Comment gérez-vous vos phases de découragement ?
Re: Comment gérez-vous vos phases de découragement ?
Pour revenir un peu à la question, dernièrement mes pensées sont "comment maintenir la motivation de travailler les mêmes oeuvres sans se disperser ?" En fait dans mon état actuel je me demande si les cours ont un sens...
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Re: Comment gérez-vous vos phases de découragement ?
J'ai pris des cours sur une période assez courte (quelques années) en fait et il y a très longtemps de celà mais justement à cette époque la date butoir du cours suivant faisait que je m'astreignais à atteindre l'objectif qui avait été fixé et que le reste passait au second plan.
Je me demande justement pour ma part si un retour aux cours ne me serait pas bénéfique mais quid alors du plaisir justement de pouvoir s'éparpiller ?
Par ailleurs ce qui m'arrête hormis les pbs d'horaires (difficile dans mon cas de trouver un horaire régulier pour pouvoir caser un créneau régulier), c'est sans doute plus certainement la certitude que la multiplicité des défauts que j'ai pu acquérir en jouant tout seul dans mon coin est telle qu'il me serait très difficile de remettre tout à plat.
Les phases de découragement viennent (et c'est logique) souvent après une période de travail plus inensif sur une oeuvre (ou un passage en particulier) lorsque le résultat escompté n'est pas au rendez-vous alors que dans les périodes ou je me contente de rejouer des morceaux sans trop m'arrêter sur les imperfections sont moins propices à ces phases de découragement.
Je me demande justement pour ma part si un retour aux cours ne me serait pas bénéfique mais quid alors du plaisir justement de pouvoir s'éparpiller ?
Par ailleurs ce qui m'arrête hormis les pbs d'horaires (difficile dans mon cas de trouver un horaire régulier pour pouvoir caser un créneau régulier), c'est sans doute plus certainement la certitude que la multiplicité des défauts que j'ai pu acquérir en jouant tout seul dans mon coin est telle qu'il me serait très difficile de remettre tout à plat.
Les phases de découragement viennent (et c'est logique) souvent après une période de travail plus inensif sur une oeuvre (ou un passage en particulier) lorsque le résultat escompté n'est pas au rendez-vous alors que dans les périodes ou je me contente de rejouer des morceaux sans trop m'arrêter sur les imperfections sont moins propices à ces phases de découragement.
Re: Comment gérez-vous vos phases de découragement ?
Lee a écrit :"comment maintenir la motivation de travailler les mêmes oeuvres sans se disperser ?"
Comme ça

Je plaisante à moitié en fait. Le concert de Sokolov m'a ramené à cette question (j'hésite en ce moment entre dupliquer un programme ou le changer), en songeant à la quantité d'intention dont il a chargé absolument chaque note pendant près de 2h de musique. C'est impossible de faire ça en se dispersant. J'y reviendrai quand j'écrirai mes impressions, pas le temps aujourd'hui a priori, car beaucoup à dire.
Re: Comment gérez-vous vos phases de découragement ?
C'est fichu alors...
Tu veux dire être moins ou plus découragé dans ces périodes ?pianojar a écrit :alors que dans les périodes ou je me contente de rejouer des morceaux sans trop m'arrêter sur les imperfections sont moins propices à ces phases de découragement
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Re: Comment gérez-vous vos phases de découragement ?
Moins car je ne m'arrête pas sur les imperfections, je ne cherche donc pas à améliorer immédiatement ces passages
Donc pas d'objectif précis = pas d'échec = pas de découragement !
C'est un peu la politique de l'autruche mais bon ...
Donc pas d'objectif précis = pas d'échec = pas de découragement !
C'est un peu la politique de l'autruche mais bon ...
Re: Comment gérez-vous vos phases de découragement ?
Tu reviens toujours a ce theme, WandarWandarnok a écrit :[
L'impression ne peut être que diffuse car comme tu nous l'as longuement expliqué, tu n'as besoin ni de prof ni de "coach" (personne compétente, au sens large, qui permet un recul et donne un feedback régulier et expliqué). Tu le revendiques même.

Je n'ai pas de prof mais j'ai absolument besoin de personnes competentes et d'apprendre par eux. La transmission peut prendre d'autres voies que le rapport prof/eleve. Au lieu d'avoir un prof, on a 10 profs, 100 profs, on ecoute tous azimuts ceux qui on des connaissances, on essaye, on se trompe, on corrige. Il y a un mythe de l'apprentissage ordonne', par une personne bienveillante qui sait ce qui est bien dans le bon ordre. La realite' me semble plus desordonn'ee que ca. Il faut un peu (pas trop) de desordre pour avancer. Bien sur, rien n'empeche quelqu'un d'avoir un prof et de se construire un environnement un peu plus foutoir avec pas mal de stimuli a cote'. C'est a chacun de voir la methode qui lui convient le mieux. Certains aiment etre guide's tout de suite vers le bon outil. Ca permet d'aller vite, tu as raison sur ce point, et c'est ce que tu veux. D'autres preferent experimenter et apprendre par essais/erreurs. Ca permet de comprendre de facon intime la raison de chaque outil. Toujours un compromis a trouver...
Assez bizarrement, mon sentiment, c'est que mon apprentissage est encore trop scolaire. Je peux jouer des morceaux de niveau intermediaire, mais je reste demuni devant certaines choses simples. C'est ca que je voudrais corriger. Par exemple, je peux me tromper au milieu d'un morceau sans pouvoir repartir, je ne suis pas capable d'accompagner des gens sur une chanson simple si on me donne la grille d'accords, je ne suis pas capable de simplier une partition pour la jouer rapidement etc, etc... Je ne cherche pas a aller vers plus de technique. Je cherche plutot a faire du piano un instrument de musique qui soit davantage "naturel" entre mes mains. Plus facile a dire qu'a faire ...Peut être une lassitude, "diffuse" elle aussi?
Re: Comment gérez-vous vos phases de découragement ?
Moi c'est plutot l'effet inverse. En ce moment, je n'ai pas d'objectifs precis et c'est la que je sens que je patine. Je serais plutot du genre: pas d'objectif=pas de progres visible=moins d'envie de m'assoir au piano.pianojar a écrit :Moins car je ne m'arrête pas sur les imperfections, je ne cherche donc pas à améliorer immédiatement ces passages
Donc pas d'objectif précis = pas d'échec = pas de découragement !
C'est un peu la politique de l'autruche mais bon ...
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Re: Comment gérez-vous vos phases de découragement ?
Jusqu'à présent pas de véritable découragement, tant que je sens que je progresse et que je n'ai pas de problèmes physiques, je reste optimiste.
Pas de prof régulier, mais je ne perds pas une occasion de stage, cours sur le web, rencontres, émissions radio, écoutes comparées...
Si un morceau un peu trop dur stagne====frigo! Et on le ressort après 6mois, 1 ans, ou+
En ce moment je retravaille deux P et F du CBT , et d'autres morceaux d'il y a 1 ou 2 ans : ainsi on se rend compte des progrès, du chemin parcouru. Certains avaient été travaillés avec prof, et enfin on peut appliquer les conseils
, d'autres abordées sans aide et là , je vois que ma façon de faire n'a plus rien à voir. Je faisais des quantités de fautes de texte ( notes "tenues" ou pas en particulier) , aucune conscience des "plans sonores", toucher superficiel...J'ai même un peu honte quand je me réécoute.
Avoir une preuve audio-vidéo de sa progression , c'est une bonne façon de lutter contre le découragement!
+1Je n'ai pas de prof mais j'ai absolument besoin de personnes competentes et d'apprendre par eux. La transmission peut prendre d'autres voies que le rapport prof/eleve
Pas de prof régulier, mais je ne perds pas une occasion de stage, cours sur le web, rencontres, émissions radio, écoutes comparées...
Si un morceau un peu trop dur stagne====frigo! Et on le ressort après 6mois, 1 ans, ou+
En ce moment je retravaille deux P et F du CBT , et d'autres morceaux d'il y a 1 ou 2 ans : ainsi on se rend compte des progrès, du chemin parcouru. Certains avaient été travaillés avec prof, et enfin on peut appliquer les conseils


Avoir une preuve audio-vidéo de sa progression , c'est une bonne façon de lutter contre le découragement!
Re: Comment gérez-vous vos phases de découragement ?
"Je peux jouer des morceaux de niveau intermediaire"
Si tu avais un prof, ou un equivalent, tu serais surpris de ce qu'il ou elle te dira, à propos des morceaux que tu penses "savoir" jouer. Donc que tu as appris tout seul (pour faire simple car je ne doute pas que tu te documentes et que tu travailles).
Très surpris, vraiment.
J'en ai fait l'experience car je suis resté 8 mois sans prof, et mes deux stages chez Guzelya n'ont pas changé le constat.
Ce que j'avais appris, donc "tout seul" pendant cette période, même quelques mesures, était à l'ouest de qu'il fallait faire.
Tous les jours, je me félicite d'avoir trouvé ma prof actuelle.
Mais tu ne peux pas t'en rendre compte, et c'est la vérité que tu cherches peut etre à éviter, car il n'y a aucune raison de se passer volontairement d'un bon prof quand on n'a pas déjà un certain niveau, et même quand on s'appelle Debargues, on en a besoin si on veut aller encore plus loin (et c'est pour cela qu'il en a une, dont le role dans son succès à Moscou est reconnu par tous et par Lucas en premier...).
Ou tout simplement pour ne pas s'illusionner sur ce qu'on croit "savoir" jouer.
"mais je reste demuni devant certaines choses simples."
C'est justement ta contradiction qui t'y mène. Tu crées toi même les conditions qui font que cela arrive, et puis t'en plaindre. Non?

PS: je ne cherche pas particulièrement à te convaincre mais comme de nombreux débutants nous lisent et lisent PM, sans se manifester d'ailleurs (ce que j'ai fait personnellement pendant neuf mois), je me sens un devoir moral de ne pas laisser une position minoritaire mettre en péril des vocations naissantes...
Si tu avais un prof, ou un equivalent, tu serais surpris de ce qu'il ou elle te dira, à propos des morceaux que tu penses "savoir" jouer. Donc que tu as appris tout seul (pour faire simple car je ne doute pas que tu te documentes et que tu travailles).
Très surpris, vraiment.
J'en ai fait l'experience car je suis resté 8 mois sans prof, et mes deux stages chez Guzelya n'ont pas changé le constat.
Ce que j'avais appris, donc "tout seul" pendant cette période, même quelques mesures, était à l'ouest de qu'il fallait faire.
Tous les jours, je me félicite d'avoir trouvé ma prof actuelle.
Mais tu ne peux pas t'en rendre compte, et c'est la vérité que tu cherches peut etre à éviter, car il n'y a aucune raison de se passer volontairement d'un bon prof quand on n'a pas déjà un certain niveau, et même quand on s'appelle Debargues, on en a besoin si on veut aller encore plus loin (et c'est pour cela qu'il en a une, dont le role dans son succès à Moscou est reconnu par tous et par Lucas en premier...).
Ou tout simplement pour ne pas s'illusionner sur ce qu'on croit "savoir" jouer.
"mais je reste demuni devant certaines choses simples."
C'est justement ta contradiction qui t'y mène. Tu crées toi même les conditions qui font que cela arrive, et puis t'en plaindre. Non?


PS: je ne cherche pas particulièrement à te convaincre mais comme de nombreux débutants nous lisent et lisent PM, sans se manifester d'ailleurs (ce que j'ai fait personnellement pendant neuf mois), je me sens un devoir moral de ne pas laisser une position minoritaire mettre en péril des vocations naissantes...

Modifié en dernier par Wandarnok le jeu. 19 nov., 2015 22:43, modifié 3 fois.
Re: Comment gérez-vous vos phases de découragement ?
Psst, Lelama, si chaque fois Wandarnok te parle de prof, tu lui parles de doigtés qu'il a promises pour Chopin, peut-être qu'il arrêtera ! 

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Re: Comment gérez-vous vos phases de découragement ?
viewtopic.php?f=1&t=15585&start=40#p266983Lee a écrit :Psst, Lelama, si chaque fois Wandarnok te parle de prof, tu lui parles de doigtés qu'il a promises pour Chopin, peut-être qu'il arrêtera !


Re: Comment gérez-vous vos phases de découragement ?
Et dans quel état es tu?Lee a écrit :Pour revenir un peu à la question, dernièrement mes pensées sont "comment maintenir la motivation de travailler les mêmes oeuvres sans se disperser ?" En fait dans mon état actuel je me demande si les cours ont un sens...

- amalfi
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Re: Comment gérez-vous vos phases de découragement ?
Je vais y remédier, vu que pas plus tard qu'aujourd'hui j'ai bénéficié d'un "boost".mais comme de nombreux débutants nous lisent et lisent PM, sans se manifester d'ailleurs (ce que j'ai fait personnellement pendant neuf mois), je me sens un devoir moral de ne pas laisser une position minoritaire mettre en péril des vocations naissantes...
Depuis vendredi dernier, tristesse, colère, et flot continu d'informations ont pris le dessus sur l'envie de m'asseoir au piano. Le blues sans sa musique... Mardi j'ai contacté ma prof pour avoir un cours, elle avait le temps ce jeudi 13h. Et ça m'a fait le plus grand bien, me voila remotivé ! J'ai réussi, et ce pour la première fois, à jouer deux pièces (presque) sans erreurs de notes et de rythme (l'accentuation, le phrasé, la musicalité, c'est autre chose, j'ai tout à apprendre et on a repris certains passages). J'étais vraiment content de reproduire ce que je sais faire chez moi. Elle m'a beaucoup félicité, dit que je jouais vraiment bien (je ne suis pas dupe, c'est relatif à mes 9 mois de pratique) et m'a donné deux nouveaux morceaux à travailler (mais j'ai mis le holà ! y'a déjà assez à faire)
Elle a continué de plus belle... "en janvier tu vas nous accompagner à la chorale", rien que ça ! "regarde, ce Mozart là est facile à jouer ..." (mouai, des accords à 4 doigts à la main gauche, et j'ai pas eu le temps de bien regarder ce qui se passe à droite). C'est vrai que le rythme a l'air simple, mais j'ai râlé. "mais si, tu vas jouer sur un vrai piano, et tu perdras vite ton trac en jouant à la chorale, tu es un artiste et le trac doit disparaitre dès que tu joues " etc, etc.
Je commence à douter de la qualité de ma voix, si après de deux répets avec la chorale elle pense déjà à me caser ailleurs

Mais ce cours m'a fait le plus grand bien ! Généralement je sortais plutôt abattu, me rendant compte du poids de la montagne que je voulais soulever; là rien de cela, au contraire une envie de progresser à nouveau. Je viens de jouer deux heures durant ce soir, avec plaisir, et de nouveaux objectifs (accentuer là où c'est écrit, travailler ce passage au métronome, essayer maintenant tel morceau sans regarder les mains mais la partition, etc) C'est reparti !
Voila donc le petit témoignage d'un débutant pas très jeune, qui sait trouver auprès de sa prof le réconfort et le courage pour continuer ce (très très) difficile apprentissage.
Modifié en dernier par amalfi le ven. 20 nov., 2015 1:36, modifié 5 fois.
Re: Comment gérez-vous vos phases de découragement ?
Je te félicite, sincèrement.
Le plaisir est dans la progression, d'où que l'on parte.
C'est toujours un accomplissement et une joie intense que de réussir ce qu'on s'était donné comme challenge ou objectif.
Faire attention au réalisme, car le revers de la médaille nous guette: échouer quand on a pas respecté les étapes et quand on vise trop haut d'un coup; démotivation assurée...
Ce qui n’empêche pas d'avoir un moteur, avec par exemple une liste des morceaux qu'on l'on vise à long terme.

Le plaisir est dans la progression, d'où que l'on parte.
C'est toujours un accomplissement et une joie intense que de réussir ce qu'on s'était donné comme challenge ou objectif.
Faire attention au réalisme, car le revers de la médaille nous guette: échouer quand on a pas respecté les étapes et quand on vise trop haut d'un coup; démotivation assurée...
Ce qui n’empêche pas d'avoir un moteur, avec par exemple une liste des morceaux qu'on l'on vise à long terme.

Re: Comment gérez-vous vos phases de découragement ?
Bravo Amalfi, merci d'avoir raconté ton histoire, ça nous donne un boost de te lire.

Dissipé et pas très motivé, mais ça viendra...heureusement mon piano chante comme un diva et sort les sons assez jolis même quand je joue mal, ça doit aussi expliquer mon choix restraint de style des oeuvres et manque de motivation de mieux travailler.Wandarnok a écrit :Et dans quel état es tu?
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Re: Comment gérez-vous vos phases de découragement ?
Peut-être dois tu simplement augmenté la difficulté des morceaux à travailler?
Et que devient la 4eme Ballade?
Et que devient la 4eme Ballade?
Re: Comment gérez-vous vos phases de découragement ?
Merci pour la suggestion, Strumpf.
Ce n'est pas loin de décembre, c'est peut-être la saison, mais ça va passer. J'ai déchiffré / joué seulement les 3 premières pages de la ballade, tu as raison, je dois me jetter à déchiffrer le reste, ou peut-être m'y mettre au prochain Rachmaninoff sur ma liste, on verra.

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Re: Comment gérez-vous vos phases de découragement ?
C'est peut-être comme ça qu'on mesure le plaisir, pour répondre à Wlad, en nous sentant gratifiés de réaliser des choses que nous ne savions pas faire auparavant.Wandarnok a écrit :Le plaisir est dans la progression, d'où que l'on parte.
Peut-on savoir ce que c'est, ou tu nous réserves la surprise ?Lee a écrit :prochain Rachmaninoff sur ma liste
Re: Comment gérez-vous vos phases de découragement ?
Vous avez vu qu'il m'est impossible de vous réserver une surprise, ne serait que pour vous embêtez avec mes questions sur tous que j'essaie de jouer.
Du coup j'ai cherché le numéro, écrit ça va m'aider à retenir : Prélude op 32 no 12. Avec ce temps pourri, ça serait mieux d'être transporter par ce prélude aux magnifiques hivers de la neige, un traîneau, les cloches, les icicles accrochés aux branches des arbres.
Qu'est-ce que le français est pauvre comme langue : apparemment il n'y pas un mot pour icicle, c'est rien à voir avec des glaçons !
Jean-Séb : Sur ce dernier point, la suite est là :
viewtopic.php?p=274533#p274533

Du coup j'ai cherché le numéro, écrit ça va m'aider à retenir : Prélude op 32 no 12. Avec ce temps pourri, ça serait mieux d'être transporter par ce prélude aux magnifiques hivers de la neige, un traîneau, les cloches, les icicles accrochés aux branches des arbres.

Jean-Séb : Sur ce dernier point, la suite est là :
viewtopic.php?p=274533#p274533
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Re: Comment gérez-vous vos phases de découragement ?
Connaissant le loustic, je pense qu'il avait autre chose en teteOkay a écrit : C'est peut-être comme ça qu'on mesure le plaisir, pour répondre à Wlad, en nous sentant gratifiés de réaliser des choses que nous ne savions pas faire auparavant.

Sinon, gratification, c'est un joli mot, effectivement.