mais sinon, oui, c'est ce que dit Neuhauss d'ailleurs, sauf que plus d'un pianiste amateur dont bibi, s'est fait piéger par de telles citations

Quelques inventions de Bach (je viens de "terminer" la 1), quelques sinfonias, ou mieux encore le CBT, ça fait pareil aux doigts. Mais en en plus:Presto a écrit :J'ai encore pas lu le reste du fil, mais ça ne m'empêchera pas de donner mon avis :
Hanon c'est bon pour l'équilibre de la main, au moins les deux premières parties, ensuite je ne sais pas, mais ces deux premières parties m'ont pas mal aidé à réparer quelques erreurs...
C'est bon aussi pour le moral si on lit la préface![]()
C'est bon aussi pour les doigts parce que pour le commun, dissocier les doigts du reste, y passer 10-15 minutes par jour, amène à de singuliers progrès.
Ce n'est pas aussi facile que ça, parce que dissocier le travail des doigts de la main doit se travailler
Si je puis me permettre une remarque Presto, je ne suis pas certain que dissocier le travail des doigts soit une bonne piste de travail. Je pense que c'est exactement le contraire qu'il faut faire : on joue avec ses doigts, son poignet, son avant-bras, son bras, son épaule, son dos... Tout cela doit être connecté, et ne pas chercher à dissocier le travail des doigts du reste.Presto a écrit :...C'est bon aussi pour les doigts parce que pour le commun, dissocier les doigts du reste, y passer 10-15 minutes par jour, amène à de singuliers progrès.
Ce n'est pas aussi facile que ça, parce que dissocier le travail des doigts de la main doit se travailler
Désolé Sylvie, le sujet est tellement trollesque et réchauffé que je n'ai pas pu m'empêcher. A part ça je comprends très votre deuxième ligne.sylvie piano a écrit :Je sens une petite ironie JPS.... Justifiée certainement !
Je pense qu'on imagine très mal lorsqu'on n'est pas enseignant d'expérience, les différences de facilités digitales entre les êtres.... C'est juste " unbelievable " !!!
chris76 a écrit :. Je comprends aussi que les fainéants aient envie de s'en passer
J'en conviens ! Sujet inépuisable....JPS1827 a écrit :Désolé Sylvie, le sujet est tellement trollesque et réchauffé que je n'ai pas pu m'empêcher. A part ça je comprends très votre deuxième ligne.sylvie piano a écrit :Je sens une petite ironie JPS.... Justifiée certainement !
Je pense qu'on imagine très mal lorsqu'on n'est pas enseignant d'expérience, les différences de facilités digitales entre les êtres.... C'est juste " unbelievable " !!!
Personnellement je n'ai même pas le cahier des exercices de… , mais je ne dissuaderais personne d'en faire autant qu'il veut, et je ne conseillerais à personne d'en faire non plus
Dans le même genre, je ne pense pas que les exercices à la barre des danseurs classiques nuisent à leur grâce.Lee a écrit :Ce qui m'intéresse plutôt serait une mesure de musicalité entre ceux qui font régulièrement les exercices et ceux qui ne font pas. Je reste persuadée que cette séparation entre technique et la musique pourrait, pour certains, aller contre leur musicalité, surtout ceux qui ne communiquent pas assez d'expression dans leur musique. Vivent les bêtes de travail, mais pas pour le travail bête.
Alors reverrons l'essentiel de la musicalité, le chant. Y a-t-il des exercices qui fait travailler tel truc technique X ET le chant au même temps ?Okay a écrit : L'autre limite de l'idée de Lee, je crois soulignée par JPS il y a quelques temps, c'est qu'un manque de musique reflète souvent un manque de technique, et un manque de technique peut refléter un manque de musique. Je ne sais si j'ai la même idée, mais ça me semble très pertinent car :
- les idées musicales ne peuvent s'exprimer sans les moyens qui y sont nécessaires (on veut exprimer quelque chose de musical mais on ne sait pas comment le faire)
- certains pans de la technique peuvent être insuffisamment développés car le besoin musical correspondant ne se fait pas sentir (on ne cherche pas à développer certains moyens techniques puisqu'on ne ressent pas le besoin de restituer certaines choses)