Déjà, je pars plus vite et plus fort que ce qu'il faudrait. Et aux deux dernières pages, j'accélère encore.Ashiro a écrit :La régularité ça se travaille mais le plus rageant c'est quand ça marche chez soi et pas en concert.... Hélas l'anxièté est toujours présente mais il ne faut pas la prendre par la négative. Par contre, j'ai pas vraiment compris.... Tu accélères à la fin uniquement ou au fur et à mesure ? Et tu arrives à tenir le tempo de l'accélération ?
Je m'en rends compte trop tard. Comme en état d'ivresse, je sais que je fais des bêtises, mais trop tard elles sont faites, je suis déjà sur la suite et je ne réagis pas. La concentration n'est pas là où il faut.Ashiro a écrit : Il y a autre chose aussi qui joue quand on est sur scène, c'est la concentration. On ne pense pas toujours au morceau comme on pense quand on est au calme, on pense plus à la façon dont les autre nous regardent, nous écoutent ou on pense à rien, et du coup ben le morceau passe en 2nd plan, d'où l'impression de moins bien faire, c'est peut être ce qui t'arrive. Peut être devrais tu ralentir quand tu arrives à la fin pour freiner l'accélération, mais tu t'en rends compte pendant l'éxecution du passage ou après ?
Et après, bien après, j'essaie de me remémorer ce que j'ai fait, c'est d'ailleurs difficile. C'est quelqu'un d'autre qui a joué, et mal joué.
Jouer devant un public, c'est sans doute un bon exercice, il faut le faire souvent ; déjà, je pense que si je le rejoue devant le même public, 90% des couacs auront disparu (il en restera encore pas mal
