

Les moteurs sont pilotés.piano bien tempéré a écrit :Et tu me diras comment tes ptits moteurs pourront s'assurer de la bonne mise en charge des chevilles pour une bonne tenue et un bon son![]()
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Pas un problème ça, il suffit de bien les dimensionner, c'est un problème de RDM de base, étant donné que le budget est illimité.floyer a écrit :@dilettante, je pense que le problème évoqué est la tenue en charge... La tension des cordes étant élevée.
Sérieusement et fondamentalement je suis d'accord (!) avec toi.Patrice Scanavini a écrit :Ce que peu d'ingénieurs en mécanique, acoustique etc... ne comprennent pas et c'est bien normal car il ne pratiquent pas l'accord d'un piano,
c'est que l'accord d'un piano réussi, ne se limite pas à un ajustement de la fréquence de chaque note.
si c'était le cas ce serait somme toute un travail assez simple et un autre mécanisme d'ajustage de chaque corde se serait imposé de façon a accorder avec un tournevis et un réglage fin de façon a ce que l'utilisateur puisse ajuster ou rectifier l'accord lui-même.
Malheureusement ou heureusement cela dépend ou l'on se place, ce n'est toujours pas le cas car le geste de l'accordeur a un rôle supplémentaire visant a optimiser la cohérence du système corde-cheville-cadre etc... et cette optimisation pour chaque corde se fait à l'oreille. Lorsque cette cohérence est obtenue il s'en suit un confort auditif pour l'accordeur qui lui indique que la note projette la totalité de son spectre sonore.
Cette sensation est subtile, personnelle et difficilement mesurable.
Ensuite toute technologie électrique ajoutée à un instrument acoustique (silencer dampp chasser etc...) dénature le son produit acoustiquement par l'instrument.
Donc une usine a gaz avec micromoteurs palpeurs contacteurs etc... x 230 et plus ne peut que pourrir le son de l'instrument.
Un cheville plantée dans un sommier en bois est, en réalité un dispositif beaucoup moins archaïque et inerte qu'il n'y parait, car il est capable d'emmagasiner une énergie imposée par l'accordeur et de la restituer aux moments clés lors de la frappe du marteau sur la corde.
et on a encore rien trouvé de mieux
Cordialement
PS
Il n'y a selon moi aucune émotion à avoir pour accorder un piano. Il y faut une grande rigueur et une grande pratique d'abord et une bonne oreille musicienne ensuite. Dire que l'émotion entre en jeu ça serait inserer dans l'application de la technique des éléments d'ordre psychologiques qui ne peuvent que rendre obscurs et la procédure et le résultat.dilettante a écrit :...J'ai d'ailleurs répondu plus haut qu'un bon accord nécessite d'éprouver des émotions, ce qui n'est pas encore totalement modélisé.
Pas seulement détrompez-vousdilettante a écrit : En tous cas je pense que ce genre de service est réservé aux piano d'un certain niveau et pour un prix sans doute fort éloigné de mes 2 x 120 euros. Je vais quand même retenter puisque j'arrive bientôt au terme d'un an sans accord...
C'en est étonnant, sur un piano a queue ce type défaut s'entend comme le nez au milieu du visage !piano bien tempéré a écrit :Non seulement les marteaux tapent de travers mais le niveau de corde des triplets et doublets de corde est absolument inexistant ...
traduction ?piano bien tempéré a écrit :Non seulement les marteaux tapent de travers mais le niveau de corde des triplets et doublets de corde est absolument inexistant ...
Dans la réalité un défaut de frappé ne s'arrange jamais avec l'usure. 80 % des droits neufs ont des défauts de frappé importants dans les doubles basses et passage médiums.Olek a écrit :C'en est étonnant, sur un piano a queue ce type défaut s'entend comme le nez au milieu du visage !piano bien tempéré a écrit :Non seulement les marteaux tapent de travers mais le niveau de corde des triplets et doublets de corde est absolument inexistant ...
A vrai dire je pense qu'on compte sur l'écrasement des marteaux qui finit par réaliser une poréte des marteaux quel que soit la planéité des unisons.
Ceci étant les machines a etirer les cordes que j'ai vues en photo, appuient bien dans la zone de la frappe (en tout cas pour les octaves centrales) et génèrent onc une planéité en principe.
ceci est la pire situation qui est décrite ici et qui conduit a un son rachitique, imprécis et ferraillant avec une quasi impossibilité a poser un unisson parfaitdilettante a écrit :traduction ?piano bien tempéré a écrit :Non seulement les marteaux tapent de travers mais le niveau de corde des triplets et doublets de corde est absolument inexistant ...
Malheureusement le niveau de corde n'est véritablement réalisé que dans les très grandes marques ... Sur de nombreux p à Q et énormément de droits on est obligé de le reprendre à partir de marteaux éventuellement re-surfacés et réorientés convenablement ...Olek a écrit : C'en est étonnant, sur un piano a queue ce type défaut s'entend comme le nez au milieu du visage !
A vrai dire je pense qu'on compte sur l'écrasement des marteaux qui finit par réaliser une poréte des marteaux quel que soit la planéité des unisons.
Ceci étant les machines a etirer les cordes que j'ai vues en photo, appuient bien dans la zone de la frappe (en tout cas pour les octaves centrales) et génèrent onc une planéité en principe.
Je pense qu'au depart les changements de bombé de la table influencent plus cette partie que le reste. ajouter l'obligation de faire faucher les marteaux pour equilibrer la frappe et pour la place, les défauts s'accentuent toujours ans cette zone en effet, mais meme a partir d'une portée bien réalisée, le fauchage générant une usure plus forte d'un coté du marteau.Patrice Scanavini a écrit :Dans la réalité un défaut de frappé ne s'arrange jamais avec l'usure. 80 % des droits neufs ont des défauts de frappé importants dans les doubles basses et passage médiums.Olek a écrit :
C'en est étonnant, sur un piano a queue ce type défaut s'entend comme le nez au milieu du visage !
A vrai dire je pense qu'on compte sur l'écrasement des marteaux qui finit par réaliser une poréte des marteaux quel que soit la planéité des unisons.
Ceci étant les machines a etirer les cordes que j'ai vues en photo, appuient bien dans la zone de la frappe (en tout cas pour les octaves centrales) et génèrent onc une planéité en principe.
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PS
floyer a écrit :@dilettante, je pense que le problème évoqué est la tenue en charge... La tension des cordes étant élevée.
@picolo, la mesure d'une fréquence est un peu réducteur sachant que les logiciels à l'état de l'art mesurent les différentes harmoniques.... On est donc presque au traitement des fausses quartes/quintes que tu évoques, mais il me semble que la mesure des harmoniques ne soit utilisée que pour l'étirement des octaves due à l'inharmonicité.
Si j'ai bien compris, prise de son et ensuite analogique ou numérisation ? (je n'ai pas tout lu) et identification de fréquence par stroboscopie.How Do Mechanical Strobe Tuners Work?
In a true mechanical strobe tuner, a spinning disc with a strobe pattern is backlit by a bank of LEDs. These LEDs blink at a rate directly related to the audio frequency that is being input while the strobe disc centers on a speed relative to the note. As you get closer to tune, the speed at which the LEDs blink becomes better synchronized to the strobe disc's speed of rotation, ultimately producing a static stroboscopic image.