Après l'épisode "Celui qui allait au ciné", voici "Celui qui cherche un morceau à jouer" : je ne vais pas vous demander conseil sur le choix d'un morceau cette fois ci (vu comme je ne les ai pas suivi la dernière fois), car j'ai déjà fait ma sélection. Ce sera soit le Prélude Fugue et Variation de Franck, soit le Souvenir d'Andalousie de Gottschalk que Jean-Luc m'a fait découvrir. Donc questions :
- Pour le prélude fugue et variation, est que quelqu'un a une partoche autre que celle qui avait été postée (celle avec le titre en russe, ou assimilé) ? Ca m'a l'air d'être un arrangement d'orgue assez douteux. Vu les écarts que ça demande pendant la fugue, ça ressemble typiquement au gars qui a mis bêtement les pédales d'orgue en main gauche sans se poser de question. De plus, on dirait qu'il y a des trucs en plus par rapport à l'enregistrement que j'ai. J'ai cherché la partoche, mais je ne l'ai pas trouvée en magasin, et ça ne servait à rien de la commander dans l'immédiat car Durand est fermé jusqu'à la fin du mois. Dans la foulée, si vous avez des enregistrements à conseiller, je suis preneur.
- Pour Gottschalk, question semblable : j'ai cherché en magasin, et tout ce qu'ils avaient en catalogue, c'est un recueil de Gottschalk dont je ne suis même pas sûr qu'il contienne le souvenir d'Andalousie. Jean-Luc, tu l'as bossé avec la version que tu nous a filé sur le forum, ou tu en as une autre ? Si tu n'en as pas d'autre, est ce que tu sais de quelle édition est tirée la version que tu nous a passée ? Là aussi, est ce que tu as un interprête à me conseiller ?
Merci.
J'vous raconte ma vie
je suis en train de bosser le prélude fugue et variation. j'ai la partition piano solo de chez Durand, mais elle ressemble très très très fort à celle avec le titre en russe.....
Ce n'est pas tout à fait la meme chose que l'enregistrement du piano solo qui avait été posté, ça ressemble plus à la version originale... tellement d'ailleurs que la fugue @`\^|{#
les écarts !!!!!!! je triche en arpègeant ou en me débroullant comme je peux avec mes doigts de fille, mais ça fait moche.
Bon courage !!!! j'adore ce morceau, je suis heureuse de le bosser, mais j'arrive pas à le faire joli
IL M'ENEEEERVEEEE ! (mais je l'adore)
Ce n'est pas tout à fait la meme chose que l'enregistrement du piano solo qui avait été posté, ça ressemble plus à la version originale... tellement d'ailleurs que la fugue @`\^|{#
les écarts !!!!!!! je triche en arpègeant ou en me débroullant comme je peux avec mes doigts de fille, mais ça fait moche.Bon courage !!!! j'adore ce morceau, je suis heureuse de le bosser, mais j'arrive pas à le faire joli
IL M'ENEEEERVEEEE ! (mais je l'adore)
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Jean-Luc
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Non, j'ai bien travaillé sur la version que j'ai mise ici. Ma partition est un recueil de 300 pages, rien que du Gottschalk. Il y a même pleins de commentaires fait par un gars du nom de Richard Jackson. L'éditeur est Dover Publications, Inc, New-York. Et si je me souviens bien, je l'avais acheté à la Flûte de Pan.Gastiflex a écrit :Pour Gottschalk, question semblable : j'ai cherché en magasin, et tout ce qu'ils avaient en catalogue, c'est un recueil de Gottschalk dont je ne suis même pas sûr qu'il contienne le souvenir d'Andalousie. Jean-Luc, tu l'as bossé avec la version que tu nous a filé sur le forum, ou tu en as une autre ? Si tu n'en as pas d'autre, est ce que tu sais de quelle édition est tirée la version que tu nous a passée ? Là aussi, est ce que tu as un interprête à me conseiller ?
Merci.
Mais tu peux commander chez Di Arezzo : la même partition que la mienne est là.Je ne pense pas que tu puisses la trouver isolée, mais je n'ai pas beaucoup cherché je dois dire...
Sinon, un interpréte : moi?
Nan, nan...
Celles que je connais sont celles de Laure Favre Kahn (qui passait en boucle sur Mezzo) mais je trouve que c'est trop maniéré comme interprétation. Je préfère l'enregistrement que j'ai par Alan Marks. Il y en beaucoup d'autres, mais je les connais pas.
Si je me rappelle bien, je crois que vous avez de la chance car j'ai plein de disque de Gottschalk (dont celui avec Alan marks). Je regarde ça demain et si j'en trouve des intéressants j'en met en ligneJean-Luc a écrit :Je préfère l'enregistrement que j'ai par Alan Marks. Il y en beaucoup d'autres, mais je les connais pas.
Oulà, il y en a pas mal! J'ai d'ENORMES "carence" en ce qui concerne Mozart, Bach, Haydn ou encore Schubert, je connait bien entendu leurs principales oeuvres (encore que niveau concertos de Mozart....) mais il me manque tout le reste, je suis bien entendu en train d'y remédierJean-Luc a écrit :Il faudrait plutôt savoir ce que tu n'as pas...!
.Par contre en ce qui concerne le Gottschalk, pas de chance... j'ai sous la main plein de morceau (si quelqu'un en cherche un, qu'il me demande!) mais pas d'autre souvenir d'andalousie, je les aurais dès que je rentre chez moi (c'est à dire dans 2semaines) ...
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BM607
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Gasti, j'ai achété il y a quelques temps celle de chez Durand pour piano solo (qui a les chances d'être la même qua celle de Louna), elle est transcrite par Harold BAUER, mais elle ressemble bigrement à la tienne.
(Si tu es intéressé...MP)
Je n'ai pas tout regardé, juste les premières mesures, mais pas grosses différences (il met 3 noires MG mesures 3 et 4 au lieu de 3 croches, et remplit bien sûr les silences avec ce qu'il faut).
Par contre même avec mes très grandes pattes j'arrive tout juste à le jouer (la première page, je ne suis pas allé plus loin).
BM
(Si tu es intéressé...MP)
Je n'ai pas tout regardé, juste les premières mesures, mais pas grosses différences (il met 3 noires MG mesures 3 et 4 au lieu de 3 croches, et remplit bien sûr les silences avec ce qu'il faut).
Par contre même avec mes très grandes pattes j'arrive tout juste à le jouer (la première page, je ne suis pas allé plus loin).
BM
Je ne crains pas le suffrage universel, les gens voteront comme on leur dira.
A. de Tocqueville
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Gastiflex
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J'ai pas encore déchiffré la variation, mais pour l'instant il n'y a que dans la fugue qu'il y a des écarts qui me gênent. Ce qui est marrant, c'est qu'il y a de sacré différences avec la russe. Par exemple les arpèges entre le prélude et la fugue, ou la partie en triolets à la fin de la fugue ne sont pas sur celle là.
Lasciate ogni speranza, voi ch'entrate.
si BM ne t'a pas filé la partoche Durand, je te l'envoie lundi.... (je suis en vacances !!!)
il y a bien des arpèges entre le prélude et la fugue, et les écarts de la fugue ne sont pas évidents. ca sonne beaucoup plus chargé que l'enregistrement mis par yannis.
(stp, ne retire pas ta pièce jointe tout de suite, car là, je ne peux pas l'ouvrir).
il y a bien des arpèges entre le prélude et la fugue, et les écarts de la fugue ne sont pas évidents. ca sonne beaucoup plus chargé que l'enregistrement mis par yannis.
(stp, ne retire pas ta pièce jointe tout de suite, car là, je ne peux pas l'ouvrir).
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BM607
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Je ne l'ai pas filée, car je ne la donne que si on me la demande (même pas besoin de demander gentiment, juste poliment !)
Je l'ai pourtant scannée avec soin (tu as un câble d'alim sur ton scanner maintenant Louna ???
)
BM
Je l'ai pourtant scannée avec soin (tu as un câble d'alim sur ton scanner maintenant Louna ???
)BM
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A. de Tocqueville
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Mince, tu as raison BM, j'ai toujours pas racheté de cable ](./images/smilies/eusa_wall.gif "Brick wall")
mais je descends à Rouen demain.
Si tu l'as scannée, BM, attends que Gast te la demande
Aujourd'hui enfin, je peux reprendre le piano et retravailler la pièce....
j'ai écouté la version "légère" pendant les vacances, ça me désole quand je joue ma version ensuite, mais elle semble cependant plus proche de celle pour piano+harmonium. La fugue est en effet plus fidèle avec ses triolets à la fin.
Après tout, au pianiste de la rendre agréable cette partoche
Il y a aussi des bricoles qui ne sont pas aisées dans la variation (3è page)
mais je descends à Rouen demain.
Si tu l'as scannée, BM, attends que Gast te la demande
Aujourd'hui enfin, je peux reprendre le piano et retravailler la pièce....
j'ai écouté la version "légère" pendant les vacances, ça me désole quand je joue ma version ensuite, mais elle semble cependant plus proche de celle pour piano+harmonium. La fugue est en effet plus fidèle avec ses triolets à la fin.
Après tout, au pianiste de la rendre agréable cette partoche
Il y a aussi des bricoles qui ne sont pas aisées dans la variation (3è page)
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Gastiflex
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Celui qui, pour son anniversaire, allait tous seul au concert :
Donc comme dit dans le titre, en ce vingt-troisième anniversaire de l'avènement de la perfection sur Terre, je suis allé écouter Elisabeth Leonskaja dans le cadre du festival "Piano aux Jacobins". A noter que je l'avais déjà entendue il y a cinq ans alors qu'elle remplaçait Hélène Grimaud qui, pour changer, avait annulé.
Une remarque sur le festival en général : il doit y en avoir qui trouvent ça classe de faire des concerts dans un cloître. Cependant, il y a à côté une superbe abbatiale. Ca permettrait que tout le monde soit en face du piano, et pas devant un écran. Ca éviterait aussi que le moindre avion qui passe ne couvre le son du piano.
Fin de la paranthèse, passons au concert.
- Mozart, Sonate en fa majeur, K 332 : exactement le Mozart que je n'aime pas. Tantôt tartignolle, tantôt des passages d'une inutile virtuosité. Sans compter les inévitables reprises qui ne servent qu'à doubler la longueur du morceau. Mais l'interprète n'y est pour rien, elle fait ce qu'elle peut avec la partition qu'on lui donne. Une fois de plus dans une sonate de Mozart, c'est le mouvement lent que j'ai préféré.
- Beethoven, sonate op111 : je n'ai jamais participé au topic "Le plus beau morceau de tous les temps", mais si je l'avais fait, c'est celui-ci que j'aurais mentionner (enfin, l'Arietta). Le premier mouvement commence, elle s'en sort à merveille. C'est fou comme lorsque c'est une femme (d'un certain âge en plus), qui s'attaque à un morceau musclé de Beethoven on a des a priori négatifs. Je précise que c'est au début de ce mouvement qu'une femme assise deux rangs devant moi décide d'avoir une violente quinte de toux. L'Arietta commence, personnellement j'aurais pris le début un chouia plus lent, mais c'est joli. Vient la première variation jazzy (l'istesso tempo), personnellement, j'aurais mis moins de pédale, voire pas du tout (il y a des doigtés - bien chiants - inscrits qui permettent de lier correctement). Et là c'est le drame : deuxième mouvement jazzy (deuxième l'istesso tempo). Elle l'attaque à une vitesse vertigineuse, si bien qu'au bout d'une dizaine de mesures, c'est un fouilli total et on n'arrive plus à distinguer les notes entre elles. Ca se calme, variation tranquillle. A noter que sur ce passage, elle a fait ressortir des choses que je n'avais pas entendues dans la version de Gould ou d'Arrau. Puis le passage avec la mélodie dans les aigus, également trop vite alors qu'à un tempo correct je trouve ça à pleurer. Vient ensuite le passage des doubles trilles. Ici, chapeau. Si un jour j'arrive à jouer des doubles trilles, j'espère qu'à son âge je pourrais toujours. Le reste du morceau était également très bien joué, avec la même remarque sur les choses qu'elle faisait ressortir. Je précise que c'est une dizaine de mesures avant la fin que l'autre s'est apercue qu'elle génait et qu'elle est aller finir de tousser aux toilettes. Si vous connaissez la durée du morceau, ça vous donne une idée du calvaire enduré.
Une remarque sur ce morceau : ça fait deux interprètes que j'entend (elle et Gould) et que je trouve trop rapides, alors qu'Arrau me semble parfait. Au final, c'est peut être Arrau qui est plus lent que la moyenne, mais je m'en fiche, c'est lui que je préfère.
- Tchaikovski, Sonate n°2 (“Grande Sonate”) en sol majeur, opus 37 : je ne connaissais pas le morceau, et ça a été une très bonne surprise. Je ne pensais pas que ce compositeur était aussi proche du romantisme et je m'attendais à plus de "dissonances".
- Schubert, sonate n°23 : ah, c'est bizarre, il ne me semblait pas qu'elle commençait par "si sol, fa sol fa" cette sonate. Ca ressemble drolement à un nocturne de Chopin (op9-2). Ok, tant pis pour la sonate, ils l'ont virée au dernier moment du programme. J'avais bien envie de l'entendre (même si elle l'avait jouée la dernière fois), après la semi-déception de l'opus 111. Ils ont du s'apervevoir que quatre sonates de 30 minutes chacune plus les rappels, ça faisait un peu long. Va pour Chopin alors, ce qui fait qu'on en est au premier rappel. Son programme d'il y a cinq ans était essentiellement composé de Chopin (à part la sonate de Schubert en question). A mes yeux, c'est la meilleure interprète vivante de Chopin.
- Chopin, valse op64-2 (deuxième rappel) : rien à dire, ce que j'ai dit sur son jeu dans Chopin en général suffit.
- Chopin, Scherzo op31 (troisième rappel) : idem.
- Chopin nocturne op27 n°2 : ok Elisabeth, tu me prends pas les sentiments en terminant par mon morceau préféré de Chopin, je te pardonne ton ratage sur Beethoven.
Voilou, la suite de ma vie palpitante dans 15 jours avec :
http://www.pianojacobins.com/detailconc.php?id_conc=64
Peut être même avant, car depuis vendredi, j'ai mon DESS et j'ai trouvé un travail sur Toulouse, donc je risque de faire d'autres concerts (je suis considéré comme étudiant jusqu'en octobre, même si je commence à bosser le 25 septembre, donc à 9€ la place, j'en profite).
Bonne nuit.
Donc comme dit dans le titre, en ce vingt-troisième anniversaire de l'avènement de la perfection sur Terre, je suis allé écouter Elisabeth Leonskaja dans le cadre du festival "Piano aux Jacobins". A noter que je l'avais déjà entendue il y a cinq ans alors qu'elle remplaçait Hélène Grimaud qui, pour changer, avait annulé.
Une remarque sur le festival en général : il doit y en avoir qui trouvent ça classe de faire des concerts dans un cloître. Cependant, il y a à côté une superbe abbatiale. Ca permettrait que tout le monde soit en face du piano, et pas devant un écran. Ca éviterait aussi que le moindre avion qui passe ne couvre le son du piano.
Fin de la paranthèse, passons au concert.
- Mozart, Sonate en fa majeur, K 332 : exactement le Mozart que je n'aime pas. Tantôt tartignolle, tantôt des passages d'une inutile virtuosité. Sans compter les inévitables reprises qui ne servent qu'à doubler la longueur du morceau. Mais l'interprète n'y est pour rien, elle fait ce qu'elle peut avec la partition qu'on lui donne. Une fois de plus dans une sonate de Mozart, c'est le mouvement lent que j'ai préféré.
- Beethoven, sonate op111 : je n'ai jamais participé au topic "Le plus beau morceau de tous les temps", mais si je l'avais fait, c'est celui-ci que j'aurais mentionner (enfin, l'Arietta). Le premier mouvement commence, elle s'en sort à merveille. C'est fou comme lorsque c'est une femme (d'un certain âge en plus), qui s'attaque à un morceau musclé de Beethoven on a des a priori négatifs. Je précise que c'est au début de ce mouvement qu'une femme assise deux rangs devant moi décide d'avoir une violente quinte de toux. L'Arietta commence, personnellement j'aurais pris le début un chouia plus lent, mais c'est joli. Vient la première variation jazzy (l'istesso tempo), personnellement, j'aurais mis moins de pédale, voire pas du tout (il y a des doigtés - bien chiants - inscrits qui permettent de lier correctement). Et là c'est le drame : deuxième mouvement jazzy (deuxième l'istesso tempo). Elle l'attaque à une vitesse vertigineuse, si bien qu'au bout d'une dizaine de mesures, c'est un fouilli total et on n'arrive plus à distinguer les notes entre elles. Ca se calme, variation tranquillle. A noter que sur ce passage, elle a fait ressortir des choses que je n'avais pas entendues dans la version de Gould ou d'Arrau. Puis le passage avec la mélodie dans les aigus, également trop vite alors qu'à un tempo correct je trouve ça à pleurer. Vient ensuite le passage des doubles trilles. Ici, chapeau. Si un jour j'arrive à jouer des doubles trilles, j'espère qu'à son âge je pourrais toujours. Le reste du morceau était également très bien joué, avec la même remarque sur les choses qu'elle faisait ressortir. Je précise que c'est une dizaine de mesures avant la fin que l'autre s'est apercue qu'elle génait et qu'elle est aller finir de tousser aux toilettes. Si vous connaissez la durée du morceau, ça vous donne une idée du calvaire enduré.
Une remarque sur ce morceau : ça fait deux interprètes que j'entend (elle et Gould) et que je trouve trop rapides, alors qu'Arrau me semble parfait. Au final, c'est peut être Arrau qui est plus lent que la moyenne, mais je m'en fiche, c'est lui que je préfère.
- Tchaikovski, Sonate n°2 (“Grande Sonate”) en sol majeur, opus 37 : je ne connaissais pas le morceau, et ça a été une très bonne surprise. Je ne pensais pas que ce compositeur était aussi proche du romantisme et je m'attendais à plus de "dissonances".
- Schubert, sonate n°23 : ah, c'est bizarre, il ne me semblait pas qu'elle commençait par "si sol, fa sol fa" cette sonate. Ca ressemble drolement à un nocturne de Chopin (op9-2). Ok, tant pis pour la sonate, ils l'ont virée au dernier moment du programme. J'avais bien envie de l'entendre (même si elle l'avait jouée la dernière fois), après la semi-déception de l'opus 111. Ils ont du s'apervevoir que quatre sonates de 30 minutes chacune plus les rappels, ça faisait un peu long. Va pour Chopin alors, ce qui fait qu'on en est au premier rappel. Son programme d'il y a cinq ans était essentiellement composé de Chopin (à part la sonate de Schubert en question). A mes yeux, c'est la meilleure interprète vivante de Chopin.
- Chopin, valse op64-2 (deuxième rappel) : rien à dire, ce que j'ai dit sur son jeu dans Chopin en général suffit.
- Chopin, Scherzo op31 (troisième rappel) : idem.
- Chopin nocturne op27 n°2 : ok Elisabeth, tu me prends pas les sentiments en terminant par mon morceau préféré de Chopin, je te pardonne ton ratage sur Beethoven.
Voilou, la suite de ma vie palpitante dans 15 jours avec :
http://www.pianojacobins.com/detailconc.php?id_conc=64
Peut être même avant, car depuis vendredi, j'ai mon DESS et j'ai trouvé un travail sur Toulouse, donc je risque de faire d'autres concerts (je suis considéré comme étudiant jusqu'en octobre, même si je commence à bosser le 25 septembre, donc à 9€ la place, j'en profite).
Bonne nuit.
Lasciate ogni speranza, voi ch'entrate.
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Jypé
- Messages : 1331
- Enregistré le : mer. 22 mars, 2006 7:22
- Mon piano : Yamaha U3 & Feurich 190 Langlau 1982
- Localisation : Toulouse
Félicitations pour ton DESS ! 
et pour le job qui suit.
Un grand bravo aussi pour ce compte rendu (très) personnel sur le concert ! J'ai passé un agréable moment à te lire.
A suivre ! (pour les Jacobins bien sûr !)
PS : avec un peu de retard sans doute et faute de l'avoir su avant,
BON ANNIVERSAIRE !
et pour le job qui suit.Un grand bravo aussi pour ce compte rendu (très) personnel sur le concert ! J'ai passé un agréable moment à te lire.
A suivre ! (pour les Jacobins bien sûr !)
PS : avec un peu de retard sans doute et faute de l'avoir su avant,
BON ANNIVERSAIRE !
Parce que je suis jalouse , que je n'ai pas de sujet à moi pour raconter ma vie et tout ça, voilà, pour la peine.... En octobre, c'est un marathon piano que je fais !!! avec concert 8 mains et tout ça.
Je fais monter les enchères, qui a mieux ? Une journée entière de concerts...
http://www.automne-en-normandie.com/mar ... ml#hercule
(désolée pour le manque de tact, je suis très primate
mais ça, vous vous en étiez aperçu).
En tout cas, très bien racontée ta soirée, merci !
Je fais monter les enchères, qui a mieux ?
Une journée entière de concerts...http://www.automne-en-normandie.com/mar ... ml#hercule
(désolée pour le manque de tact, je suis très primate
mais ça, vous vous en étiez aperçu).En tout cas, très bien racontée ta soirée, merci !
