

D'où l'intérêt d'un diapason electronique.Olek a écrit : Et le diapason monte quand il est dans la valise au froid...je vous dirai ça (de mémoire 0.5 Hz) A +
Bah .... On est pas à un demi hertz près ...D'où l'intérêt d'un diapason electronique.
J'avais oublié cette réponse... peut-être parce que, en réalité, ce n'est pas la sonnerie qui m'importait, mais plutôt l'orchestre du concerto que l'on écoute et qui semble baisser, quand on diminue brutalement l'intensité pour répondre, donc des sons complexes.piano bien tempéré a écrit :Ben on en avait parlé sur le fil de l'oreille absolue il y a un an :
Diapason En tout bas de page ...
"En principe lors que le son entendu est complexe (riche en harmoniques) les variations avec l'intensité de hauteur apparente sont très faibles , quasi nulles ... mais lorsque l'on est en présence de sons pauvres , quasi sinusoïdaux (cas des sonneries de nos téléphones modernes , diapason à fourche ...) , les variations sont perceptibles et parfois génantes ... c'est du reste pourquoi certaines oreille absolues affirment que le LA donné par le téléphone n'est pas juste ....
Ensuite il faut compter avec l'audiogramme de votre oreille qui en fonction des courbes de fréquences que l'oreille perçoit peut augmenter le phénomène jusqu'à le rendre perceptible pour des sons réputés "musicaux" c'est à dire riches en harmonique ou en partiels ... Le tout pouvant être amplifié à son tour par l'acoustique du lieu qui filtre plus ou moins "
Tu es si sûr que ça qu'un diapason électronique est insensible à la température ?Koll a écrit :D'où l'intérêt d'un diapason electronique.Olek a écrit : Et le diapason monte quand il est dans la valise au froid...je vous dirai ça (de mémoire 0.5 Hz) A +
Je n'en sais strictement rien: sur le mien c'est indiqué qu'il est stable. Doit-on douter?egtegt a écrit : Tu es si sûr que ça qu'un diapason électronique est insensible à la température ?
C'est en studio qu'ils ont besoin parfois d'un diapason "précis" 0.5 Hz c'est déja un peu limite si le piano doit jouer avec des bandes déja enregistrées.piano bien tempéré a écrit :Personnellement , je pars du principe qu'un diapason métal est fiable à + ou - 0,5 hertz ce qui est amplement suffisant ... De plus ça ne tombe jamais en panne et ne nécessite qu'un peu d'huile de coude (si peu ...) comme énergie ...
Beaux exemple de battements de tierces (progression de tierces contigues par exemple sol -si et si - de# : 4 pour 5 (approx) , si vous comptez en marquant le premier temps 1-2345 pour 1- 234 vous entendrez le rapport)piano bien tempéré a écrit :Un autre petit lien pour entendre des battements de tierce et autres au niveau de la partition (rappel , "partition" : zone où l'accordeur construit la gamme)
-Aller dans "downloads" , puis dans "sound samples"
Battements de tierces
En plus une jeune fille sympathique annonce le nom de l'intervalle avant chaque écoute
Ces constats sont clairs et maintes fois vérifiés ! La rigidité de l'assise est très importante . Pour le piano qu'on déplace après avoir remis en place le couvercle supérieur muni d'un axe de charnière se démontant vers l'arrière (quelle idée !Olek a écrit :Au fait dans le dernier numéro de "Europiano" un article de Jan Grosbach sur la stabilité de l'accord des pianos entre autres avec le changement de température (lumières de scène, accords en extèrieur) , mais aussi, mesurés les différences de hauteur au niveau du passage basses aigues sur des pianos droits avec les pieds mal calés au sol .
Je suis très heureux qu'il signale que si la répartition du poids du piano (droit ) sur les 4 supports n'est pas assurée, la tenue d'accord est moindre. Il se plaint aussi de ces pianos droits avec le couvercle qui se lève vers la gauche (façon piano a queue) et qu'on doit souvent avancer de 30 cm pour pouvoir les retirer et donc accorder. Quand on repousse le piano il y a déja des chances que l'accord bouge !
Et expérience en mettant une planchette sous un des pieds avant de divers pianos droits (petits et grands, grande maruqe ou pas) . Différence de hauteur (désaccord) trouvée au niveau des premières notes claires (bas medium) : entre 5 et 6 cts, ce qui est carrément plus que 1 Hz.