Travaux du jour (aprem seulement)
Etanchéification par un ruban en tissus caoutchouté de 0,25 mm d'épaisseur et de 13 mm de large de la liaison planche de membrane-paroi de case sur 3/4 de la périphérie . Ruban collé à la colle blanche spéciale de chez Laukhuff . Tatonnements pour trouver la bonne procédure d'encollage : le ruban passant très près des raccords laiton d'alimentation de membranes . La solution d'encoller directement le ruban s'est avérée désastreuse : racornissement en forme de tube

! ... la colle imprégnant le tissu (les encollages de tissus caoutchouté se faisant toujours "côté tissu" quelque soit le type de colle) le déforme avant même qu'on ait le temps de poser le ruban .... Finalement encollage sur le bois entre les tube d'alim de membrane et le dessous de la planche d'étage par portion de 15 à 20 cm la colle faisant rapidement sa prise , tout en mettant suffisamment : le tissu absorbe beaucoup ... Le ruban fait quasiment tout le tour du joint de la case avec deux petits rabats de 1 cm environ lesquels seront recouverts lors de la pose de la grande bande de tissus de 1 mm
Les trois étages ont tous été traités ainsi .... Reste à poser le tissu caoutchouté épais (1 mm env) pour clore les cases côté des trous de perçage de la mortaiseuse ... Nous avons réfléchi à plusieurs méthodes pour le chauffage des surfaces à encoller à la colle forte ... Rien de définitif à ce niveau :
- plaque de verre montée sur chassis chauffée par le dessous (radiateurs électrique) et de la longueur des planches d'étage : méthode utilisée pour les différentes pièces déjà ré-entoilées sur la glaceuse de photographe (plaque chauffante) mais trop petite pour les planches d'étage
- par portion avec chauffage préalable des surfaces au fer à repasser ...
On verra ...
Bonne nuit !
PS : Nous avions eu toutes les difficultés lors du désossage du sommier de note pour décoller une pièce en bois dur épaisse de 16 mm environ collée sur le dessous et au centre de la planche à membrane de l'étage inférieur . Cette pièce sert de support à une autre pièce métallique avec un trou taraudé recevant une grosse vis de serrage de la jambe arrière de maintient de la lyre (merci les photos du démontage : on commençait à se retrouver dans le cas l'entretoise de case , voir textes plus haut)
Le décollage de cette pièce était nécessaire pour accéder à une de vis de serrage de la planche à membranes .... En fait un trou ayant bien été percé pour y accéder mais fait au mauvais endroit , rebouché par l'ouvrier , mais pas rectifié ... ! L'ouvrier s'est sans doute dit "après tout quand ce truc sera démonté ..."