L'alcool ?! Noooon surtout pas, pas avant de jouer (après si tu veux) mais pitié pas avant...voyons Jérôme !
Ben non, le bon moment de détente ne sera que de (très) courte durée (à peine quelques secondes en fait) parce-que les premières mesures jouées, tu risques de regretter amèrement d'avoir cédé à la tentation je t'assure. J'en ai fait l'expérience avec des amis tout récemment
En fin de soirée (oui c'est toujours comme ça, ne me demandez pas pourquoi) :
-tu ne nous jouerais pas un p'tit kekchose ?...
Bibi s'exécute donc (en effet relax après une bonne soirée et un bon repas bien arrosé hein ), une pièce que je connaissais par coeur depuis des lustres pourtant et bien non....j'ai essayé de recommencer...en vain. J'ai même essayé d'autres pièces, rien à faire. L'alcool te donne l'impression que tu peux tout affronter, mais en fait au piano tu fais n'importe quoi.
Je n'ai pas testé encore, mais je n'en vois pas non plus le danger...J'en avais parlé un jour avec mon médecin traitant d'ailleurs en pensant aux auditions, il m'a affirmé qu'il n'y avait aucun risque d'accoutumance pris occasionnellement, bien sûr qu'on dit bien occasionnellement, ceci dit je n'ai pas essayé.Arabesque44 a écrit : ↑jeu. 22 mars, 2018 12:23 La comparaison a déjà été faite! Il est vrai que la bonne bouteille est aussi plus agréable.
Malheureusement, nous sommes plusieurs ici à avoir testé un effet assez désastreux de l'alcool sur le jeu pianistique...Certes le trac est gommé, mais le résultat...C'est un peu "tu t'es vu quand t'as bu" ? La honte...
Par contre tous les retours de ceux qui ont testé le propranolol sont plutôt positifs.