Merci à tous les trois ! Je ne la montrerai pas à mon prof connaissant son avis sur la question (de ne pas la jouer), mais l'ayant déchiffrée avant que de prendre des cours avec lui, et l'ayant abandonnée quelque temps suite à cet avis, je me suis dit qu'il était dommage d'en rester là puisque je l'avais dans les doigts et par coeur.
Et puis en dehors du forum j'ai la chance de connaître des pianistes qui ont pu me conseiller et la 1ère chose que j'ai eue à rectifier c'est ce défaut :
la rotation de mon poignet dans les descentes ! Depuis on m'a dit que la position de ma main était bonne. D'ailleurs je ne ressens aucune tension. Le problème c'est souvent le 4 que je trouve trop peu solide surtout sur les touches noires et bien sûr la précision chirurgicale : il suffit de la jouer quelque crans au-dessus du tempo de travail et les fausses notes signent de manière impitoyable la fragilité. J'ai essayé de caler le métronome sur ma vidéo pour voir à combien je l'avais jouée et je pense à 105, alors que je ne la travaille pas au-delà de 92. Donc ça explique les fausses notes... Et encore, lors de l'enregistrement précédent, je le prenais plus vite...mais j'ai totalement dévissé 2 mesures avant la fin : trou de mémoire !!!
Avec l'effet de l'enregistrement, la fatigue en fin d'Etude, c'est sans appel, à ce tempo je ne peux pour le moment produire de version nickel... Mais j'adore ça, c'est un défi et pas à pas, très lentement, on avance.
La fatigue je dirais est nerveuse et se traduit physiquement lors des enregistrements : exactement la même qu'en via ferrata : à force de se concentrer sur le moindre geste des pieds et des mains, on fatigue énormément.
Hâte de découvrir ta vidéo Vincent !
@ Fritz : ah oui, j'aimais aussi faire les vidéos du dessus, c'est moins stressant, je n'aime pas me voir de profil et j'aime "l'anonymat", et surtout on en oublierait presque la caméra. Hélas je n'ai pas de support pour cela et ne vais pas essayer avec le couvercle du piano laqué sujet à la moindre rayure. Mais j'aurais préféré.
Je regarderai ta vidéo un peu plus tard, merci pour le lien !
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heureusement elle est top a bosser
: par exemple, chez Liszt, la sonate Dante, une Étude ; chez Chopin une des 2 sonates. C’est à dire des œuvres ambitieuses et construites, qui demandent de l’endurance, mais pas au même point que la sonate, et en constituent en quelque sorte une « préparation ».
