Une leçon particulière avec Hélène Grimaud pour 19 Euros
je crois que son premier métier, c'est avant tout pianiste, alors franchement, ses bouquins, je m'en fous !!!
Vous saviez qu'il y avait un projet de film avec HG, réalisé par Ingmar Bergman?
Eh oui, après la musique, les livres... maintenant, c'est CINEEEMAAAAAA !
A quand HG qui monte les marches à Cannes.

Vous saviez qu'il y avait un projet de film avec HG, réalisé par Ingmar Bergman?
Eh oui, après la musique, les livres... maintenant, c'est CINEEEMAAAAAA !
A quand HG qui monte les marches à Cannes.
Je vous laisse, j'ai ma clé d'accord qui refroidit...
Je crois que c'etait la maison de ses parents, donc logiquement c'est le piano de ses parents qui ne sont absolument pas musicien (ce qui expliquerait la chose ..)Marie-france a écrit : Par contre son piano ne semblait pas bien accordé!
Je crois que c'est celle là , et ouai ça casse pas malGastiflex a écrit :Pour en revenir à HG, on peut dire qu'elle est loin de faire l'unanimité. Ou alors si mais contre elle. J'ai lu une critique de son bouquin dans le Nouvel Obs, donc en résumé :
- elle se la pète
- elle sait pas écrire
Hélène et les tomates
A niaiserie égale, même Coelho évite de « frissonner d'épouvante », d'être « glacé d'horreur » etn'appelle pas Venise « la cité de saint Marc ». Hélène Grimaud le fait sans gêne, dans « Leçons particulières » (Laffont, 17 euros). Je suis jolie, je suis célèbre, mais je doute. Partons, ren-controns le Professeur, l'Inconnu, le Collectionneur - sitôt croisés, les personnages gagnent la majuscule de leur universalité. C'est bien joli, l'« amour partagé », la « douleur transcendée », « le grand chant du monde », mais cela finit par être écoeurant. Il faut beaucoup de talent pour faire de la bonne littérature avec cela. Et l'on doute qu'un auteur qui écrit « je dégustai la tomate », puis deux pages plus loin « nous prîmes le temps de les déguster » (d'autres tomates), puis « j'avais terminé de déguster ma tomate », qui ne sait rien faire d'une tomate, sinon la « déguster », en ait suffisamment.
Jacques Drillon
Tristan a écrit : Je crois que c'est celle là , et ouai ça casse pas malHélène et les tomates
A niaiserie égale, même Coelho évite de « frissonner d'épouvante », d'être « glacé d'horreur » etn'appelle pas Venise « la cité de saint Marc ». Hélène Grimaud le fait sans gêne, dans « Leçons particulières » (Laffont, 17 euros). Je suis jolie, je suis célèbre, mais je doute. Partons, ren-controns le Professeur, l'Inconnu, le Collectionneur - sitôt croisés, les personnages gagnent la majuscule de leur universalité. C'est bien joli, l'« amour partagé », la « douleur transcendée », « le grand chant du monde », mais cela finit par être écoeurant. Il faut beaucoup de talent pour faire de la bonne littérature avec cela. Et l'on doute qu'un auteur qui écrit « je dégustai la tomate », puis deux pages plus loin « nous prîmes le temps de les déguster » (d'autres tomates), puis « j'avais terminé de déguster ma tomate », qui ne sait rien faire d'une tomate, sinon la « déguster », en ait suffisamment.
Jacques Drillon



Mon seul commentaire : le Monsieur qui signe <u>n'est pas n'importe qui</u>. C'est lui qui a écrit le livre sur Schubert et Liszt dont je vous ai déjà parlé (et maintes autres ouvrages), j'ai énormément de respect et d'admiration pour lui.Tristan a écrit : Je crois que c'est celle là , et ouai ça casse pas malHélène et les tomates
A niaiserie égale, même Coelho évite de « frissonner d'épouvante », d'être « glacé d'horreur » etn'appelle pas Venise « la cité de saint Marc ». Hélène Grimaud le fait sans gêne, dans « Leçons particulières » (Laffont, 17 euros). Je suis jolie, je suis célèbre, mais je doute. Partons, ren-controns le Professeur, l'Inconnu, le Collectionneur - sitôt croisés, les personnages gagnent la majuscule de leur universalité. C'est bien joli, l'« amour partagé », la « douleur transcendée », « le grand chant du monde », mais cela finit par être écoeurant. Il faut beaucoup de talent pour faire de la bonne littérature avec cela. Et l'on doute qu'un auteur qui écrit « je dégustai la tomate », puis deux pages plus loin « nous prîmes le temps de les déguster » (d'autres tomates), puis « j'avais terminé de déguster ma tomate », qui ne sait rien faire d'une tomate, sinon la « déguster », en ait suffisamment.
Jacques Drillon
Sinon, je pense que la faute est du côté de l'éditeur. On est tous d'accord que ce n'est pas le métier de HG que d'écrire des livres. Il faudrait alors qu'un professionnel du livre veille à ce qu'il n'y ait pas de dérapage de ce type. On ne saura jamais les coulisses de cette histoire (était-ce l'éditeur qui n'a prêté aucune attention au contenu du livre, ou l'auteure qui a insisté pour que ce soit publié ainsi ?...)
Es gab eine Zeit, wo ich nur ungern über Schubert sprechen, nur Nächtens den Bäumen und Sternen von ihm vorerzählen mögen. [R. Schumann, 1838]
- MelleGould
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Faut bien un début à tout gastiflex,Gastiflex a écrit :Pour en revenir à HG, on peut dire qu'elle est loin de faire l'unanimité. Ou alors si mais contre elle. J'ai lu une critique de son bouquin dans le Nouvel Obs, donc en résumé :
- elle se la pète
- elle sait pas écrire
Et puis faut bien nourrir les loups.....son 1er livre fut un succès, le 2ème sera t'il un fiasco?..(enfin tjs est-il que je l'ai acheté...)peut être parce que je suis d'aix


- Gastiflex
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De toutes façons, ce bouquin fait partie de ceux qui n'ont pas besoin d'être bons pour se vendre. Tout d'abord rien que sur le nom. Ensuite en raison du succès du précédent (d'ailleurs si elle a déjà raconté sa vie, de quoi parle celui-ci à part de culture maraichère ?). Enfin, à cause du syndrome du cadeau dont on a déjà parlé dans le post : "Tiens, mon ami Régis joue du piano, je vais lui offrir ce bouquin pour Noël (son anniversaire / Pâques / Halloween, rayez les mentions inutiles), ça lui fera plaisir !"
D'ailleurs une question me vient : plein de gens dont c'est pas le boulot d'écrire mais qui ont tout de même des trucs à raconter n'hésitent pas à prendre un nègre, notamment pour des autobiographies (et là je pense à particulier à Loana). Pourquoi pas elle plutôt que de faire de la popote ?
Edit : je viens de penser à un truc, imaginez que HG tombe sur ce forum. En tant que pianiste, c'est pas impossible. Ou pire : elle est peut être déjà membre et se câche derrière un pseudo. Mais, mais mais... je t'ai démasqué Melle Gould ! Tu ne fait que la défendre et tu es d'Aix ! En réalité c'est toi HG !
D'ailleurs une question me vient : plein de gens dont c'est pas le boulot d'écrire mais qui ont tout de même des trucs à raconter n'hésitent pas à prendre un nègre, notamment pour des autobiographies (et là je pense à particulier à Loana). Pourquoi pas elle plutôt que de faire de la popote ?
Edit : je viens de penser à un truc, imaginez que HG tombe sur ce forum. En tant que pianiste, c'est pas impossible. Ou pire : elle est peut être déjà membre et se câche derrière un pseudo. Mais, mais mais... je t'ai démasqué Melle Gould ! Tu ne fait que la défendre et tu es d'Aix ! En réalité c'est toi HG !
Lasciate ogni speranza, voi ch'entrate.
Tu penses avoir trouvé la vérité, mais la vérité est toute autre : dans ce forum il n'y a que deux personnes : toi, et moi, HG, qui utilise 459 identités différentes. Nous sommes toutes des formes différentes de la Matrice. Mais, hélas, la Matrice n'est pas partout. Un jour tu recevras un appel de Morpheus, et tu iras recontrer l'Oracle. Ce jour-là tâche d'avoir bien lu mes deux bouquins, car tu passeras une épreuve. Si tu échoues tu deviendras toi aussi une de mes identités.Gastiflex a écrit :Edit : je viens de penser à un truc, imaginez que HG tombe sur ce forum. En tant que pianiste, c'est pas impossible. Ou pire : elle est peut être déjà membre et se câche derrière un pseudo. Mais, mais mais... je t'ai démasqué Melle Gould ! Tu ne fait que la défendre et tu es d'Aix ! En réalité c'est toi HG !
Es gab eine Zeit, wo ich nur ungern über Schubert sprechen, nur Nächtens den Bäumen und Sternen von ihm vorerzählen mögen. [R. Schumann, 1838]
Effectivementyannis a écrit : Mon seul commentaire : le Monsieur qui signe <u>n'est pas n'importe qui</u>.

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oui dominique, j'ai acheté son livre, et je ne suis pas "critique" ....
ni sur elle, ni sur les autres d'ailleurs, les musiciens sont des êtres raffinés....doux...délicats..humbles..."habituellement"...
voici la couverture dominique:
(c'est vrai qu'Hélène est loin d'être éécrivain , mais c'est pas grave.... le message il est ailleurs...)..
"je me suis réveillée affamée, pour n'avoir plus mangé depuis des lustres, javais faim de terre, de continents, d'orages, de tumultes.
un appétit dévorant de parfums, me tenaillait le ventre sel sur la peau.
résine des grands sapins noirs, herbe en tendresse fauchée au printemps.
javais envie de mordre la chair crue dun poisson, de déployer mon ouie dans la symphonie du monde, de regarder pour voir vraiment et m'éblouir de lumière, de plonger mes mains dans la terre chaude et la gueule humide des loups, retourner au monde qui roule et qui mugit....."..etc.......
ni sur elle, ni sur les autres d'ailleurs, les musiciens sont des êtres raffinés....doux...délicats..humbles..."habituellement"...
voici la couverture dominique:

"je me suis réveillée affamée, pour n'avoir plus mangé depuis des lustres, javais faim de terre, de continents, d'orages, de tumultes.
un appétit dévorant de parfums, me tenaillait le ventre sel sur la peau.
résine des grands sapins noirs, herbe en tendresse fauchée au printemps.
javais envie de mordre la chair crue dun poisson, de déployer mon ouie dans la symphonie du monde, de regarder pour voir vraiment et m'éblouir de lumière, de plonger mes mains dans la terre chaude et la gueule humide des loups, retourner au monde qui roule et qui mugit....."..etc.......