Cette remarque est peut être valable quand on peut se consacrer 100% a la musique mais quand on doit travailler 10 heures par jour pour se payer sa croute et ses lecons de piano, ben des fois se mettre devant ce clavier pendant 2 heures après une journée comme cela, ca relève du masochisme.Tu as bien raison!
La musique ce n'est pas toujours du travail et on a tendance à l'oublier. Il faut regulierement se faire plaisir, je dirai même il faut toujours se faire plaisir:!
Quasi una fantasia
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- Enregistré le : lun. 29 nov., 2004 20:31
Dans l'ivresse de la descente tout schuss, j'ai loupé la porte entre le fa et le sol en bas. (Ca y est, doit y'avoir de la neige dans les stations ....)
Modifié en dernier par Stereden le dim. 11 févr., 2007 23:28, modifié 1 fois.
On ne vend pas la musique. On la partage. Leonard Bernstein
- André Quesne
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Bravo Stereden,
j'ai écouté à nouveau...c'est très beau, tu devrais mettre un peu de respiration; bravo pour le crescendo des arpèges brisés ascendants; ça apporte un plus et pourquoi cavales-tu ainsi un peu avant la fin? on dirait que tu es pressé d'en finir...Ne copie pas Kempff, reste toi-même...
Encore bravo !...
André
j'ai écouté à nouveau...c'est très beau, tu devrais mettre un peu de respiration; bravo pour le crescendo des arpèges brisés ascendants; ça apporte un plus et pourquoi cavales-tu ainsi un peu avant la fin? on dirait que tu es pressé d'en finir...Ne copie pas Kempff, reste toi-même...
Encore bravo !...
André
Merci André.
Avant de céder à la poésie de Lupu, je ne savais pas choisir entre le détachement de Kempff et la gravité de Serkin. La version de Kempff est à mon sens une très grande version, sans doute plus béthovévienne que beaucoup d'autres.
Tu as raison, je m'emballe à la fin. Je me suis calé sur le tempo de Kempff pour partir et termine 30 s devant.
Cette version n'est ni plus, ni moins personnelle que la précédente. Question d'humeur.
Avant de céder à la poésie de Lupu, je ne savais pas choisir entre le détachement de Kempff et la gravité de Serkin. La version de Kempff est à mon sens une très grande version, sans doute plus béthovévienne que beaucoup d'autres.
Tu as raison, je m'emballe à la fin. Je me suis calé sur le tempo de Kempff pour partir et termine 30 s devant.

Cette version n'est ni plus, ni moins personnelle que la précédente. Question d'humeur.
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Et cette version est tout aussi belle que la précédente ! très personnelle également, comme je les aime.
Je salue les efforts que tu mets à parfaire cette pièce ; audelà de Beethoven, c'est aussi un bon exemple, je crois, que tu nous donnes dans la façon de s'améliorer.
Quelque vieil amateur de proverbe sortirait sans doute un :
"Cent fois sur le métier remettez votre ouvrage..."
Bravo !
Je salue les efforts que tu mets à parfaire cette pièce ; audelà de Beethoven, c'est aussi un bon exemple, je crois, que tu nous donnes dans la façon de s'améliorer.
Quelque vieil amateur de proverbe sortirait sans doute un :
"Cent fois sur le métier remettez votre ouvrage..."
Bravo !
- egtegt
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Alors là, bravo ! Vraiment ! Même en cherchant, je n'arrive pas à trouver quelque chose à redire ! Même des histoires de goût personnel, à part des détails genre : "à cet endroit, cette note, je l'aurais joué un peu plus piano" Et encore.
Sincérement ne change rien, à mon sens, tu le joue parfaitement, impossible de faire mieux. Différemment mais pas mieux.
Sincérement ne change rien, à mon sens, tu le joue parfaitement, impossible de faire mieux. Différemment mais pas mieux.

- sanne
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Je crois que Stereden a raison, le sous-titre de Clair de Lune est 'Quasi una fantasia'. Opus 13 est la Pathétique...puk a écrit :Très jolie version Stereden. Tu es allé au bout de ta recherche je crois.![]()
Juste une petite précision ... La Quasi una fantasia, pour moi c'est la sonate No. 13. Tu joues la Clair de lune là. En tout cas, c'est ce qu'il y a sur mes cds.
- sanne
- Messages : 2180
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puk a écrit :Je parle de l'Op. 27 No. 1

Wikipédia dit:
La Sonate pour piano n° 13 en mi bémol majeur, opus 27 n° 1, de Ludwig van Beethoven, fut composée entre 1800 et 1801, publiée en 1802 et dédiée à la princesse Liechtenstein. Comme la Sonate n° 14, avec laquelle elle partage le numéro d'opus 27, elle est intitulée « Sonata quasi una fantasia », ce qui traduit l'idée d'un style proche d'une improvisation.
... donc en fait les 2 opus 27 (1 et 2) s'appellent "quasi una fantasia"..
Ou est-ce que je dis encore des bêtises...?

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- Messages : 1331
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Non, ce n'est pas une bêtise, c'est bien ça... à un détail près. Si la 13 est :
"Der Fürstin von Liechtenstein gewidmet"
La 14, en revanche ne s'adresse plus à la même personne (paraît-il dans un deuxième temps), mais à :
"Der Gräfin Julie Guicciardi gawidmet"
Que ne ferions-nous pas pour l'amour d'une femme ? (ou de plusieurs en l'occurrence (mais successivement quand même))
"Der Fürstin von Liechtenstein gewidmet"
La 14, en revanche ne s'adresse plus à la même personne (paraît-il dans un deuxième temps), mais à :
"Der Gräfin Julie Guicciardi gawidmet"
Que ne ferions-nous pas pour l'amour d'une femme ? (ou de plusieurs en l'occurrence (mais successivement quand même))
Bien que Beethoven ait donné cette indication à ces deux sonates opus 27,La Quasi una fantasia, pour moi c'est la sonate No. 13. T
l'usage réserve en effet ce titre à la première, la seconde étant appelé Mondschein, Clair de lune, Moonlight, etc. Mais je n'aime pas ce titre qui n'est pas de Beethoven.
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J'ai profité que j'étais seul à la maison pour écouter, , à volume sonore réel, Carlos Kleiber dynamiter en concert la septième de Beethoven le 3 mai 1982 à la tête du Bayerisches Staatsorchester. L'ivresse de l'allegro con brio final (et du Monthelie...
) m'ont transporté dans un état second. Après le déchaînement des applaudissements (d'abord çeux qui n'ont pas saisi le caractère exceptionnel de l'interprétation qu'ils venaient d'entendre, rejoints par la masse des autres sortis de leur émerveillement), je me suis mis bêtement au piano pour jouer le peu de Beethoven que je connais.

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- pianomineur
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- Rubato
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Je viens de l'enregistrer : voici ma version.
Modifié en dernier par Rubato le lun. 26 mars, 2007 9:50, modifié 1 fois.
Le tempo rubato est comme le vent jouant dans le feuillage d'un arbre dont les branches ne bougent pas.
Franz Liszt.
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- Rubato
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- Mon piano : Erard 1903 2m12 (n°88800)
- Localisation : Périgord Vert
- Contact :
Merci, Stereden ! Continue de ton côté aussi.
Je vais la réenregistrer bientôt sur mon Erard dans ma maison principale qui date de 1823.
A musique romantique et musicien romantique, piano romantique dans maison romantique.

Je vais la réenregistrer bientôt sur mon Erard dans ma maison principale qui date de 1823.
A musique romantique et musicien romantique, piano romantique dans maison romantique.

Le tempo rubato est comme le vent jouant dans le feuillage d'un arbre dont les branches ne bougent pas.
Franz Liszt.
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