Re: Fil de Spianissimo (Glass - Etude n°2)
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Re: Fil de Spianissimo (Johann Pachelbel - Chaconne T 206 - Piano)
Pachelbel - Chaconne T 206 - une merveille baroque assez peu connue et peu jouée au piano, et pour cause, c'est une oeuvre composée pour l'orgue.....mais j'aime tellement cette chaconne que je la joue au piano, je trouve qu'elle s'en accomode pas mal du tout.
C'est sympa de parler mais jouons maintenant...
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Re: Fil de Spianissimo (Johann Pachelbel - Chaconne T 206 - Piano)
Décidément, ton fil est une mine d'or. Je ne connaissais pas du tout. Et c'est vraiment une très belle pièce.
Elle te va très bien, tu la rends très bien, tout en douceur au début, puis plus incisive et dansante ensuite.
Puis en douceur de nouveau sur la fin.
Bravo pour cette très belle construction que tu lui apportes.
En effet, cela doit vraiment bien rendre à l'orgue.
Elle te va très bien, tu la rends très bien, tout en douceur au début, puis plus incisive et dansante ensuite.
Puis en douceur de nouveau sur la fin.
Bravo pour cette très belle construction que tu lui apportes.
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Re: Fil de Spianissimo (Johann Pachelbel - Chaconne T 206 - Piano)
Sympa la première étude de Glass, mais sans plus pour moi. J'ai bien aimé la ballade de Say.
La chaconne de Pachelbel est un morceau que j'apprécie beaucoup, et que j'aimerais bien jouer. Il y a des belles choses dans ce que tu nous propos, mais aussi d'autres qui m'ont dérangé, des erreurs de rythme pour la variation 1, tu allonges les temps lorsque les doubles croches arrivent. Tu cahnges aussi le tempo selon les variations (c'est voulu j'imagine), ce qui me sort un peu du morceau à chaque fois. Il me semble que dans les chaconnes et autres passacailles, en particulier, le rythme doit être immuable.
La chaconne de Pachelbel est un morceau que j'apprécie beaucoup, et que j'aimerais bien jouer. Il y a des belles choses dans ce que tu nous propos, mais aussi d'autres qui m'ont dérangé, des erreurs de rythme pour la variation 1, tu allonges les temps lorsque les doubles croches arrivent. Tu cahnges aussi le tempo selon les variations (c'est voulu j'imagine), ce qui me sort un peu du morceau à chaque fois. Il me semble que dans les chaconnes et autres passacailles, en particulier, le rythme doit être immuable.
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Re: Fil de Spianissimo (Johann Pachelbel - Chaconne T 206 - Piano)
Merci Alain, oui, je me suis fait plaisir sur les variationspoppotame a écrit : sam. 05 avr., 2025 0:44 Décidément, ton fil est une mine d'or. Je ne connaissais pas du tout. Et c'est vraiment une très belle pièce.
Elle te va très bien, tu la rends très bien, tout en douceur au début, puis plus incisive et dansante ensuite.
Puis en douceur de nouveau sur la fin.
Bravo pour cette très belle construction que tu lui apportes.
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Re: Fil de Spianissimo (Johann Pachelbel - Chaconne T 206 - Piano)
Merci Beemahl, oui, c'est voulu pour les changements de tempo et les changements d'ambiance, c'est comme ça que je perçois cette chaconne, erreurs de rythmes, oui, sur la 1 et surtout sur la 9 (celle-ci me dérange plus....)....j'avais noté ces erreurs, et c'est en posant la partition sur ma vidéo que je m'en suis rendu compte. Ceci dit, je ne passerai pas de concours avec ce morceau, je ne le jouerai pas en public non plus, pour moi, c'est le résultat global qui compte, et surtout, faire découuvrir cette pièce et montrer que Pachelbel à composé autre chose que son fameux Canon...Beemahl a écrit : sam. 05 avr., 2025 7:48 Sympa la première étude de Glass, mais sans plus pour moi. J'ai bien aimé la ballade de Say.
La chaconne de Pachelbel est un morceau que j'apprécie beaucoup, et que j'aimerais bien jouer. Il y a des belles choses dans ce que tu nous propos, mais aussi d'autres qui m'ont dérangé, des erreurs de rythme pour la variation 1, tu allonges les temps lorsque les doubles croches arrivent. Tu cahnges aussi le tempo selon les variations (c'est voulu j'imagine), ce qui me sort un peu du morceau à chaque fois. Il me semble que dans les chaconnes et autres passacailles, en particulier, le rythme doit être immuable.

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Re: Fil de Spianissimo (Erik Satie - Le Fils des Etoiles - Piano)
Un tryptique (encore un....) purement mystique et ésotérique....à mettre entre les oreilles de ceux qui aiment ou qui veulent découvrir cette partie de l'oeuvre de Satie....
Satie à composé sa gnossienne n°7 pour qu'elle soit jouée à la fin de ce tryptique, je la rajoute donc pour ceux qui voudraient écouter l'expérience intégrale...et ils seront sans doute peu nombreux....
Satie à composé sa gnossienne n°7 pour qu'elle soit jouée à la fin de ce tryptique, je la rajoute donc pour ceux qui voudraient écouter l'expérience intégrale...et ils seront sans doute peu nombreux....

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Re: Fil de Spianissimo (Griboïedov - Valse)
Griboïedov - Valse , un petit clin d'oeil à Wincher01
Cette valse est un bis sorti de l'oubli et souvent mis en avant par le pianiste russe Grigory Sokolov.
Alexandre Griboïedov , né à Moscou probablement le 4 janvier 1794 et mort à Téhéran le 30 janvier 1829, est un auteur dramatique, compositeur et diplomate russe.
Fils d'une famille de petite noblesse, il étudie à l'université de Moscou de 1810 à 1812. Il obtient ensuite un brevet dans un régiment de hussards, mais se retire en 1816. Cette même année, il est initié à la confrérie maçonnique pétersbourgeoise Les Amis Réunis fondée par le général-major Alexandre Jerebtsov.
L'année suivante, il entre dans la fonction publique. Il est affecté en tant que secrétaire de la délégation russe en Perse. Conformément au traité de Golestan, il réussit à faire sortir de Perse une centaine de soldats russes, anciens captifs. Il joue un rôle important pendant la guerre turco-perse de 1821-1823 et est décoré par le chah de l'ordre du Lion et du Soleil. En 1822, il est transféré en Géorgie, où il devient secrétaire diplomatique d'Alexis Iermolov, le gouverneur général du Caucase. C'est pendant cette mission qu'il écrit ses chefs-d'œuvre en littérature. En 1826, après l'échec de l'insurrection décabriste, Griboïedov, malgré sa sympathie pour certains des membres du mouvement, est lavé de tout soupçon, après avoir été mis aux arrêts à Grozny et avoir subi un interrogatoire à Saint-Pétersbourg.
De retour en Géorgie au mois de septembre 1826, déçu, il se rend utile par ses connaissances de la langue persane auprès de son parent le comte Ivan Paskevitch, qui a remplacé Ermolov au poste de gouverneur général. Il devient une sorte d'éminence grise du commandement militaire russe au Caucase, pendant la guerre russo-persane de 1826-1828. Il dirige les pourparlers avec les chefs de clans perses en protégeant leur droit coutumier.
Il est envoyé à Saint-Pétersbourg après le traité de Turkmantchaï de 1828 qu'il avait préparé et qui permit à l'Empire russe d'obtenir une position avantageuse en Perse. Reçu donc brillamment dans la capitale impériale, il pense pouvoir se consacrer à la littérature et entame la rédaction d'un drame romantique, Une nuit géorgienne, mais il est soudain envoyé en Perse en tant que ministre plénipotentiaire. En route, il est retardé par la maladie et par son mariage ; il conçoit alors le projet de créer une Compagnie russo-transcaucasienne, organisée comme celle des Indes orientales ; mais peu après son arrivée à Téhéran, une foule de fanatiques assaille l'ambassade russe. Griboïedov, ainsi que la quasi-totalité du personnel, est assassiné, le 30 janvier 1829. Son corps est si maltraité pendant trois jours par la foule qu'il ne peut être reconnu que grâce à une cicatrice sur une de ses mains, souvenir d'un duel. Selon toute probabilité, ce meurtre fut commis à l'instigation du docteur John McNeill, diplomate de la Couronne britannique en Perse, qui redoutait l'influence russe, dans le contexte de ce que l'on appellera plus tard le Grand Jeu entre les Britanniques et les Russes et qui excita la foule contre la Russie. On emmena sa dépouille à Tiflis (aujourd'hui Tbilissi). Alexandre Pouchkine, ami proche de Griboïedov, rejoignant l'armée russe en guerre avec la Turquie, croise son cercueil lors de sa traversée du Caucase, sur une arba attelée à deux bœufs. Il relate cette rencontre dans son Voyage à Arzroum. Griboïedov est inhumé à Tbilissi, au monastère de Saint-David. Sa veuve, Nina Griboïedova, fille de son ami le prince Alexandre Tchavtchavadze, qu'il avait épousée quelques mois auparavant, y éleva un monument en sa mémoire. En 1923, le canal Catherine, à Saint-Pétersbourg, est renommé canal Griboïedov en sa mémoire.
Il commence à écrire jeune et en 1816, produit à Saint-Pétersbourg une comédie en vers intitulée Les Jeunes Époux, suivie d'autres œuvres du même style. Cependant aucune de ses œuvres n'atteint la popularité de la pièce Le Malheur d'avoir trop d'esprit, une satire de l'aristocratie russe. Il ne connaît pas de succès de son vivant. Il entame la rédaction d'un drame romantique, Une nuit géorgienne peu avant sa mort. Sa vie inspire l'écrivain soviétique Iouri Tynianov, qui lui consacre un roman, La Mort du Vazir-Moukhtar (1928).

Cette valse est un bis sorti de l'oubli et souvent mis en avant par le pianiste russe Grigory Sokolov.
Alexandre Griboïedov , né à Moscou probablement le 4 janvier 1794 et mort à Téhéran le 30 janvier 1829, est un auteur dramatique, compositeur et diplomate russe.
Fils d'une famille de petite noblesse, il étudie à l'université de Moscou de 1810 à 1812. Il obtient ensuite un brevet dans un régiment de hussards, mais se retire en 1816. Cette même année, il est initié à la confrérie maçonnique pétersbourgeoise Les Amis Réunis fondée par le général-major Alexandre Jerebtsov.
L'année suivante, il entre dans la fonction publique. Il est affecté en tant que secrétaire de la délégation russe en Perse. Conformément au traité de Golestan, il réussit à faire sortir de Perse une centaine de soldats russes, anciens captifs. Il joue un rôle important pendant la guerre turco-perse de 1821-1823 et est décoré par le chah de l'ordre du Lion et du Soleil. En 1822, il est transféré en Géorgie, où il devient secrétaire diplomatique d'Alexis Iermolov, le gouverneur général du Caucase. C'est pendant cette mission qu'il écrit ses chefs-d'œuvre en littérature. En 1826, après l'échec de l'insurrection décabriste, Griboïedov, malgré sa sympathie pour certains des membres du mouvement, est lavé de tout soupçon, après avoir été mis aux arrêts à Grozny et avoir subi un interrogatoire à Saint-Pétersbourg.
De retour en Géorgie au mois de septembre 1826, déçu, il se rend utile par ses connaissances de la langue persane auprès de son parent le comte Ivan Paskevitch, qui a remplacé Ermolov au poste de gouverneur général. Il devient une sorte d'éminence grise du commandement militaire russe au Caucase, pendant la guerre russo-persane de 1826-1828. Il dirige les pourparlers avec les chefs de clans perses en protégeant leur droit coutumier.
Il est envoyé à Saint-Pétersbourg après le traité de Turkmantchaï de 1828 qu'il avait préparé et qui permit à l'Empire russe d'obtenir une position avantageuse en Perse. Reçu donc brillamment dans la capitale impériale, il pense pouvoir se consacrer à la littérature et entame la rédaction d'un drame romantique, Une nuit géorgienne, mais il est soudain envoyé en Perse en tant que ministre plénipotentiaire. En route, il est retardé par la maladie et par son mariage ; il conçoit alors le projet de créer une Compagnie russo-transcaucasienne, organisée comme celle des Indes orientales ; mais peu après son arrivée à Téhéran, une foule de fanatiques assaille l'ambassade russe. Griboïedov, ainsi que la quasi-totalité du personnel, est assassiné, le 30 janvier 1829. Son corps est si maltraité pendant trois jours par la foule qu'il ne peut être reconnu que grâce à une cicatrice sur une de ses mains, souvenir d'un duel. Selon toute probabilité, ce meurtre fut commis à l'instigation du docteur John McNeill, diplomate de la Couronne britannique en Perse, qui redoutait l'influence russe, dans le contexte de ce que l'on appellera plus tard le Grand Jeu entre les Britanniques et les Russes et qui excita la foule contre la Russie. On emmena sa dépouille à Tiflis (aujourd'hui Tbilissi). Alexandre Pouchkine, ami proche de Griboïedov, rejoignant l'armée russe en guerre avec la Turquie, croise son cercueil lors de sa traversée du Caucase, sur une arba attelée à deux bœufs. Il relate cette rencontre dans son Voyage à Arzroum. Griboïedov est inhumé à Tbilissi, au monastère de Saint-David. Sa veuve, Nina Griboïedova, fille de son ami le prince Alexandre Tchavtchavadze, qu'il avait épousée quelques mois auparavant, y éleva un monument en sa mémoire. En 1923, le canal Catherine, à Saint-Pétersbourg, est renommé canal Griboïedov en sa mémoire.
Il commence à écrire jeune et en 1816, produit à Saint-Pétersbourg une comédie en vers intitulée Les Jeunes Époux, suivie d'autres œuvres du même style. Cependant aucune de ses œuvres n'atteint la popularité de la pièce Le Malheur d'avoir trop d'esprit, une satire de l'aristocratie russe. Il ne connaît pas de succès de son vivant. Il entame la rédaction d'un drame romantique, Une nuit géorgienne peu avant sa mort. Sa vie inspire l'écrivain soviétique Iouri Tynianov, qui lui consacre un roman, La Mort du Vazir-Moukhtar (1928).
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Re: Fil de Spianissimo (Griboyedov - Valse)

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Re: Fil de Spianissimo (Glass - Etude n°2)
Philip Glass - Etude n°2
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Re: Fil de Spianissimo (Glass - Etude n°2)
Je me suis toujours demandé, comment Philip Glass pouvait transmettre tant d'émotion avec si peu de moyens. De fait il suffit d'avoir en plus un bon interprète...
Lorsque les sièges basculent, les fondements s'affaissent.
Re: Fil de Spianissimo (Glass - Etude n°2)
Intéressante cette étude n2 ! Elle ne doit pas être si facile à apprendre...
Belle ambiance bien rendue.
Belle ambiance bien rendue.
Re: Fil de Spianissimo (Glass - Etude n°2)
Merci Spiani,
Je découvre cette étude bien interprétée et bien sentie, une musique particulière, un peu lancinante et un thème qui finalement laisse passer une émotion du temps qui passe dans une forme d’éternel recommencement.
À très bientôt
Je découvre cette étude bien interprétée et bien sentie, une musique particulière, un peu lancinante et un thème qui finalement laisse passer une émotion du temps qui passe dans une forme d’éternel recommencement.
À très bientôt

- elenajalan
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Re: Fil de Spianissimo (Glass - Etude n°2)
Quel régal, ce voyage typique de Glass, et je trouve que la sonorité de ton piano voire l'acoustique de ta pièce siéent à merveille à cet univers particulier. On y plonge et on y reste, comme dans un monde aquatique à demi-obscur où le temps n'existerait plus.
Merci et bravo à l'interprète !
Merci et bravo à l'interprète !
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Re: Fil de Spianissimo (Glass - Etude n°2)
Merci de ton retour Danaus, la simplicité, c'est un peu la marque de fabrique de Glass...il utilise quand même parfois des harmonies un peu aventureuses, et en jouant Glass, on se rend compte (plus qu'en l'écoutant) que l'économie de moyens est un peu une illusion, en fait, sa musique est beaucoup plus sophistiquée et variée que ce que l'on croit, mais tout est niveau des détails et des rythmes notamment.Danaus a écrit : sam. 12 avr., 2025 8:05 Je me suis toujours demandé, comment Philip Glass pouvait transmettre tant d'émotion avec si peu de moyens. De fait il suffit d'avoir en plus un bon interprète...
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Re: Fil de Spianissimo (Glass - Etude n°2)
Merci Mh_piano, cette deuxième étude n'est pas trop compliquée techniquement, en revanche il y a un travail sur les sonorités et la gestion des répétitions qui n'est pas évident, et quelques passages assez perturbants qui demandent un certain temps d'assimilation.mh_piano a écrit : sam. 12 avr., 2025 8:44 Intéressante cette étude n2 ! Elle ne doit pas être si facile à apprendre...
Belle ambiance bien rendue.
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Re: Fil de Spianissimo (Glass - Etude n°2)
Merci Ninoff !Ninoff a écrit : dim. 13 avr., 2025 12:16 Merci Spiani,
Je découvre cette étude bien interprétée et bien sentie, une musique particulière, un peu lancinante et un thème qui finalement laisse passer une émotion du temps qui passe dans une forme d’éternel recommencement.
À très bientôt![]()
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Re: Fil de Spianissimo (Glass - Etude n°2)
Merci Elena, oui, l'ambiance aquatique et cotonneuse lui va bien, même si cette sonorité pièce/piano commence à me fatiguer un peu....en fait, je n'ai pas le choix, investir dans des bons micros mettrait sans doute en valeur tous les petits oiseaux qui chantent autour de la maison...ma seule solution tant que je vis en Martinique serait de m'enregistrer avec un son numérique....et je ne m'y résoud pas pour l'instant...elenajalan a écrit : dim. 13 avr., 2025 15:14 Quel régal, ce voyage typique de Glass, et je trouve que la sonorité de ton piano voire l'acoustique de ta pièce siéent à merveille à cet univers particulier. On y plonge et on y reste, comme dans un monde aquatique à demi-obscur où le temps n'existerait plus.
Merci et bravo à l'interprète !
Content que cette plongée dans cette étude te plaise !!
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Re: Fil de Spianissimo (Glass - Etude n°2)
Bravo Spiani
Grâce à toi, je découvre toujours un peu plus Philippe Glass. Une musique très particulière, envoûtante, un monde si particulier ! La ronde du temps qui passe.



Grâce à toi, je découvre toujours un peu plus Philippe Glass. Une musique très particulière, envoûtante, un monde si particulier ! La ronde du temps qui passe.
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Re: Fil de Spianissimo (Glass - Etude n°2)
Le plus important, c'est le plaisir direct quand tu joues, et j'espère que c'est le cas (je pense que oui au vu du nombre de pièces auxquelles tu t'attèles), et tant pis si l'enregistrement n'est pas "parfait", non ? En tout cas, à moi, ce n'est pas ce qui m'importe le plus, la "qualité" de l'enregistrement, quand j'écoute qqn ici ou ailleurs. Tu me diras, quand on a entendu comme moi ses profs jouer (sans aucun doute tb) en visio pendant plus de deux ans mais que ça fait un son de tuyauterie, on relativise...Spianissimo a écrit : dim. 13 avr., 2025 15:58Merci Elena, oui, l'ambiance aquatique et cotonneuse lui va bien, même si cette sonorité pièce/piano commence à me fatiguer un peu....en fait, je n'ai pas le choix, investir dans des bons micros mettrait sans doute en valeur tous les petits oiseaux qui chantent autour de la maison...ma seule solution tant que je vis en Martinique serait de m'enregistrer avec un son numérique....et je ne m'y résoud pas pour l'instant...elenajalan a écrit : dim. 13 avr., 2025 15:14 Quel régal, ce voyage typique de Glass, et je trouve que la sonorité de ton piano voire l'acoustique de ta pièce siéent à merveille à cet univers particulier. On y plonge et on y reste, comme dans un monde aquatique à demi-obscur où le temps n'existerait plus.
Merci et bravo à l'interprète !
Content que cette plongée dans cette étude te plaise !!

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Re: Fil de Spianissimo (Glass - Etude n°2)
Quel plaisir de te retrouver dans cette étude !
Ma deuxième préférée sans doute, après la 6.
Elle te va très bien celle là aussi. J'aime beaucoup le passage où la mg prend seule le relais des 2 mains pour les octaves alors que la droite file vers les aigus.
Et quel beau son, très beau voicing également, et ce, sur un registre très large du piano !
Ma deuxième préférée sans doute, après la 6.
Elle te va très bien celle là aussi. J'aime beaucoup le passage où la mg prend seule le relais des 2 mains pour les octaves alors que la droite file vers les aigus.
Et quel beau son, très beau voicing également, et ce, sur un registre très large du piano !