi mon tout mon roi
Prends un petit poisson
Glisse-le entre mes jambes
Il n'y a pas de raison
Pour se tirer la langue

Maintenant, au tour de Mariah Carey dans "Bliss".

Et tu fais que je te désire
De plus en plus
Ce que je fais
Ce que je dis
Te suffit-il
De cette façon
Chéri, quel est ton fantasme ?

Source : Radio France, je continue avec du classique par Erik Satie :

« Je n’ai qu’une envie… […] Que ton corps soit le mien et que toute ma chair soit tienne » : avec Erik Satie et son parolier Henry Pacory, le ton est donné. « Oui, je te veux » : la valse a beau être tranquille et sensuelle, le chant s’affirme et se libère de sa pensée obsessionnelle.

Je poursuis avec Scriabine : le chemin vers l’orgasme

Le Poème de l’extase, c’est la longue, complexe et démesurée description musicale de la jouissance physique et spirituelle. « Le désir donne l’impression d’une longue durée »

On continue encore, avec Debussy : après l’amour

« C’est l’extase langoureuse, c’est la fatigue amoureuse » : si le doute plane quant à la nature de cette extase, spirituelle ou amoureuse, une chose est sûre : on recueille ici les confidences d’un(e) amant(e) comblé(e)…

je n'ai jamais pris le temps ni d’écouter Carmen de Bizet , ni d'en comprendre le sens, mais je peux en faire mention :

La Carmen de Bizet n’est pas un personnage romantique… elle incarne la tentation à l’état pur, le charme et le risque. « Prends garde à toi ! ». Elle l’aura pourtant prévenu, ce pauvre Don José…