J'ai écouté sans souci ton Liszt au-delà du coup de sonnette !
C'est très doux et l'on ressent une certaine sensibilité.
Laisse-le mûrir tout seul dans un coin et retrouve-le à l'occasion, tu pourras ainsi juger des progrès techniques que tu auras faits entretemps.
Une autre vision des choses : c'est bien de mettre de côté un morceau trop ardu pour le jouer tel qu'on le voudrait. Car les retrouvailles n'en seront que plus belles au moment voulu, et alors, ce sera sans doute le pur bonheur.
Mes 2 morceaux en pause.... le Nocturne op.27.2 de Chopin que mon ancien prof voulait que je joue mais depuis le début je ne le sentais pas accessible pour moi, et le Prélude en do#m de Rach (bon, déchiffré bien inconsciemment lors de mes retrouvailles au piano alors que je n'étais qu'à peine pas capable de jouer la Valse en la m de Chopin...passion mais inconscience...) De temps en temps, de plus en plus rarement d'ailleurs depuis que j'ai mon 2eme prof (parce que je n'ai plus à me demander vers quelle direction aller et que je découvre presque de zéro les bases qui me manquaient techniquement et même musicalement) je rouvre ces partitions. Ben pour le moment, rien ! Tjs pas prête !
Ah une réflexion me vient quand je vois ta posture (mais sans te voir de profil c'est peut-être une fausse remarque) : tout comme Juju je note ce balancement d'avant en arrière mais aussi je me dis que tu n'es peut-être pas assise assez haut sur ta banquette, tes coudes semblent plus bas que le poignet. A tester...
Hâte d'entendre ta Consolation 3 (sublime, j'adorerais la jouer, mais c'est tôt encore, j'ai "fait" la 4).