32 Sonates de Beethoven

Théorie, jeu, répertoire, enseignement, partitions

Les sonates de Beethoven je trouve ça:

Trop le trip, c'est vraiment de la méga balle
28
74%
Bah ça vaut pas du pur romantique
10
26%
Franz lâche nous avec ces morceaux GRRR!
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C'est nul point à la ligne .<- voilà le point.
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dominique
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Message par dominique »

Ou encore :
http://www.pianobleu.com/pianoforte.html
mais je crois que c'est à peu près la même chose.
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Malik
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Message par Malik »

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dominique
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Message par dominique »

Bien sûr, Malik.
Je ne l'ai pas indiqué car je pensais que tous les posteurs du forum le savaient déjà...
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La440
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Message par La440 »

Hello domnique,

il manque dans ta chronologie une étape essentielle de l'évolution du piano:
l'invention du mécanisme à double échappement, mis au point par Sébastien Erard en 1822.
Cette invention a permis aux musiciens et aux compositeurs de franchir un cap en ce qui concerne la technique pianistique.
Et d'ailleurs, c'est toujours le même principe qu'on utilise aujourd'hui pour fabriquer les mécaniques de pianos à queue.
Je vous laisse, j'ai ma clé d'accord qui refroidit...
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dominique
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Message par dominique »

Bien sûr, Q J, j'ai juste cité une page d'un site, par ailleurs fort intéressant, et je n'ai pas voulu faire une liste exhaustive des dates importantes dans l'évoluton du piano.
Il y a pour ça des livres très bien faits, ne serait-ce que le "que-sais-je" sur le piano, et l'article dans PianoMajeur est très complet.
Merci Malik et Ernest Closson.
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yannis
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Message par yannis »

Pour revenir aux sonates de Beethoven, personnellement je pense qu'elles sont bien plus qu'un ensemble de morceaux pour piano. Je pense qu'il y a dédans une part de Vérité (avec un grand V : celle que nous cherchons tout au long de notre vie, celle qui nous permet d'évoluer et de grandir). D'autres cherchent cette Vérité dans la bible (ou le coran), dans la science, la psychanalyse, la religion... Moi je pense qu'elle se trouve là-dedans, dans ce que certains ont appelé le <i>Nouveau Testament du piano</i>.
En parcourant ces 32 sonates on retrouve les étapes de la vie de Beethoven, elles correspondent tout aussi bien à nos vies à nous. Si jeune j'étais capable de comprendre l'op. 10/2, aujourd'hui je suis peut-être capable de comprendre [je dis bien "comprendre" et non pas "jouer", car la technique n'y est pas] l'op. 57. Et je voudrais vraiment arriver à la hauteur de l'op. 111 avant de mourir... mais ce n'est pas gagné.
Il en va de même pour les dernières sonates de Schubert et sa Fantaisie Wanderer. Je pense que Beethoven et Schubert se sont trouvés à un moment très singulier de l'histoire de la musique : entre classicisme et modernité, ne pouvant opter ni pour l'excuse de la "beauté pour la beauté, selon les principes antiques" des classicistes, ni pour le refuge de la passion comme l'ont fait plus tard les romantiques, ils ont choisi la <i>franchise</i> : je pense que toute la difficulté de jouer Beethoven est qu'il faut être franc, honnête, droit. La passion doit passer par la raison et se trouve ainsi décuplée. Prenons par exemple le mouvement lent de l'op. 57. Il est infiniment beau car indépendant de tout état d'âme, on peut le jouer/écouter à toute heure du jour ou de la nuit, il est au-delà de nos humeurs cartésiennes ou sentimentalistes ou autres, il les transcende. Si Bach loue le Seigneur, Mozart la beauté, Brahms la passion dans les profondeurs, alors Beethoven nous demande de nous exposer, de mettre à l'épreuve et de montrer aux autres et à nous-même ce que nous avons en nous : équilibre, raison, passion, folie, vanité...
Les 32 sonates m'apprennent la vie, elles m'ont toujours accompagner et continuent à le faire, tout en restant d'éternels défis.
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dominique
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Message par dominique »

Très beau texte, yannis. C'est bien de cette façon là que j'aime Beethoven.
Tu connais ?
http://www.beethoven-france.org/
http://www.lvbeethoven.com/
Ce sont 2 sites très intéressants.
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Franz Liszt
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Message par Franz Liszt »

Superbe façon de nous donner ton opinion Yannis, bienvenue sur PM.net, ne penses-tu pas auss que Beethoven recherche en un certain sens la beauté lui aussi? Mais d'une manière autre que Mozart?
Totalement fan de la 2ème Ballade de Chopin...
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yannis
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Message par yannis »

Franz Liszt a écrit :Superbe façon de nous donner ton opinion Yannis, bienvenue sur PM.net, ne penses-tu pas auss que Beethoven recherche en un certain sens la beauté lui aussi? Mais d'une manière autre que Mozart?
[En quittant la subjectivité rassurante de ma confession de foi pour les terrains vagues de la musicologie (science que je ne revendique nullement) je risque de dire de grosses bêtises...]

Merci pour cet accueil chaleureux ! Je pense que si beauté il y a, c'est un épiphénomène de la quête de Beethoven pour faire de l'homme le centre du fait musical. On est obligé d'adopter une autre définition pour le terme "beauté", une définition qui inclue la responsabilité d'être homme (ou femme) et d'assumer ses actes jusqu'au bout. Mozart est antidiamétralement différent : il crèe du sublime, mais dans un cadre pré-établi, celui de l'Harmonie [avec un grand h (ou "avec une grande hache" comme dirait Perec)], qui nous vient directement de notre héritage soi-disant classique. Pour Mozart, l'harmonie vient directement de l'Olympe, l'homme se plonge dedans et vit une "expérience"---mais c'est une expérience qui ne l'engage en rien. Entre archiducs et princesses, Mozart considère que la beauté dans la musique est un cadeau des immortels bienveillants (immortels abstraits ou concrets) aux mortels (= nous, ainsi que lui-même) pour rendre leur vie un tantinet plus agréable.

Pas Beethoven. Il en a marre des immortels et veut lui-même squatter l'Olympe. Souvenez-vous des paroles de l'Ode à la joie :

<i>Freude, schöner Götterfunken</i> [Joie, belle étincelle des dieux : il insiste bien sur le fait que l'étincelle provient des dieux]
<i>Tochter aus Elysium</i> [fille de l'Élysée : il enfonce le clou : la joie (personifiée) nous vient bien "de haut lieu"]
<i>Wir betreten feuertrunken
Himmlische dein Heiligtum</i> [nous pénétrons ivres de feu, divine, ton sanctuaire : c'est carrément de la <u>profanation</u>, de l'atteinte à déesse, puisque nous pénétrons (à pied : la langue allemande l'indique bien), ivres (de feu et non de boisson, mais l'alcohol n'est-il pas la "boisson de feu" ?) tels des hooligans un sanctuaire.]

L'Ode à la joie montre donc (de manière ambiguë, je l'avoue) cette mutation de comportement face au divin : on n'est plus spectateur, on devient acteur, instigateur, profanateur ("aux armes citoyens"), on assume avec force sa condition humaine (à une époque où l'humanité n'avait pas encore vécu la grisaille et la déception que nous décrira plus tard Zola).

Je pense donc que chez Beethoven la beauté vient en deuxième lieu, face à l'énorme ["titanesque" diront quelques uns] tâche qu'a représenté pour lui la <u>responsabilisation</u> de l'homme. Si l'homme est la mesure de toute chose et la source de toute créativité, alors il est "beau" par définition. La force est "belle", la liberté est "belle" (et en 1827 l'humanité n'a pas encore eu le temps de s'en lasser). La sensation de beauté qui se dégage de la musique de Beethoven n'est peut-être, après tout, que notre réaction face à quelque chose qui nous dépasse.

[Merci Dominique pour les URLs des deux sites Web, je suis étonné par la quantité d'informations que l'on y trouve et par le soin qui a été porté à leur réalisation !]
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Franz Liszt
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Message par Franz Liszt »

Très intéressant ta micro analyse, c'est vrai qu'il fait preuve d'un grand spiritualisme, mais il faut assi recadrer cela dans son contexte de pré-romantisme, le missa solemnis n'est-il pas aussi un exemple valable?

Au fait tu ne t'es pas présenté, que joues-tu actuellement, on apprécierait en savoir plus sur toi Yannis!
Totalement fan de la 2ème Ballade de Chopin...
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yannis
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Message par yannis »

Franz Liszt a écrit :Au fait tu ne t'es pas présenté, que joues-tu actuellement, on apprécierait en savoir plus sur toi Yannis!
Vous serez très déçus... je vous aurai prévenu.

En résumé télégraphique : beaucoup de piano jusqu'à l'âge de 17 ans (Bach, Mozart, Beethoven, Schubert, et même... Hindemith), ensuite coupure quasi-totale jusqu'à mes 36 ans quand je m'achète un Yamaha C2 (rêve d'enfance) à la naissance de ma fille aînée. Ensuite absorption par le boulot, jusqu'au printemps dernier où, par un hasard freudien, ma fille (6 ans à ce moment-là) commence le piano.

Arrivent alors : crise tous azimuts, énorme regret d'avoir arrêté le piano 25 ans auparavant, impression d'avoir gâché ma vie, interrogation sur le rôle que doit jouer le piano dans ma vie dorénavant. À la recherche d'un nouvel équilibre professionnel/familial/pianistique...

Cours chez une dame très gentille qui essaie de me faire retrouver les doigts de mes 17 ans, et peut-être même [ô rêve doux] me faire aller plus loin. C'est bizarre de se retrouver à 43 ans là où on avait arrêté à 17, sans en avoir bien sûr ni le potentiel ni l'optimisme...

Du coup je me pose aussi des questions sur les motivations que l'on peut avoir pour jouer. Quand on est jeune, même si on n'y croit pas vraiment, on a tout de même le droit de s'imaginer concertiste, cela fait partie [ne serait-ce qu'infime] du champ des possibles. On passe donc des heures à étudier, à jouer des gammes et des exercices, dans le but d'y arriver un jour. La compétition, comme dans les sports...

S'imaginer dans la peau d'un concertiste est un moyen efficace pour endurer les centaines d'heures d'exercices, on peut donc le justifier. Or, quand on a passé l'âge, il faut trouver d'autres phantasmes, mais lesquels ? La promesse d'une évolution possible est un beau mirage.

Me détacher du souvenir enjolivé de mes 17 ans et trouver un nouvel équilibre entre phantasmes et réalité(s), c'est mon but actuellement. Et avant tout, j'essaie de <i>comprendre</i> ce qui m'arrive...

Ce que je joue en ce moment ? Ma prof étant une adepte des méthodes de relaxation de Carlos Cebro, elle essaie de me re-apprendre les bases du "jeu sain" à travers des morceaux simples : du Chopin (Nocturnes, l'Étude op. 25/2), de l'Ibert (Le vent dans les ruines), du Debussy (Jardins sous la pluie), et des gammes... Je lui fais confiance. En même temps j'ai commandé en Allemagne les exercices de Peter Feuchtwanger, cela semble concorder avec l'enseignement de Cebro. À suivre.

Voilà donc ma situation qui doit vous paraître bien décévante. Rien de spectaculaire, beaucoup d'interrogations et de doutes et pour compenser cela, rien qu'un peu de volonté et de détermination. Et la lutte entre espoir et doute : <b>peut-on rattraper un vide pianistique de 25 ans ?!?</b>
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La440
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Message par La440 »

peut-on rattraper un vide pianistique de 25 ans ?!?
Oui, en travaillant 25 fois plus que la normale !!

Je laisse les réponses sérieuses à mes camarades..
Je vous laisse, j'ai ma clé d'accord qui refroidit...
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Marie-france
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Message par Marie-france »

Bonjour, Yannis,
Je me retrouve un peu, beaucoup, énormément, dans ton parcours musical.
Rêve de concertiste qui m'a motivée à fond jusqu'à mes 18 ans, puis une vie cahotique sans piano jusqu'à mes 31 ans, le coeur brisé à l'écoute du moindre morceau de piano. Les doigts rouillés et toutes mes ambitions déçues.
Mêmes questions, mêmes incertitudes. La réalité m'a lourdement rattrapée.
Je me suis raccrochée aux branches dès que j'ai pu, me disant: "j'ai pas fait tout ça pour rien!!!!" Je me suis remise toute seule au piano mais dans un contexte extrêmement difficile.
Depuis 1996 enfin, je donne des cours (particuliers). Cela a redonné un sens à ma vie musicale. Mais je ne joue plus pratiquement que pour moi et pour l'audition de fin d'année de mes élèves, un bien modeste but. Parfois cela me déprime complet. A quoi bon. Tout le monde s'en f...

Je me suis éloignée du milieu musical autour de moi, (ces gens ayant un parcours musical si éloigné du mien) et puis vous allez rire, mais j'ai trouvé ce forum où je peux m'exprimer et où tout à coup j'ai (un peu) d'utilité et d'importance.
Je vois ce que les autres jouent et je me remets dans la compétition (virtuelle), j'essaie de reprendre un train que j'ai laissé quelque part.
Où me mènera-t-il?
Je me suis faite une raison! Mais j'ai toujours autant envie d'apprendre!
Yannis, j'ai 44 ans, je ne deviendrai plus concertiste, mais j'aime trop le piano.
Contente de rencontrer quelqu'un qui me ressemble un peu!
A bientôt.

P.S: Pour répondre à ta question, je pense que c'est possible avec du temps et de l'acharnement. Cela dépend aussi de tes doigts.
louna
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Message par louna »

pour me "plaindre" aussi, moi, ça fait seulement 1 an que je ne fais plus rien, (presque plus rien ) difficile d'avoir un rythme régulier, difficile parfois de trouver l'envie ou le courage de me mettre devant mon piano....
j'espère que je vais retrouver un peu de ce courage, car j'ai vraiment peur pour la suite : petit à petit, je n'ose plus m'attaquer à de "gros morceaux", passer un peu de temps devant ce piano me semble de plus en plus pesant... j'espère que c'est juste une petite passe qui n'aura duré qu'une année et non 15 ans !
aussi, je compte m'y remettre dès ce fichu concours passé, et qu'il me faut un prof cet été !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!
(c'est plus difficile pour moi de trouver de la motivation seule)

il faut quand même que je le finisse ce beethov ! depuis le temps, j'avance, 15 jours sans travail je recule, puis j'avance....
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Franz Liszt
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Message par Franz Liszt »

Hey Yannis les pièces que tu travailles sont d'une niveau plus que convenable! Laisse moi t'encourager à poursuivre dans cette direction!
Totalement fan de la 2ème Ballade de Chopin...
MIGHYA
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Message par MIGHYA »

bonjour hello :oops: :oops: dis moi est ce que j'ai bien poster ma lettre;l'as tu reçue,,,, je débute et j'ai déjà fais qqueq bétises alors... :mrgreen: :-& #-o y suis -je arrivée merci de prendre le temps de me répondre amitié :lol: :wink:
MIGHYA
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pour Marie france

Message par MIGHYA »

:-({|= j'avais oublié de preciser...m. Ffrance pour la lettre envoyée..pas envoyée?
Drooxy
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Message par Drooxy »

Yannis,

Jusqu'à l'âge :wink: ... tout y est (sauf que je n'ai pas d'enfant !). Et je n'aurais probablement pas su (pas osé !) le dire de façon aussi claire...

Mon Dieu, ce que le Piano abandonné peut causer de frustrations et de regrets...

Merci, Yannis, je me sens moins seul ! :cry:
Modifié en dernier par Drooxy le ven. 10 juin, 2005 15:18, modifié 1 fois.
Drooxy
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dominique
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Message par dominique »

Yannis, Drooxy, M.F. , et les autres,
J'aurais mille choses à vous dire sur le sujet, sur mon parcours personnel, sur l'importance qu'ont pris pour moi le piano et les sonates de Beethoven en particulier, je suis débordée en ce moment, je n'ai pas le temps de réfléchir tranquillement pour mettre toute ces idées au clair, et je n'ai pas le talent de Yannis pour m'exprimer, en tout cas, de l'optimisme. Je suis arrivée à jouer comme je l'espérais et même mieux, même si je ne "possède" pas encore toutes les sonates de Beethoven. Le questionnement a été long, souvent douloureux, et ce n'est pas terminé, mais je sais que c'était la seule route possible. Et je ne regrette pas le temps passé.
A bientôt pour d'autres posts,
Dominique
Drooxy
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Message par Drooxy »

Dominique,

Je n'avais pas vu le post où vous décrivez votre parcours...

Même si vous n'êtes pas concertiste, une grande partie de votre vie semble maintenant dévouée au piano... et qui plus est à son enseignement... Quoi de plus honorable ?

:)

Merci de nous donner cette grande bouffée d'espoir !

Vous voyez... tout le monde ne s'en f... pas ! :wink:
Drooxy
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