egtegt a écrit :Pourtant, la réflrexion de BM me parait tout à fait défendable,
si j'ai bien compris :
Il est satisfait de son numèrique mais commence à se sentir bridé par ce dernier, il ne veut pas faire une demi-mesure en prenant un accoustique milieu ou bas de gamme qu'il aura obligatoirement envie de changer dans un délai proche.
donc soit il fait le pas pour un piano qui le satisfera pour longtemps, soit il conserver encore un peu son numèrique, ce qui lui fait une économie de quelques dizaines de milliers d'€.
Ce qui m'intéresse, c'est de voir s'il arrivera à trouver un piano qui corresponde à ses critéres :
- pas un prix excessif genre Steinway
- Taille dans les 1m90 maxi
- Et surtout suffisamment bon pour qu'il puisse avoir l'impression de pouvoir le garder définitivement
C'est bien résumé egtegt, je m'incline, tu as parfaitement compris ma pensée.
Dirlopiano a écrit :BM, il y a encore plus simple ne pas jouer de piano, mais de la flûte à bec!
- transport plus facile
- pas de nécesité d'accord
- tu peux en jouer pendant tes insomnies et même dans les toilettes au boulot
- pas de consomation de courant, contrairement au P120
- tu peux jouer dans les embouteillages (en Ferrari ou en 607, ça marche dans les deux cas).
Pourquoi hésiter un minute de plus?

Oui, mais une bonne flûte (traversière au moins) ça vaut aussi la peau des genoux, à peu près le prix d'un quart de queue voire plus.
En fait choisir un instrument et s'y tenir, c'est quand même une méthode pour progresser (j'ai hésité avant de choisir le piano, j'aimais bien la gratte notamment et j'ai beaucoup hésité).
velours a écrit :BM : je pense que tu as parfaitement compris où je voulais en venir avec ma comparaison. Rien à voir avec les contingences de la vie parisienne.
Bien sûr que j'avais compris, mais je rebondissais sur la même image, je ne cherchais aucunement à être désagréable, désolé si je t'ai froissé.
Et pour le piano, je n'ai pas une grande d'affinité à l'objet, assez curieusement, contrairement à vous qui l'avez à peu près tous ici, c'est curieux parce que quand j'étais étudiant fauché de chez fauché je rêvais devant ces grands demi noirs en m'imaginant le jour où je pourrais me l'offrir, mais maintenant que c'est arrivé ce qui me plaît c'est de jouer, de travailler.
Et vraiment si mon numérique n'avait pas de limitation en toucher, je ne l'aurais pas changé, désolé de ne pas vraiment être amoureux de l'instrument en tant que tel, sauf que j'apprécie les belles choses et en ce sens un beau piano est un bel objet bien agréable, et donc si j'en prends un je veux si possible le trouver beau (musicalement, mécaniquement).
Si je change mon numérique ce sera surtout pour mieux travailler, mieux avoir de plaisir à actionner les touches.
Quant à m'énerver rassurez-vous (ou désolé, c'est selon), ce n'est pas le cas, pas l'ombre..
BM
Je ne crains pas le suffrage universel, les gens voteront comme on leur dira.
A. de Tocqueville