quazart a écrit : mer. 18 janv., 2023 0:40
C'est bien avancé et tes intentions musicales sont clairement audibles !!
Donc bravo pour tout le travail déjà effectué, mais il faut tout reprendre dans le détail pour supprimer toutes les inégalités sonores et rythmiques et donner de la cohérence au morceau, c'est un passage obligé...
Cette rhapsodie est un des plus beaux morceaux que Brahms ait écrit, il faut la bichonner...
Molto passionato ma non troppo allegro
C'est vrai mais comme toute musique romantique qui se respecte surtout sur des œuvres de ce style, cela va du
fff au
ppp.
L'amplitude sonore -comme chez Liszt dans certaines oeuvres aussi- est maximale et d'ailleurs Liszt dit-on cassait ses pianos.
Cette amplitude qu'on retrouve abondamment chez Chopin comme dans ses Ballades et Scherzos, sans parler des sonates considérées comme œuvres mineures chez Chopin. Aussi Schumann, Beethoven mais principalement Chopin...
Je suis d'accord que c'est un des plus morceaux que Brahms ait écrit. Je l'ai découverte à 18 ans quand mon cousin germain qui fut élève de Cortot -
déjà dit pardon!- l'a jouée devant moi. Je suis très influencé par Chopin, comme sans doute beaucoup ici qui aiment et jouent la musique romantique.
pour moi très clairement dans la musique il y a eu un avant et un après avec cette rhapsodie: c'est un morceau fétiche auquel je tiens beaucoup.
Mais je vais tenir compte de tes conseils.
voici ce qu'ils disent sur cette rhapsodie sur Wiki====>
Rhapsodie no 2
Retentit d'échos aussi mystérieux qu'héroïques, mis en relief par une surprenante instabilité tonale à laquelle s'ajoutent des modulations raffinées.
Nous pouvons discerner grossièrement 5 grandes parties : Une introduction avec puissance suivie d'une partie plus lente, plus mystérieuse. Vient alors une reprise de l'introduction avec toutefois plus de douceur « con expressione ». Il s'ensuit une partie extrêmement calme, telle une flaque d'huile immobile qui n'est gênée que par les petites notes jouées par la main gauche. Et vient alors le grand final, avec toujours au début ces petits échos mystérieux et héroïques, puis ces échos grandissent pour finir en apothéose avec un magnifique accord parfait en sol mineur.