Bonjour, je rebondis sur le quodlibet et pas sur ton interprétation que je n'ai pas écoutée, Quazart, mille excuses !
Que le latin quod libet soit à l'origine du moderne quolibet ne signifie pas qu'il faille l'interpréter comme notre mot actuel. Surtout pour une œuvre composée en 1740 !
Quod libet n'est pas quolibet : aucune tonalité humoristique donc à ma connaissance.
Wikipedia en donne une définition intéressante en ce qui concerne la musique :
"En musique, un quodlibet est une composition musicale combinant différentes mélodies en contrepoint. L'origine du quodlibet remonte peut-être aux motets « entés » du xiiie siècle, dans lesquels les auteurs inséraient des refrains de rondeaux
Un exemple célèbre est le quodlibet à la fin des Variations Goldberg de Jean-Sébastien Bach."
La traduction littérale étant " tout ce qu'il plaira " ou bien encore " tout ce qu'il te plaît ", je crois qu'il faut juste y voir l'annonce d'une certaine liberté, tant pour le compositeur dans l'élaboration de cette variation que pour l'interprète dans la couleur qu'il veut lui donner.
D'accord donc avec Jacques pour la prise de liberté concernant la forme musicale et avec Quazart qui va pouvoir la jouer comme il l'aime sans besoin de faire le pitre !

"Il faut que cela soit si gai , si gai , que l'on ait envie de fondre en larmes ."