Une leçon particulière avec Hélène Grimaud pour 19 Euros
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Modifié en dernier par yannis le jeu. 03 nov., 2005 15:14, modifié 1 fois.
Es gab eine Zeit, wo ich nur ungern über Schubert sprechen, nur Nächtens den Bäumen und Sternen von ihm vorerzählen mögen. [R. Schumann, 1838]
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egtegt
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En ce qui me concerne, je n'en suis pas encore à mettre en danger mon équilibre émotionnel quand je vais voir un concert.
Bien sûr que j'aime bien comprendre ce qui m'arrive et que ça peut m'aider parfois à me diriger vers des choses qui me plairont encore plus.
De là à considérer comme pathologique le fait de trouver HG belle ... Il y a un pas que je ne franchirai pas
Et puis aprés tout, est-ce que tu es aussi critique quand tu aime de façon démesurée une sonate de Beethoven ? En ce qui me concerne, j'essaye souvent de m'abstenir de trop analyser mon plaisir, ça le gâche un peu je trouve. Et il y a un temps pour analyser et un temps pour ressentir les choses. (Purée, c'est moi qui écris çà ? Va falloir que j'en parle à mon psy ! )
Bien sûr que j'aime bien comprendre ce qui m'arrive et que ça peut m'aider parfois à me diriger vers des choses qui me plairont encore plus.
De là à considérer comme pathologique le fait de trouver HG belle ... Il y a un pas que je ne franchirai pas
Et puis aprés tout, est-ce que tu es aussi critique quand tu aime de façon démesurée une sonate de Beethoven ? En ce qui me concerne, j'essaye souvent de m'abstenir de trop analyser mon plaisir, ça le gâche un peu je trouve. Et il y a un temps pour analyser et un temps pour ressentir les choses. (Purée, c'est moi qui écris çà ? Va falloir que j'en parle à mon psy ! )
Tu viens de faire le plus beau compliment que l'on puisse faire à une femme : tu l'as comparée à une Sonate de Beethoven ! ;-)egtegt a écrit :Et puis aprés tout, est-ce que tu es aussi critique quand tu aime de façon démesurée une sonate de Beethoven ?
Es gab eine Zeit, wo ich nur ungern über Schubert sprechen, nur Nächtens den Bäumen und Sternen von ihm vorerzählen mögen. [R. Schumann, 1838]
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Es gab eine Zeit, wo ich nur ungern über Schubert sprechen, nur Nächtens den Bäumen und Sternen von ihm vorerzählen mögen. [R. Schumann, 1838]
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dominique
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pour ceux qui se posent des questions sur le bien-fondé d'exercices style Hanon, gammes etc... voilà la réponse d'Hélène Grimaud à la question : "Vous livrez-vous encore à des exercices techniques ?"
H.G. : Non. Ca ne sert à rien. Les meilleurs exercices sont contenus dans les oeuvres elles-mêmes. Bien sûr, j'ai eu la chance de travailler très tôt les exercices de Brahms, ou les Mikrocosmos de Bartok, qui sont évidemment beaucoup plus intéressants que d'enchainer des gammes ou des arpèges. A partir d'un certain niveau, même sans être exceptionnellement doué, on se rend compte qu'aucune difficulté technique n'est insurmontable. Si on ne sort pas les traits de leur contexte musical, si on se pose les bonnes questions sur leur début et leur fin, sur leur place dans l'architecture, sur les enchainements, sur l'articulation, sur la pulsation, on s'aperçoit que les problèmes techniques se résolvent sinon d'eux-mêmes, en tout cas facilement. C'est le sens qui commande et facilite l'élaboration de la forme concrète. L'important, c'est que les doigts n'aient plus qu'à obéir à un représentation mentale aussi claire que possible.
C'est entièrement ma position, c'est comme ça que je travaille et que j'enseigne à mes élèves. Et ça marche !
Cet interview est dans diapason de novembre.
H.G. : Non. Ca ne sert à rien. Les meilleurs exercices sont contenus dans les oeuvres elles-mêmes. Bien sûr, j'ai eu la chance de travailler très tôt les exercices de Brahms, ou les Mikrocosmos de Bartok, qui sont évidemment beaucoup plus intéressants que d'enchainer des gammes ou des arpèges. A partir d'un certain niveau, même sans être exceptionnellement doué, on se rend compte qu'aucune difficulté technique n'est insurmontable. Si on ne sort pas les traits de leur contexte musical, si on se pose les bonnes questions sur leur début et leur fin, sur leur place dans l'architecture, sur les enchainements, sur l'articulation, sur la pulsation, on s'aperçoit que les problèmes techniques se résolvent sinon d'eux-mêmes, en tout cas facilement. C'est le sens qui commande et facilite l'élaboration de la forme concrète. L'important, c'est que les doigts n'aient plus qu'à obéir à un représentation mentale aussi claire que possible.
C'est entièrement ma position, c'est comme ça que je travaille et que j'enseigne à mes élèves. Et ça marche !
Cet interview est dans diapason de novembre.
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Dirlopiano
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Es gab eine Zeit, wo ich nur ungern über Schubert sprechen, nur Nächtens den Bäumen und Sternen von ihm vorerzählen mögen. [R. Schumann, 1838]
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MelleGould
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yannis, je n'ai pas dit que tu as été irrespectueux envers moi, mais plutôt sur la personne HG... nous sommes bien petit nous autres!!!!!!!!!!...
ok il ya le coup médiatique, ok elle a cherché à parlé à outrance de ses loups, MAIS ...il ne faut pas oublier qu 'elle reste quand même une grande artiste, avec sa fragilité, avec son passé...!!...
ensuite pour le psy je te salue confrère!!!...bien à toi!!!..........
et puis pour dominique javais étudié les ex de brahms..il est vrai que c'est quand même plus agréable que de passer 1h sur des gammes,ou du hanon, ...
J'ai déjà mes places pour le concert à Toulouse
ok il ya le coup médiatique, ok elle a cherché à parlé à outrance de ses loups, MAIS ...il ne faut pas oublier qu 'elle reste quand même une grande artiste, avec sa fragilité, avec son passé...!!...
ensuite pour le psy je te salue confrère!!!...bien à toi!!!..........
et puis pour dominique javais étudié les ex de brahms..il est vrai que c'est quand même plus agréable que de passer 1h sur des gammes,ou du hanon, ...
J'ai déjà mes places pour le concert à Toulouse
Ca me convient parfaitement et (maintenant que je suis en plein dedans) c'est aussi exactement ce qui dit Chang dans son livre...dominique a écrit :pour ceux qui se posent des questions sur le bien-fondé d'exercices style Hanon, gammes etc... voilà la réponse d'Hélène Grimaud à la question : "Vous livrez-vous encore à des exercices techniques ?"
H.G. : Non. Ca ne sert à rien. Les meilleurs exercices sont contenus dans les oeuvres elles-mêmes. Bien sûr, j'ai eu la chance de travailler très tôt les exercices de Brahms, ou les Mikrocosmos de Bartok, qui sont évidemment beaucoup plus intéressants que d'enchainer des gammes ou des arpèges. A partir d'un certain niveau, même sans être exceptionnellement doué, on se rend compte qu'aucune difficulté technique n'est insurmontable. Si on ne sort pas les traits de leur contexte musical, si on se pose les bonnes questions sur leur début et leur fin, sur leur place dans l'architecture, sur les enchainements, sur l'articulation, sur la pulsation, on s'aperçoit que les problèmes techniques se résolvent sinon d'eux-mêmes, en tout cas facilement. C'est le sens qui commande et facilite l'élaboration de la forme concrète. L'important, c'est que les doigts n'aient plus qu'à obéir à un représentation mentale aussi claire que possible.
edit: [histoire d'alimenter la polémique] je viens de voir la couverture de Diapason et... elle est super mimi en brune Grigri
on verrait "presque" son string qui dépasse sur ses hanches !
C'est pas bien ce que je dis.
Mais peut etre, et c'est sûr... que cela lui permet de toucher un plus large public ?
tant mieux pour elle, tant mieux pour la musique classique ! et c'est peut etre ça qui derrange, par cette pub, peut etre ne rentre elle pas "dans la conformité" de l'image austère de la musique classique.
en tout cas, à quand un calendrier de lugansky qui montre son nombril ?? j'achète !!!
C'est pas bien ce que je dis.
Mais peut etre, et c'est sûr... que cela lui permet de toucher un plus large public ?
tant mieux pour elle, tant mieux pour la musique classique ! et c'est peut etre ça qui derrange, par cette pub, peut etre ne rentre elle pas "dans la conformité" de l'image austère de la musique classique.
en tout cas, à quand un calendrier de lugansky qui montre son nombril ?? j'achète !!!