Oui, ils sont manifestement moins joués (et plus récents). Celui de Prague (pourquoi ai-je mis un "q" à Prague, mon subconscient me jouerait des tours?) était un vieux clou, mais bien entretenu, curieusement. Je n'en ai pas retenu la marque (un nom à rallonge), qui a sûrement disparu depuis longtemps.Arabesque44 a écrit :Pendant que certains se cassent les reins et les oreilles sur les pianos des gares, ceux de la Jet Set s'offrent le luxe des pianos d'aéroport! ( A part la couleur, sont-ils meilleurs?)Midas a écrit :Testé pour vous hier: le piano dans un aéroport (Roissy).
Testé pour vous aujourd'hui: à l'aéroport de Praque,
Avez-vous déjà joué dans une gare ?
Re: Avez-vous déjà joué dans une gare ?
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Re: Avez-vous déjà joué dans une gare ?
Quelques instants de douceur pendant le plan Vigipirate :
https://www.youtube.com/watch?v=gv94YrVxrlQ
Michel
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Pianoter en gare...
Hello.
Je viens exceptionnellement de passer à Paris et j'ai trouvé le piano de la gare de Lyon.
Un droit que j'ai trouvé très agréable (Yamaha ?)
J'ai essayé de jouer The Entertainer que je connais par cœur.
Dur dur.
Le sac à dos ça va pas du tout, mais j'avais peur qu'il ne parte sans moi, alors je l'ai gardé.
Les doigts bien moites et la mémoire qui flanche...
J'ai quand même enchaîné entre deux plantages les 3 pages et toutes les reprises.
La pression des spectateurs c'est pas facile.
À un moment je commençais à être à l'aise, mais un spectateur à apprécié et il s'est mis à battre la mesure.
Raaah pression fois dix. Le trou de mémoire etc.
La fin a été un massacre je me suis forcé à jouer tout jusqu'au bout.
C'est un métier.
Finalement excellent moment. Faut juste bosser plus.
Mais je me suis cru pianiste de bar pendant un instant. Un vieux fantasme.
C'est quand même trop cool le piano.
Je viens exceptionnellement de passer à Paris et j'ai trouvé le piano de la gare de Lyon.
Un droit que j'ai trouvé très agréable (Yamaha ?)
J'ai essayé de jouer The Entertainer que je connais par cœur.
Dur dur.
Le sac à dos ça va pas du tout, mais j'avais peur qu'il ne parte sans moi, alors je l'ai gardé.
Les doigts bien moites et la mémoire qui flanche...
J'ai quand même enchaîné entre deux plantages les 3 pages et toutes les reprises.
La pression des spectateurs c'est pas facile.
À un moment je commençais à être à l'aise, mais un spectateur à apprécié et il s'est mis à battre la mesure.
Raaah pression fois dix. Le trou de mémoire etc.
La fin a été un massacre je me suis forcé à jouer tout jusqu'au bout.
C'est un métier.
Finalement excellent moment. Faut juste bosser plus.
Mais je me suis cru pianiste de bar pendant un instant. Un vieux fantasme.
C'est quand même trop cool le piano.

- Christof
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Re: Pianoter en gare...
N'hésite pas, à Paris (ou ailleurs) lorsque tu verras un piano dans un café. Rentre et demande si tu peux jouer. Au début, on cafouille un peu, mais si tu joues assez longtemps, tu verras que tu vas très vite être très à l'aise.dilettante a écrit :Mais je me suis cru pianiste de bar pendant un instant. Un vieux fantasme.
C'est quand même trop cool le piano.
NB : Il y a un beau piano à queue dans un café internet, juste à côté de chez Gibert (celui au coin de la rue des Ecoles), dans la toute petite rue qui va vers le musée du Moyen âge (elle est parallèle à la rue des écoles).
Re: Pianoter en gare...
C'est noté!Christof a écrit :N'hésite pas, à Paris (ou ailleurs) lorsque tu verras un piano dans un café. Rentre et demande si tu peux jouer. Au début, on cafouille un peu, mais si tu joues assez longtemps, tu verras que tu vas très vite être très à l'aise.dilettante a écrit :Mais je me suis cru pianiste de bar pendant un instant. Un vieux fantasme.
C'est quand même trop cool le piano.
NB : Il y a un beau piano à queue dans un café internet, juste à côté de chez Gibert (celui au coin de la rue des Ecoles), dans la toute petite rue qui va vers le musée du Moyen âge (elle est parallèle à la rue des écoles).
En plus, j'adore ce quartier où j'ai fait mes études. Je m'y balade souvent...
Je pense avoir saisi où se trouve ce café dont tu parles.
J'irai voir samedi am, ma prof de piano est dans le coin.

Bravo dilettante pour ton courage, j'ai été plusieurs fois au piano de la gare Saint-Lazare, sans oser.

Faut dire qu'il y a toujours quelques surdoués de l'impro, ou amateurs de ballades chopinesques pour m'angoisser un peu plus...


Modifié en dernier par Wandarnok le mar. 27 sept., 2016 21:06, modifié 2 fois.
Re: Pianoter en gare...
Ah, je cherchais ce genre de choses dans mes moments creux...merci Christof pour la piste, j'irai un jour, un numéro serait mieux si tu le retrouves un jour, je suis trop doué pour chercher un endroit et ne pas trouver...
Bravo pour ton début à Paris dilettante !
Bravo pour ton début à Paris dilettante !
Je passe les deux bandoulières du sac a dos à travers une jambe du tabouret, j'ai du mal à voir comment il part comme ça....pour la prochaine fois !dilettante a écrit :Le sac à dos ça va pas du tout, mais j'avais peur qu'il ne parte sans moi, alors je l'ai gardé.
“Wrong doesn't become right just because it's accepted by a majority.” - Booker Washington
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Re: Pianoter en gare...
A une époque, il y avait aussi un piano en libre accès (un peu comme dans les gares) à l'hôpital Saint-Antoine. Je ne sais s'il y est encore.
J'ai de beaux souvenirs là-bas. J'y allais visiter ma grande tante qui était dans le coma (cela a duré trois mois et elle ne s'est jamais réveillée). Je lui mettais un casque sur les oreilles et lui faisais écouter de la musique, des trucs que je jouais au piano. Et puis, avant de partir, cette envie folle d'oublier en m'asseyant devant le piano en libre accès. Jouer, jouer, jouer. Alors les malades qui étaient dans le coin et qui pouvaient circuler (certain(e)s avec leur petite charrette transportant les bouteilles de perfusion qu'ils ou elles avaient dans le bras, sont venu(e)s s'assoir. Alors j'ai joué pour eux, longtemps, et puis comme cela devait s'entendre dans les couloirs, certains malades du premier étage sont descendus au rez de chaussée. Un infirmier aussi, c'était l'heure de sa pause. Alors j'ai joué, j'ai joué... pendant plus d'une heure.
A la fin, ils m'ont demandé si je venais souvent... Oui, souvent le samedi et puis un soir en semaine. Alors ils s'étaient donnés le mot.
C'est bizarre parce que presque personne ne jouait sur ce piano, en tous cas, à chaque fois que je suis passé là, il était libre. Alors tous les samedis, j'ai joué. Et aussi un jour en semaine. C'était merveilleux de sentir le bien que cela leur faisait. Ils me remerciaient avec leurs beaux sourires. Un jour, un malade qui était arrivé la veille m'a dit (sachant par d'autres que je venais deux fois par semaine) : "ah, c'est dommage, je ne pourrai vous écouter la prochaine fois. Je sors dans deux jours".
Il pouvait m'arriver de jouer pour eux trois heures de suite. Cela leur faisait passer l'après-midi. Et moi, cela me faisait du bien.
J'ai de beaux souvenirs là-bas. J'y allais visiter ma grande tante qui était dans le coma (cela a duré trois mois et elle ne s'est jamais réveillée). Je lui mettais un casque sur les oreilles et lui faisais écouter de la musique, des trucs que je jouais au piano. Et puis, avant de partir, cette envie folle d'oublier en m'asseyant devant le piano en libre accès. Jouer, jouer, jouer. Alors les malades qui étaient dans le coin et qui pouvaient circuler (certain(e)s avec leur petite charrette transportant les bouteilles de perfusion qu'ils ou elles avaient dans le bras, sont venu(e)s s'assoir. Alors j'ai joué pour eux, longtemps, et puis comme cela devait s'entendre dans les couloirs, certains malades du premier étage sont descendus au rez de chaussée. Un infirmier aussi, c'était l'heure de sa pause. Alors j'ai joué, j'ai joué... pendant plus d'une heure.
A la fin, ils m'ont demandé si je venais souvent... Oui, souvent le samedi et puis un soir en semaine. Alors ils s'étaient donnés le mot.
C'est bizarre parce que presque personne ne jouait sur ce piano, en tous cas, à chaque fois que je suis passé là, il était libre. Alors tous les samedis, j'ai joué. Et aussi un jour en semaine. C'était merveilleux de sentir le bien que cela leur faisait. Ils me remerciaient avec leurs beaux sourires. Un jour, un malade qui était arrivé la veille m'a dit (sachant par d'autres que je venais deux fois par semaine) : "ah, c'est dommage, je ne pourrai vous écouter la prochaine fois. Je sors dans deux jours".
Il pouvait m'arriver de jouer pour eux trois heures de suite. Cela leur faisait passer l'après-midi. Et moi, cela me faisait du bien.
Re: Pianoter en gare...
Il doit s'agir du café de l'institut finlandais, accessible par la rue des écoles ou par la rue du sommerard.Christof a écrit :N'hésite pas, à Paris (ou ailleurs) lorsque tu verras un piano dans un café. Rentre et demande si tu peux jouer. Au début, on cafouille un peu, mais si tu joues assez longtemps, tu verras que tu vas très vite être très à l'aise.dilettante a écrit :Mais je me suis cru pianiste de bar pendant un instant. Un vieux fantasme.
C'est quand même trop cool le piano.
NB : Il y a un beau piano à queue dans un café internet, juste à côté de chez Gibert (celui au coin de la rue des Ecoles), dans la toute petite rue qui va vers le musée du Moyen âge (elle est parallèle à la rue des écoles).
Ils ont un piano Steinway and Sons, un demi queue je crois.
Si c'est le cas, le café et l'institut fermeront leurs portes très prochainement pour un réaménagement de l'intérieur.
Si vous voulez profiter du piano, c'est le moment ou jamais !
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Re: Pianoter en gare...
Ah, je trouve ça tellement fantastique que l'on commence à retrouver des pianos comme ça, à gauche et à droite!
Il y en a peu à Québec (j'en ai vu 3, à l'extérieur chaque fois, donc j'imagine qu'ils n'y sont qu'en période estivale; de toutes façons, qui aurait envie de jouer du piano par -20°C?
). Mais mon prof m'a dit quelques fois qu'un musicien doit se nourrir du public. Comme je prends des cours avec un étudiant, je n'ai aucun concert de fin d'année ou autre prestation de ce genre. Du coup, ces pianos sont ma seule occasion de jouer en public. Et c'est clair que lorsqu'il y a des gens qui semblent s'arrêter pour écouter, ouf la pression qui monte tout de suite!!! Et c'est justement pour cela que je trouve cela important de répéter l'expérience : pour s'habituer peu à peu à être écoutés.
Il y en a peu à Québec (j'en ai vu 3, à l'extérieur chaque fois, donc j'imagine qu'ils n'y sont qu'en période estivale; de toutes façons, qui aurait envie de jouer du piano par -20°C?

Mon parcours musical, du jour 1 (février 2016), avec ses hauts et ses bas. ;)
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Re: Pianoter en gare...
C'est marrant parce que, pour ma part, ça me met plus le trac de pianoter dans un lieu public que dans une église ou une salle de concert, j'ai l'impression de forcer des gens à m'écouter (ou à m'entendre) alors qu'ils ne sont pas là pour ça....du coup, je ne le fais jamais....je dois pas être normal...bravo dilletante d'avoir franchi le pas.
C'est sympa de parler mais jouons maintenant...
http://www.youtube.com/user/andante5133
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Re: Pianoter en gare...
C'est vrai que les gens ne sont pas là pour ça mais justement! Je sais pas pourquoi je trouve à chaque fois quelque chose de "rassurant" à voir et surtout entendre un piano dans une gare.. Celui qui a eu l'idée:
Pour info il y a un piano en gare TGV à Avignon, il y a trés souvent quelqu'un qui joue.. Bravo Dilettante d'avoir osé! et c'est vrai que c'est "trop cool le piano" !


Pour info il y a un piano en gare TGV à Avignon, il y a trés souvent quelqu'un qui joue.. Bravo Dilettante d'avoir osé! et c'est vrai que c'est "trop cool le piano" !

Les mp3 s'effaçent, les écrits restent.
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Re: Pianoter en gare...
Je suis comme toi. Je préfère mille fois jouer devant mes amis ou des PMistes (surtout quand ils sont aussi mes amisSpianissimo a écrit :C'est marrant parce que, pour ma part, ça me met plus le trac de pianoter dans un lieu public que dans une église ou une salle de concert, j'ai l'impression de forcer des gens à m'écouter (ou à m'entendre) alors qu'ils ne sont pas là pour ça....du coup, je ne le fais jamais....je dois pas être normal...bravo dilletante d'avoir franchi le pas.

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Re: Pianoter en gare...
Le coup du sac à dos coincé dans les pieds du siège, très bonne idée, je n'y ai pas du tout pensé.
Ce sera pour la prochaine fois.
(J'ai juste desserré les sangles, ça a amélioré mais c'est pas suffisant.)
J'ai un peu "truqué" mon arrivée. J’étais en conversation au téléphone, tout en parlant j'ai commencé à pianoter de la main droite, ensuite je me suis assis, puis j'ai rangé mon tél. Et j'ai commencé à faire connaissance avec l'instrument...
Le plus gros problème c'est les mains moites et les doigts "inconsistants" ; rien n'y fait hormis le travail intense et là j'étais pas assez prêt. J'ai pris conscience de la distance qui me sépare de la maîtrise réelle de ce morceau. La mémoire aussi demande beaucoup de répétition pour être fidèle sous la pression.
Le trac m'a paru relativement supportable du fait qu'il y avait beaucoup de bruit, d'agitation et qu'à Paris je suppose que ce genre d'intervention est ressenti comme étant banal.
Il y a aussi un piano dans ma Gare "d'origine" (Belfort Montbéliard TGV), mais c'est plus intimidant, le hall est moins grand et la foule restreinte.
C'est quand même sympa de ressentir la réaction du public (positive), ça me motive pour travailler plus.
Vivement la prochaine fois, et merci pour tous vos encouragements.
Ce sera pour la prochaine fois.
(J'ai juste desserré les sangles, ça a amélioré mais c'est pas suffisant.)
J'ai un peu "truqué" mon arrivée. J’étais en conversation au téléphone, tout en parlant j'ai commencé à pianoter de la main droite, ensuite je me suis assis, puis j'ai rangé mon tél. Et j'ai commencé à faire connaissance avec l'instrument...
Le plus gros problème c'est les mains moites et les doigts "inconsistants" ; rien n'y fait hormis le travail intense et là j'étais pas assez prêt. J'ai pris conscience de la distance qui me sépare de la maîtrise réelle de ce morceau. La mémoire aussi demande beaucoup de répétition pour être fidèle sous la pression.
Le trac m'a paru relativement supportable du fait qu'il y avait beaucoup de bruit, d'agitation et qu'à Paris je suppose que ce genre d'intervention est ressenti comme étant banal.
Il y a aussi un piano dans ma Gare "d'origine" (Belfort Montbéliard TGV), mais c'est plus intimidant, le hall est moins grand et la foule restreinte.
C'est quand même sympa de ressentir la réaction du public (positive), ça me motive pour travailler plus.
Vivement la prochaine fois, et merci pour tous vos encouragements.
Re: Pianoter en gare...
Spianissimo, tu joues maintenant pour autrui, c'est déjà une évolution si j'ai bien compris (ou me suis bien souvenu de) tes messages d'avant.
Jouer dans une eglise ou une salle de concert m'est aussi intimidant ! Plusieurs PMistes (moi aussi) ont "utilisé" ces pianos de gare ou grand public pour nous habituer à jouer pour autrui avant nos rencontres.
Mais je ne fais plus parce qu'il y a souvent des touches qui ne fonctionnent pas, la pédale cassé, quelqu'un qui ronfle à coté, un marchand qui vient me crier dessous même avant que je joue, etc...
Jouer dans une eglise ou une salle de concert m'est aussi intimidant ! Plusieurs PMistes (moi aussi) ont "utilisé" ces pianos de gare ou grand public pour nous habituer à jouer pour autrui avant nos rencontres.
Mais je ne fais plus parce qu'il y a souvent des touches qui ne fonctionnent pas, la pédale cassé, quelqu'un qui ronfle à coté, un marchand qui vient me crier dessous même avant que je joue, etc...
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Re: Pianoter en gare...
Oui, c'est bien là. C'est 31 rue du SommerardRMU a écrit :Il doit s'agir du café de l'institut finlandais, accessible par la rue des écoles ou par la rue du sommerard.
Ils ont un piano Steinway and Sons, un demi queue je crois.
Si c'est le cas, le café et l'institut fermeront leurs portes très prochainement pour un réaménagement de l'intérieur.
Si vous voulez profiter du piano, c'est le moment ou jamais !

Et oui, il faut se dépêcher : ils ferment dans un mois pour travaux, pendant 18 mois.
J'y suis allé faire un tour aujourd'hui pendant l'heure de déjeuner. En général, ils n'aiment pas trop qu'on joue quand il y a trop d'affluence (mais j'ai quand même pu jouer une heure). Le mieux c'est à partir de 16h30 (ils ferment à 18 h). Tél :01 40 51 89 09

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Re: Pianoter en gare...
Jouer pour ce genre de public me stresse infiniment moins aussi (enfin, j'ai une seule amie pour laquelle j'ai eu l'occasion de jouer, mais c'est ma groupie. Je ferais une tonne d'erreurs qu'elle dirait que ce n'est pas grave et trouverait le positif à ressortir de tout ça. Devant une telle personne, le stress est à peu près nul). Par contre, dans un vrai concert, oulà!jean-séb a écrit :Je suis comme toi. Je préfère mille fois jouer devant mes amis ou des PMistes (surtout quand ils sont aussi mes amisSpianissimo a écrit :C'est marrant parce que, pour ma part, ça me met plus le trac de pianoter dans un lieu public que dans une église ou une salle de concert, j'ai l'impression de forcer des gens à m'écouter (ou à m'entendre) alors qu'ils ne sont pas là pour ça....du coup, je ne le fais jamais....je dois pas être normal...bravo dilletante d'avoir franchi le pas.), malgré le trac, que dans un lieu public où j'ai l'impression de n'être pas à ma place, et certainement pas à mon aise.
Comme disait le commentaire précédent, les personnes sont là pour ça : justement! C'est ce qui rend la chose plus stressante. Alors qu'à la gare, si tu joues comme un pied, il passe son chemin, c'est tout. L'endroit est tellement bruyant qu'au mieux, tu améliores l'ambiance, au pire, tu ajoutes au bruit ambiant.

Mon parcours musical, du jour 1 (février 2016), avec ses hauts et ses bas. ;)
Re: Pianoter en gare...
Effectivement quand je joue comme un pied, mes amis ou les PMistes restent poliment écouter ! Tant pis pour eux ! 

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Re: Avez-vous déjà joué dans une gare ?
Et bien à Séoul c'est quand même autre chose qu'à Roissy/Orly les pianos ... dommage qu'il était sous housse. Et après on s'étonne que tant de coréens se positionnent si bien dans les concours, j'imagine qu'un Steinway à l'aéroport en bas de l'escalator, c'est quand même révélateur de l'investissement dans la formation musicale ici...