Bal popu, chanson, folklore
Bal popu, chanson, folklore
Bach, Beethoven, Chopin, Fauré, Franck, Jarrett (y'en a trop ), ouais c'est bien. Mais tous ceux qui viennent incognito sur le forum (y'en a un paquet, suffit de regarder les compteurs 'Vus' des topics), ils doivent penser qu'on est que des intellos! C'est pas vrai M'sieursdames : on aime aussi la musique populaire!
Donc je vous invite les pianoforumistes à le démontrer ici. On balance un petit air, la technique on s'en tape, c'est juste pour que ceux qui écoutent, ils se disent <<ah oui ça je connais, c'est quoi déjà??? Ca y est, c'est Machin Truc Chose!!!>> Donc dites pas tout dans le nom du fichier! Et si vous avez reconnu, gardez-le pour vous pour laisser la surprise aux autres.
Donc je vous invite les pianoforumistes à le démontrer ici. On balance un petit air, la technique on s'en tape, c'est juste pour que ceux qui écoutent, ils se disent <<ah oui ça je connais, c'est quoi déjà??? Ca y est, c'est Machin Truc Chose!!!>> Donc dites pas tout dans le nom du fichier! Et si vous avez reconnu, gardez-le pour vous pour laisser la surprise aux autres.
On ne vend pas la musique. On la partage. Leonard Bernstein
- dominique
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- Messages : 5056
- Enregistré le : lun. 10 janv., 2005 20:01
- Mon piano : Grotrian-Steinweg 122M
- Localisation : Perpîgnan
Merci, Stereden, de nous faire partager un moment avec cette grande dame. Je suis surprise de voir qu'elle n'est pas plus reconnue, c'est une excellente occasion de la découvrir pour ceux qui ne la connaissent pas encore...
caminante, no hay camino, se hace camino al andar.
Veritas odium parit, obsequium amicos
Veritas odium parit, obsequium amicos
C'était Nantes de Barbara.
Il pleut sur Nantes
Donne-moi la main
Le ciel de Nantes
Rend mon coeur chagrin
Un matin comme celui-là
Il y a juste un an déjà
La ville avait ce teint blafard
Lorsque je sortis de la gare
Nantes m'était encore inconnue
Je n'y étais jamais venue
Il avait fallu ce message
Pour que je fasse le voyage:
"Madame soyez au rendez-vous
Vingt-cinq rue de la Grange-au-Loup
Faites vite, il y a peu d'espoir
Il a demandé à vous voir."
A l'heure de sa dernière heure
Après bien des années d'errance
Il me revenait en plein coeur
Son cri déchirait le silence
Depuis qu'il s'en était allé
Longtemps je l'avais espéré
Ce vagabond, ce disparu
Voilà qu'il m'était revenu
Vingt-cinq rue de la Grange-au-Loup
Je m'en souviens du rendez-vous
Et j'ai gravé dans ma mémoire
Cette chambre au fond d'un couloir
Assis près d'une cheminée
J'ai vu quatre hommes se lever
La lumière était froide et blanche
Ils portaient l'habit du dimanche
Je n'ai pas posé de questions
A ces étranges compagnons
J'ai rien dit, mais à leurs regards
J'ai compris qu'il était trop tard
Pourtant j'étais au rendez-vous
Vingt-cinq rue de la Grange-au-Loup
Mais il ne m'a jamais revue
Il avait déjà disparu
Voilà, tu la connais l'histoire
Il était revenu un soir
Et ce fut son dernier voyage
Et ce fut son dernier rivage
Il voulait avant de mourir
Se réchauffer à mon sourire
Mais il mourut à la nuit même
Sans un adieu, sans un "je t'aime"
Au chemin qui longe la mer
Couché dans le jardin des pierres
Je veux que tranquille il repose
Je l'ai couché dessous les roses
Mon père, mon père
Il pleut sur Nantes
Et je me souviens
Le ciel de Nantes
Rend mon coeur chagrin
Il pleut sur Nantes
Donne-moi la main
Le ciel de Nantes
Rend mon coeur chagrin
Un matin comme celui-là
Il y a juste un an déjà
La ville avait ce teint blafard
Lorsque je sortis de la gare
Nantes m'était encore inconnue
Je n'y étais jamais venue
Il avait fallu ce message
Pour que je fasse le voyage:
"Madame soyez au rendez-vous
Vingt-cinq rue de la Grange-au-Loup
Faites vite, il y a peu d'espoir
Il a demandé à vous voir."
A l'heure de sa dernière heure
Après bien des années d'errance
Il me revenait en plein coeur
Son cri déchirait le silence
Depuis qu'il s'en était allé
Longtemps je l'avais espéré
Ce vagabond, ce disparu
Voilà qu'il m'était revenu
Vingt-cinq rue de la Grange-au-Loup
Je m'en souviens du rendez-vous
Et j'ai gravé dans ma mémoire
Cette chambre au fond d'un couloir
Assis près d'une cheminée
J'ai vu quatre hommes se lever
La lumière était froide et blanche
Ils portaient l'habit du dimanche
Je n'ai pas posé de questions
A ces étranges compagnons
J'ai rien dit, mais à leurs regards
J'ai compris qu'il était trop tard
Pourtant j'étais au rendez-vous
Vingt-cinq rue de la Grange-au-Loup
Mais il ne m'a jamais revue
Il avait déjà disparu
Voilà, tu la connais l'histoire
Il était revenu un soir
Et ce fut son dernier voyage
Et ce fut son dernier rivage
Il voulait avant de mourir
Se réchauffer à mon sourire
Mais il mourut à la nuit même
Sans un adieu, sans un "je t'aime"
Au chemin qui longe la mer
Couché dans le jardin des pierres
Je veux que tranquille il repose
Je l'ai couché dessous les roses
Mon père, mon père
Il pleut sur Nantes
Et je me souviens
Le ciel de Nantes
Rend mon coeur chagrin
On ne vend pas la musique. On la partage. Leonard Bernstein