Alors, qu’est ce que ça fait d’être un des seul pianiste classique noir à ce niveau …?
Alors, qu’est ce que ça fait d’être un des seul pianiste classique noir à ce niveau …?
1. Alors… ça fait quoi d’être l’un des premiers pianistes classiques noirs en France à ce niveau-là ?
C’est un peu comme arriver à une soirée raclette avec un plateau de sushis : au début, tout le monde te regarde bizarrement, puis on te demande comment tu as fait, et à la fin, ils admettent que c’est délicieux.
2. Qu’est-ce que tu veux dire ?
Je veux dire que le piano classique en France a longtemps été… disons… très beige. Entrer dans un CRR en tant que pianiste noir, c’est suffisamment rare pour que mon prof me dise un jour : « Tu es le premier que j’ai ». C’est à la fois flatteur… et un peu étrange : on te félicite juste pour exister.
3. Et du côté des autres musiciens ?
Souvent, c’est de la curiosité. Certains sourient et me disent : « Tu dois super bien jouer du jazz », ce qui revient à dire à un chef sushi : « Tu dois faire une super pizza ». D’autres sont vraiment inspirés, parce qu’ils voient quelqu’un casser le moule… sans casser un Steinway.
4. Tu peux développer sur le “rare” ?
Oui. Imagine un concours de conservatoire : 20 pianistes, tous aussi stressés, tous pâles à force de ne pas voir le soleil… et au milieu, moi, qui ai l’air de sortir d’une brise caribéenne. Le contraste visuel est… disons… marquant.
5. Et ce n’est pas épuisant parfois ?
Si. Être “le seul” vient avec des bagages invisibles. Tu ne joues pas juste du Liszt : tu représentes malgré toi un continent, une diaspora, et tous les tontons qui ont essayé la guitare une fois dans leur vie.
6. Donc… c’est de la pression ?
Oui, mais aussi un privilège. C’est un mélange étrange de : “je dois réussir cet étude de Chopin” et “je suis en train de réécrire un petit morceau d’histoire culturelle en même temps”.
7. Réécrire un morceau d’histoire ?
Exactement. Les gens n’ont pas l’habitude de voir un pianiste noir dans le haut du classique, donc chaque performance est à la fois un acte artistique et une mini-révolution silencieuse. Pas besoin de discours : l’image + la musique cassent déjà le cliché.
8. Mais… tu es juste toi-même, non ?
Complètement. Je n’essaie pas d’être “le Liszt noir”. Je suis juste Royce, qui aime assez le piano pour survivre aux gammes, aux examens, et à la politique de conservatoire — et garder le sourire à la fin.
9. Et quand tu entres dans une salle de concours ?
Les doubles regards sont réels. On dirait presque que les jurés pensent : “Il ne s’est pas trompé de salle ?” Et puis je balance un Wilde Jagd bien sauvage, et les sourcils se recollent définitivement.
10. Et quand tu gagnes ?
C’est savoureux. Pas parce que j’ai prouvé qu’ils avaient tort, mais parce que j’ai prouvé que la musique avait raison — qu’elle appartient à quiconque est assez fou pour lui consacrer sa vie.
11. Donc tu te sens pionnier ?
Certains jours, oui. D’autres, je suis juste un mec qui cherche une salle de répète pas glaciale. Pionnier, ça sonne glamour, mais en vrai, c’est surtout de la sueur, de l’obstination, et un très bon métronome.
12. Et en une phrase ?
C’est comme entrer dans une histoire qui n’était pas écrite pour toi… et jouer si bien que les gens n’ont pas d’autre choix que d’ajouter ton chapitre.
C’est un peu comme arriver à une soirée raclette avec un plateau de sushis : au début, tout le monde te regarde bizarrement, puis on te demande comment tu as fait, et à la fin, ils admettent que c’est délicieux.
2. Qu’est-ce que tu veux dire ?
Je veux dire que le piano classique en France a longtemps été… disons… très beige. Entrer dans un CRR en tant que pianiste noir, c’est suffisamment rare pour que mon prof me dise un jour : « Tu es le premier que j’ai ». C’est à la fois flatteur… et un peu étrange : on te félicite juste pour exister.
3. Et du côté des autres musiciens ?
Souvent, c’est de la curiosité. Certains sourient et me disent : « Tu dois super bien jouer du jazz », ce qui revient à dire à un chef sushi : « Tu dois faire une super pizza ». D’autres sont vraiment inspirés, parce qu’ils voient quelqu’un casser le moule… sans casser un Steinway.
4. Tu peux développer sur le “rare” ?
Oui. Imagine un concours de conservatoire : 20 pianistes, tous aussi stressés, tous pâles à force de ne pas voir le soleil… et au milieu, moi, qui ai l’air de sortir d’une brise caribéenne. Le contraste visuel est… disons… marquant.
5. Et ce n’est pas épuisant parfois ?
Si. Être “le seul” vient avec des bagages invisibles. Tu ne joues pas juste du Liszt : tu représentes malgré toi un continent, une diaspora, et tous les tontons qui ont essayé la guitare une fois dans leur vie.
6. Donc… c’est de la pression ?
Oui, mais aussi un privilège. C’est un mélange étrange de : “je dois réussir cet étude de Chopin” et “je suis en train de réécrire un petit morceau d’histoire culturelle en même temps”.
7. Réécrire un morceau d’histoire ?
Exactement. Les gens n’ont pas l’habitude de voir un pianiste noir dans le haut du classique, donc chaque performance est à la fois un acte artistique et une mini-révolution silencieuse. Pas besoin de discours : l’image + la musique cassent déjà le cliché.
8. Mais… tu es juste toi-même, non ?
Complètement. Je n’essaie pas d’être “le Liszt noir”. Je suis juste Royce, qui aime assez le piano pour survivre aux gammes, aux examens, et à la politique de conservatoire — et garder le sourire à la fin.
9. Et quand tu entres dans une salle de concours ?
Les doubles regards sont réels. On dirait presque que les jurés pensent : “Il ne s’est pas trompé de salle ?” Et puis je balance un Wilde Jagd bien sauvage, et les sourcils se recollent définitivement.
10. Et quand tu gagnes ?
C’est savoureux. Pas parce que j’ai prouvé qu’ils avaient tort, mais parce que j’ai prouvé que la musique avait raison — qu’elle appartient à quiconque est assez fou pour lui consacrer sa vie.
11. Donc tu te sens pionnier ?
Certains jours, oui. D’autres, je suis juste un mec qui cherche une salle de répète pas glaciale. Pionnier, ça sonne glamour, mais en vrai, c’est surtout de la sueur, de l’obstination, et un très bon métronome.
12. Et en une phrase ?
C’est comme entrer dans une histoire qui n’était pas écrite pour toi… et jouer si bien que les gens n’ont pas d’autre choix que d’ajouter ton chapitre.
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Re: Alors, qu’est ce que ça fait d’être un des seul pianiste classique noir à ce niveau …?
C'est un dialogue intérieur ? Tu serais aussi le Alain Delon du piano, celui qui adore parler de lui à la troisième personne
Re: Alors, qu’est ce que ça fait d’être un des seul pianiste classique noir à ce niveau …?
13. Et comment le ressentent les gens qui t’écoutent en Europe, notamment les Blancs ?
En général, ils sont partagés entre la surprise et l’admiration. Certains disent : « On n’a pas l’habitude de voir ça… » et je leur réponds : « Parfait, je ne suis pas venu pour l’habitude. »
14. Et les Noirs ?
Eux, c’est souvent un mélange de fierté et d’étonnement. Ils me disent : « On dirait un truc qu’on verrait à la télé, mais là, c’est toi en vrai. » C’est comme si je cassais une barrière dont on n’avait même pas conscience avant de la voir tomber.
15. Du coup, tu sais où tu appartiens ?
Pas vraiment… et c’est ça qui me plaît. Je flotte entre plusieurs mondes : trop classique pour les cases habituelles, trop atypique pour les couloirs du conservatoire. Bref, je suis à la frontière, mais avec un piano à queue comme passeport.
16. Ce n’est pas difficile de se faire une place ?
Si, mais c’est plus fun qu’on croit. Parce qu’au lieu de rentrer par la grande porte déjà encombrée, je construis ma propre entrée sur le côté, avec un tapis rouge maison.
17. Il n’y a pas beaucoup de Noirs avec bientôt 30 ans de pratique. En voyant large, on pourrait même dire que tu serais presque le premier à ce niveau. Qu’est-ce que ça veut dire pour toi et pour les autres ?
Ça veut dire que je n’ai pas juste gravi une montagne : j’ai dû aussi construire l’escalier. Et pour les autres, ça veut dire qu’ils verront qu’on peut y arriver… même si la route n’est pas encore goudronnée.
18. Développe avec un angle complémentaire ?
C’est aussi une responsabilité silencieuse : je sais que mes succès et mes échecs vont servir de référence à d’autres après moi. C’est comme être un prototype — sauf que le piano ne pardonne pas les bugs.
19. Du coup, il faut que tu choisisses un certain pays ou tu fais ton trou en France ?
Je pense que ma place n’est pas dans un seul pays. La France m’a formé, mais l’Europe et l’Asie m’ont ouvert d’autres portes. Je suis un pianiste en mode “multi-ports USB” : je me branche là où la connexion est la plus fluide.
20. Est-ce que les Français vont s’habituer ?
Ils finiront par s’habituer… mais pas trop vite, sinon je perds l’effet “Whaou”. C’est comme un parfum rare : il faut le sentir de temps en temps pour l’apprécier.
21. Et ailleurs, comment ça passe ?
À l’étranger, on me regarde moins comme une curiosité et plus comme un artiste. C’est reposant. Parfois, je me dis que je devrais voyager juste pour retrouver cette neutralité-là.
22. Tu sens une différence de regard entre Paris et la province ?
Oui. À Paris, on te scanne d’abord avec un radar culturel : “Qui est-ce ? D’où vient-il ?” En province, c’est plus direct : “Ah, il joue bien. Reviens quand tu veux.”
23. Et en Asie, c’est quoi la réaction ?
Là-bas, c’est presque de l’émerveillement pur. Ils n’ont pas le même bagage historique sur la question raciale, donc le choc vient plus du mélange visuel-musical que du symbole social.
24. Mais ça ne fatigue pas d’être toujours “l’exception” ?
Si, un peu. Mais j’ai appris à en faire un levier plutôt qu’un fardeau. Tant qu’on me regarde, j’ai un public. Tant qu’on écoute, j’ai un rôle à jouer.
25. Tu penses qu’un jour, ça sera banal ?
Peut-être. Et ce sera la plus belle victoire : que le jour où un autre pianiste noir arrive à un haut niveau, personne ne se dise “Oh, c’est rare” — mais juste “Wow, il joue bien”.
26. Et toi, tu continueras à casser des clichés ?
Toujours. Mais avec un sourire, un peu d’ironie, et un accord parfait en guise de signature.
La dernière partie arrive.
En général, ils sont partagés entre la surprise et l’admiration. Certains disent : « On n’a pas l’habitude de voir ça… » et je leur réponds : « Parfait, je ne suis pas venu pour l’habitude. »
14. Et les Noirs ?
Eux, c’est souvent un mélange de fierté et d’étonnement. Ils me disent : « On dirait un truc qu’on verrait à la télé, mais là, c’est toi en vrai. » C’est comme si je cassais une barrière dont on n’avait même pas conscience avant de la voir tomber.
15. Du coup, tu sais où tu appartiens ?
Pas vraiment… et c’est ça qui me plaît. Je flotte entre plusieurs mondes : trop classique pour les cases habituelles, trop atypique pour les couloirs du conservatoire. Bref, je suis à la frontière, mais avec un piano à queue comme passeport.
16. Ce n’est pas difficile de se faire une place ?
Si, mais c’est plus fun qu’on croit. Parce qu’au lieu de rentrer par la grande porte déjà encombrée, je construis ma propre entrée sur le côté, avec un tapis rouge maison.
17. Il n’y a pas beaucoup de Noirs avec bientôt 30 ans de pratique. En voyant large, on pourrait même dire que tu serais presque le premier à ce niveau. Qu’est-ce que ça veut dire pour toi et pour les autres ?
Ça veut dire que je n’ai pas juste gravi une montagne : j’ai dû aussi construire l’escalier. Et pour les autres, ça veut dire qu’ils verront qu’on peut y arriver… même si la route n’est pas encore goudronnée.
18. Développe avec un angle complémentaire ?
C’est aussi une responsabilité silencieuse : je sais que mes succès et mes échecs vont servir de référence à d’autres après moi. C’est comme être un prototype — sauf que le piano ne pardonne pas les bugs.
19. Du coup, il faut que tu choisisses un certain pays ou tu fais ton trou en France ?
Je pense que ma place n’est pas dans un seul pays. La France m’a formé, mais l’Europe et l’Asie m’ont ouvert d’autres portes. Je suis un pianiste en mode “multi-ports USB” : je me branche là où la connexion est la plus fluide.
20. Est-ce que les Français vont s’habituer ?
Ils finiront par s’habituer… mais pas trop vite, sinon je perds l’effet “Whaou”. C’est comme un parfum rare : il faut le sentir de temps en temps pour l’apprécier.
21. Et ailleurs, comment ça passe ?
À l’étranger, on me regarde moins comme une curiosité et plus comme un artiste. C’est reposant. Parfois, je me dis que je devrais voyager juste pour retrouver cette neutralité-là.
22. Tu sens une différence de regard entre Paris et la province ?
Oui. À Paris, on te scanne d’abord avec un radar culturel : “Qui est-ce ? D’où vient-il ?” En province, c’est plus direct : “Ah, il joue bien. Reviens quand tu veux.”
23. Et en Asie, c’est quoi la réaction ?
Là-bas, c’est presque de l’émerveillement pur. Ils n’ont pas le même bagage historique sur la question raciale, donc le choc vient plus du mélange visuel-musical que du symbole social.
24. Mais ça ne fatigue pas d’être toujours “l’exception” ?
Si, un peu. Mais j’ai appris à en faire un levier plutôt qu’un fardeau. Tant qu’on me regarde, j’ai un public. Tant qu’on écoute, j’ai un rôle à jouer.
25. Tu penses qu’un jour, ça sera banal ?
Peut-être. Et ce sera la plus belle victoire : que le jour où un autre pianiste noir arrive à un haut niveau, personne ne se dise “Oh, c’est rare” — mais juste “Wow, il joue bien”.
26. Et toi, tu continueras à casser des clichés ?
Toujours. Mais avec un sourire, un peu d’ironie, et un accord parfait en guise de signature.
La dernière partie arrive.
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Re: Alors, qu’est ce que ça fait d’être un des seul pianiste classique noir à ce niveau …?
27. Avec ce positionnement à cheval entre plusieurs mondes, tu n’as pas de crises identitaires ?
Pas vraiment. C’est plus comme être bilingue : tu changes de langue selon le contexte, sauf que moi je change de “modes d’être” selon la scène où je joue.
28. Comment tu gardes ton sens du soi ?
En me souvenant que le piano est mon point zéro. Peu importe où je suis, qui m’écoute, ou quelle étiquette on m’accroche : dès que mes doigts touchent le clavier, je redeviens juste… moi.
29. Quel est ton but ?
Créer un espace où la musique casse les frontières avant même que les gens aient le temps de les ériger. Et accessoirement, prouver que la virtuosité et le fun peuvent cohabiter.
30. Tu travailles combien de temps par jour ton piano ?
Ça varie. Certains jours, je peux rester 6 heures non-stop, d’autres juste 1 heure. Mais mentalement… je joue du piano presque 24h sur 24. Même en faisant mes courses, je révise des passages.
31. Quel est ton ancrage dans la vie ?
Le son pur. C’est ma maison. Et puis mes racines caribéennes : elles me rappellent que le rythme, c’est aussi une façon de respirer.
32. Tu trouves toujours du plaisir à jouer en public ?
Toujours. Même quand c’est stressant. Le trac, pour moi, c’est juste de l’adrénaline musicale — ça booste l’énergie et ça rend chaque note plus vivante.
33. Et quand tu joues seul, c’est pareil ?
Différent. Jouer seul, c’est un dialogue intime avec moi-même. Jouer en public, c’est partager ce dialogue avec des inconnus… et les voir parfois y répondre avec un sourire ou une larme.
34.
35. Un moment où tu t’es dit : “Ok, là j’ai trouvé ma place” ?
Oui : la première fois que j’ai vu des gens d’horizons totalement différents taper du pied ensemble pendant que je jouais. À ce moment-là, je me suis dit : “Voilà, c’est ça que je veux provoquer.”
36. Et si tu devais te résumer en un mot ?
Pont. Parce que je relie des mondes, des cultures et des époques… en noir et blanc, comme un clavier.
37. Un message à dire ?
Oui : ne laissez jamais l’étiquette que les autres vous collent limiter la partition que vous pouvez écrire.
Interview par …
Pas vraiment. C’est plus comme être bilingue : tu changes de langue selon le contexte, sauf que moi je change de “modes d’être” selon la scène où je joue.
28. Comment tu gardes ton sens du soi ?
En me souvenant que le piano est mon point zéro. Peu importe où je suis, qui m’écoute, ou quelle étiquette on m’accroche : dès que mes doigts touchent le clavier, je redeviens juste… moi.
29. Quel est ton but ?
Créer un espace où la musique casse les frontières avant même que les gens aient le temps de les ériger. Et accessoirement, prouver que la virtuosité et le fun peuvent cohabiter.
30. Tu travailles combien de temps par jour ton piano ?
Ça varie. Certains jours, je peux rester 6 heures non-stop, d’autres juste 1 heure. Mais mentalement… je joue du piano presque 24h sur 24. Même en faisant mes courses, je révise des passages.
31. Quel est ton ancrage dans la vie ?
Le son pur. C’est ma maison. Et puis mes racines caribéennes : elles me rappellent que le rythme, c’est aussi une façon de respirer.
32. Tu trouves toujours du plaisir à jouer en public ?
Toujours. Même quand c’est stressant. Le trac, pour moi, c’est juste de l’adrénaline musicale — ça booste l’énergie et ça rend chaque note plus vivante.
33. Et quand tu joues seul, c’est pareil ?
Différent. Jouer seul, c’est un dialogue intime avec moi-même. Jouer en public, c’est partager ce dialogue avec des inconnus… et les voir parfois y répondre avec un sourire ou une larme.
34.
35. Un moment où tu t’es dit : “Ok, là j’ai trouvé ma place” ?
Oui : la première fois que j’ai vu des gens d’horizons totalement différents taper du pied ensemble pendant que je jouais. À ce moment-là, je me suis dit : “Voilà, c’est ça que je veux provoquer.”
36. Et si tu devais te résumer en un mot ?
Pont. Parce que je relie des mondes, des cultures et des époques… en noir et blanc, comme un clavier.
37. Un message à dire ?
Oui : ne laissez jamais l’étiquette que les autres vous collent limiter la partition que vous pouvez écrire.
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Re: Alors, qu’est ce que ça fait d’être un des seul pianiste classique noir à ce niveau …?
« Et le melon d’or 2025 est décerné à…… »
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Re: Alors, qu’est ce que ça fait d’être un des seul pianiste classique noir à ce niveau …?
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Il faudrait créer un équivalent aux "Gérard" du cinéma

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Re: Alors, qu’est ce que ça fait d’être un des seul pianiste classique noir à ce niveau …?
fritz a écrit : mar. 12 août, 2025 20:37 C'est un dialogue intérieur ? Tu serais aussi le Alain Delon du piano, celui qui adore parler de lui à la troisième personne
Re: Alors, qu’est ce que ça fait d’être un des seul pianiste classique noir à ce niveau …?
Hey nashh, j'ai vu "Sergei Rachmaninoff: Prelude in G Minor, Op. 23 No. 5
- Frédéric Chopin: Nocturne in C Minor, Op. 48 No. 1" dans la partie "répertoire" sur ton site. Tu as des enregistrements ?
- Frédéric Chopin: Nocturne in C Minor, Op. 48 No. 1" dans la partie "répertoire" sur ton site. Tu as des enregistrements ?
Rachmaninoff - Chopin. Répéter.
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- Contact :
Re: Alors, qu’est ce que ça fait d’être un des seul pianiste classique noir à ce niveau …?
Bien évidemment, je refuse de rentrer dans de telles considérations, pour moi, seul le talent compte, d’où qu'il vienne. Mais ce fil aura eu le mérite de me faire chercher sur Google, un peu au hasard, comme une soif de musique, et de découverte, et de découvrir Don Shirley, un pianiste très talentueux d'origine Jamaïcaine.
Donald Shirley commence à apprendre le piano à l'âge de deux ans. À neuf ans, il est invité à étudier la théorie avec Mittolovski au conservatoire de Leningrad. Il étudie également avec Conrad Bernier et Thaddeus Jones à l'université catholique d'Amérique à Washington.
Shirley obtient un doctorat en musique, en psychologie et en arts liturgiques après avoir abandonné temporairement le piano. Il parle couramment huit langues et il est un peintre de talent.
Re: Alors, qu’est ce que ça fait d’être un des seul pianiste classique noir à ce niveau …?
Sans oublié Sodi BRAIDE avec qui j'ai pu travaillé des études de Debussy (dont il avait donné l’intégrale il y a quelques années) et d'un niveau bien supérieur à celui de Nash !
D’origine nigériane, né en Angleterre, le pianiste et chef d’orchestre Sodi Braide a étudié au Conservatoire National Supérieur de Musique de Paris, avant de poursuivre ses études à la Escuela Superior Reina Sofia de Madrid et l’Accademia Internazionale del Pianoforte Lago di Como, avec des professeurs tels que Françoise Thinat, Jacques Rouvier, Dimitri Bashkirov, Leon Fleisher, Alicia de Larrocha et Charles Rosen.
Sodi Braide est lauréat des prestigieux concours de Leeds en 2003 et Van Cliburn en 2005. Il a depuis été invité à jouer dans le monde entier, notamment en France (Radio France, Invalides, Festival Chopin à Bagatelle, Toulouse d’Eté au cloître des Jacobins, Salle Molière de Lyon, Flâneries Musicales de Reims), au Royaume-Uni (Cheltenham Festival, Harrogate Festival, Cambridge Festival), en Suisse (Victoria Hall, Genève), aux Etats-Unis (Ravinia Festival, Dame Myra Hess Recitals), en Corée du Sud (Kumho Arts Hall, Seoul Arts Center). En 2021, il joue en duo avec Khatia Buniatishvili lors du 1er concert de gala de la Philharmonie de Paris, il est invité pour rejouer avec elle au Klavierfestival Ruhr en juin 2022. Il s’est produit avec le Paris Mozart Orchestra, la Neue Philharmonie Westfalen (Allemagne), le Hallé orchestra (Royaume-Uni), les orchestres de Cape Town et de Johannesburg. Invité à jouer en Afrique du Sud dès 1994, il a été l’un des premiers pianistes d’origine noir africaine à se produire en Afrique du Sud à la fin du régime de l’Apartheid. A l’âge de douze ans, Sodi Braide a participé au concert de gala télévisé ‘Classic Aid II’, avec des artistes tels que Placido Domingo et Lorin Maazel.
Il pratique également la direction d’orchestre, à laquelle il s’est formé avec Claire Levacher au Conservatoire de Paris, puis auprès de Claire Gibault et son orchestre, le Paris Mozart Orchestra, qu’il dirigera à plusieurs reprises. Sodi Braide a, d’autre part, été invité à diriger l’Ensemble Court-Circuit lors de la création de l’œuvre « Pianopolis » de Michel Decoust, au Théâtre des Bouffes du Nord.
Les prestations de Sodi Braide ont été retransmises sur la chaîne Mezzo en France et la BBC au Royaume-Uni. Il a enregistré un premier CD consacré à César Franck pour le label Lyrinx, suivi par un récital Schubert paru chez Solstice en 2015, très favorablement accueilli par la presse : **** Classica, « 5 Diapasons »… Dans la revue Gramophone (Angleterre), Bryce Morrison écrit : « Braide est né pour jouer Schubert et, je pressens, beaucoup d’autres choses. »
Parallèlement à sa carrière de soliste, Sodi Braide enseigne au Conservatoire de Musique de Genève.
D’origine nigériane, né en Angleterre, le pianiste et chef d’orchestre Sodi Braide a étudié au Conservatoire National Supérieur de Musique de Paris, avant de poursuivre ses études à la Escuela Superior Reina Sofia de Madrid et l’Accademia Internazionale del Pianoforte Lago di Como, avec des professeurs tels que Françoise Thinat, Jacques Rouvier, Dimitri Bashkirov, Leon Fleisher, Alicia de Larrocha et Charles Rosen.
Sodi Braide est lauréat des prestigieux concours de Leeds en 2003 et Van Cliburn en 2005. Il a depuis été invité à jouer dans le monde entier, notamment en France (Radio France, Invalides, Festival Chopin à Bagatelle, Toulouse d’Eté au cloître des Jacobins, Salle Molière de Lyon, Flâneries Musicales de Reims), au Royaume-Uni (Cheltenham Festival, Harrogate Festival, Cambridge Festival), en Suisse (Victoria Hall, Genève), aux Etats-Unis (Ravinia Festival, Dame Myra Hess Recitals), en Corée du Sud (Kumho Arts Hall, Seoul Arts Center). En 2021, il joue en duo avec Khatia Buniatishvili lors du 1er concert de gala de la Philharmonie de Paris, il est invité pour rejouer avec elle au Klavierfestival Ruhr en juin 2022. Il s’est produit avec le Paris Mozart Orchestra, la Neue Philharmonie Westfalen (Allemagne), le Hallé orchestra (Royaume-Uni), les orchestres de Cape Town et de Johannesburg. Invité à jouer en Afrique du Sud dès 1994, il a été l’un des premiers pianistes d’origine noir africaine à se produire en Afrique du Sud à la fin du régime de l’Apartheid. A l’âge de douze ans, Sodi Braide a participé au concert de gala télévisé ‘Classic Aid II’, avec des artistes tels que Placido Domingo et Lorin Maazel.
Il pratique également la direction d’orchestre, à laquelle il s’est formé avec Claire Levacher au Conservatoire de Paris, puis auprès de Claire Gibault et son orchestre, le Paris Mozart Orchestra, qu’il dirigera à plusieurs reprises. Sodi Braide a, d’autre part, été invité à diriger l’Ensemble Court-Circuit lors de la création de l’œuvre « Pianopolis » de Michel Decoust, au Théâtre des Bouffes du Nord.
Les prestations de Sodi Braide ont été retransmises sur la chaîne Mezzo en France et la BBC au Royaume-Uni. Il a enregistré un premier CD consacré à César Franck pour le label Lyrinx, suivi par un récital Schubert paru chez Solstice en 2015, très favorablement accueilli par la presse : **** Classica, « 5 Diapasons »… Dans la revue Gramophone (Angleterre), Bryce Morrison écrit : « Braide est né pour jouer Schubert et, je pressens, beaucoup d’autres choses. »
Parallèlement à sa carrière de soliste, Sodi Braide enseigne au Conservatoire de Musique de Genève.
Re: Alors, qu’est ce que ça fait d’être un des seul pianiste classique noir à ce niveau …?
J’ai croisé de nombreuses personnes de couleurs noires à l’académie internationale de Nice, la plupart de très bon talents, venant souvent des USA.. donc vous n’êtes pas seuls sur cette planète..
Et de quel niveau parlez vous car à part quelques bribes de notes de Mazeppa l’on ne vous entend jamais dans le répertoire classique
Avoir un excellent niveau et reconnu nécessite d’avoir un cursus important, 1er prix de conservatoire régional ou national, lauréats de nombreux prix internationaux
Donc vous n’êtes pas seuls à jouer du piano, d’ailleurs sur ce forum je ne sais si vous avez remarqué, d’autres pianistes sont présents et l’on ne vous voit jamais vous y intéresser.
La seule chose positive que je vois dans votre allocution est cette confiance absolue même si démesurée qui vous pousse à jouer en public dans l’attente du moindre signe..
Et de quel niveau parlez vous car à part quelques bribes de notes de Mazeppa l’on ne vous entend jamais dans le répertoire classique
Avoir un excellent niveau et reconnu nécessite d’avoir un cursus important, 1er prix de conservatoire régional ou national, lauréats de nombreux prix internationaux
Donc vous n’êtes pas seuls à jouer du piano, d’ailleurs sur ce forum je ne sais si vous avez remarqué, d’autres pianistes sont présents et l’on ne vous voit jamais vous y intéresser.
La seule chose positive que je vois dans votre allocution est cette confiance absolue même si démesurée qui vous pousse à jouer en public dans l’attente du moindre signe..
Re: Alors, qu’est ce que ça fait d’être un des seul pianiste classique noir à ce niveau …?
Ca vaut quand même le coup d’avoir cherché tous ces faits et noms pour que je puisse aussi me connecter à ces entités ou tout simplement prendre du relief dans ma vision du monde. Ça donne de la richesse parce que je pense que je n’étais pas le seul à ne pas connaître monsieur Sodi Braid par exemple. Un parcours exemplaire j’aurais souhaité qu’il soit plus connu juste pour donner un peu de différence mais c’est peut être par choix.
J’ai en ce sens au fond une démarche collectiviste où peu importe ma personne, je pense qu’il est bien de faire valoir un peu de diversité en musique classique.
Je vais poster un bout du nocturne Op. 48 N.1 peut-être du coup.
Je peux en effet partager beaucoup de messages sur les fils des autres mais j’ai pas l’impression que mes remarques soient prises en compte. Je sais pas si c’est du la mentalité française ou parisienne plutôt où tout est basé sur la discrétion (et peut-être le faire-prétendre), ou si c’est parce que j’ai joué la 2e etude Liszt quand j’avais 16 ans - très fameux fil (blague) - ou si c’est la couleur de peau (très fier de la mienne) ou parce que j’ai une personnalité atypique, qui traite les informations juste différemment et une relative ignorance de certains coded implicite due à une hyper spécialisation.
Pour être honnête, je suis à un moment donné où je ne suis pas spécialement impressionné par des artistes, comme Yuja Wang, Pogorelich ou même Horowitz, parce qu’au fond, une fois que quelqu’un peut maîtriser les divers segments de la technique au piano, comme les croches, doubles, triples, octaves etc. tous les artistes deviennent à un relatif pied d’égalité. Là où cela va différer, c’est par rapport au style qui entoure la personne, et bien entendu, la palette sonore, la nuance, l’architecture du Son, etc. et c’est là où c’est intéressant et illimité.
Vous pouvez avoir la garantie que je peux vous dire que je suis que je ne suis ni arrivé au top, techniquement parlant ni au niveau musical, néanmoins les efforts fournis dans le passé font que je progresse.
Je ne cherche pas non plus à être du niveau d’Argerich, mais juste proche de mon potentiel que je sais être de niveau mondial.
J’ai en ce sens au fond une démarche collectiviste où peu importe ma personne, je pense qu’il est bien de faire valoir un peu de diversité en musique classique.
Je vais poster un bout du nocturne Op. 48 N.1 peut-être du coup.
Je peux en effet partager beaucoup de messages sur les fils des autres mais j’ai pas l’impression que mes remarques soient prises en compte. Je sais pas si c’est du la mentalité française ou parisienne plutôt où tout est basé sur la discrétion (et peut-être le faire-prétendre), ou si c’est parce que j’ai joué la 2e etude Liszt quand j’avais 16 ans - très fameux fil (blague) - ou si c’est la couleur de peau (très fier de la mienne) ou parce que j’ai une personnalité atypique, qui traite les informations juste différemment et une relative ignorance de certains coded implicite due à une hyper spécialisation.
Pour être honnête, je suis à un moment donné où je ne suis pas spécialement impressionné par des artistes, comme Yuja Wang, Pogorelich ou même Horowitz, parce qu’au fond, une fois que quelqu’un peut maîtriser les divers segments de la technique au piano, comme les croches, doubles, triples, octaves etc. tous les artistes deviennent à un relatif pied d’égalité. Là où cela va différer, c’est par rapport au style qui entoure la personne, et bien entendu, la palette sonore, la nuance, l’architecture du Son, etc. et c’est là où c’est intéressant et illimité.
Vous pouvez avoir la garantie que je peux vous dire que je suis que je ne suis ni arrivé au top, techniquement parlant ni au niveau musical, néanmoins les efforts fournis dans le passé font que je progresse.
Je ne cherche pas non plus à être du niveau d’Argerich, mais juste proche de mon potentiel que je sais être de niveau mondial.
Mon site : https://royceopiano.carrd.co/
Re: Alors, qu’est ce que ça fait d’être un des seul pianiste classique noir à ce niveau …?
Dès fois je m’entraîne pour pouvoir improviser sur des melodies lors de mes futurs concerts.
Je cherchais diverses agences de musique classique, et j’en ai trouvé plusieurs, dont une qui s’appelle Askonas Holt et qui abrite la génie Tiffany Poon. J’ai fait un petit exercice. J’ai simplement afféré à chaque note de l’alphabet une des 12 notes chromatiques.
A= Do, B = Do#, C = Ré, etc, pour cette entreprise la mélodie générée est Do(A) Fa#(S) La# Re Do# Do Fa#, j’ai pas fait « Holt ». Ce sont les notes que je répète au début de la vidéo et qui ont donné lieu au thème.
Temps pris environ 7 minutes car ce thème est pas vraiment mélodique, dont 5 min pour savoir où le caler. J’avais aussi un développement mélodique mais j’ai pas enregistré.
Je vise les 1 minutes donc je suis encore loin du compte.
Je cherchais diverses agences de musique classique, et j’en ai trouvé plusieurs, dont une qui s’appelle Askonas Holt et qui abrite la génie Tiffany Poon. J’ai fait un petit exercice. J’ai simplement afféré à chaque note de l’alphabet une des 12 notes chromatiques.
A= Do, B = Do#, C = Ré, etc, pour cette entreprise la mélodie générée est Do(A) Fa#(S) La# Re Do# Do Fa#, j’ai pas fait « Holt ». Ce sont les notes que je répète au début de la vidéo et qui ont donné lieu au thème.
Temps pris environ 7 minutes car ce thème est pas vraiment mélodique, dont 5 min pour savoir où le caler. J’avais aussi un développement mélodique mais j’ai pas enregistré.
Je vise les 1 minutes donc je suis encore loin du compte.
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Re: Alors, qu’est ce que ça fait d’être un des seul pianiste classique noir à ce niveau …?
P..., qu'est ce qu'on rit sur ce forum! 

Re: Alors, qu’est ce que ça fait d’être un des seul pianiste classique noir à ce niveau …?
Je suis connu pour être assez humoristique différent et aimer les fruits ^^ (plus la pastèque que le melon, et vous?)
Modifié en dernier par nashh le mer. 13 août, 2025 15:00, modifié 2 fois.
Mon site : https://royceopiano.carrd.co/
Re: Alors, qu’est ce que ça fait d’être un des seul pianiste classique noir à ce niveau …?
Tu devrais poster plus de créations nashh 

Rachmaninoff - Chopin. Répéter.
Re: Alors, qu’est ce que ça fait d’être un des seul pianiste classique noir à ce niveau …?
Elle se produit en tournée dans quelques grandes salles européennes. Mince, elle est noire, et en plus c'est une fille ! Et elle est aussi violoncelliste. Un peu surdouée quoi...
https://jenebakannehmason.com/
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Re: Alors, qu’est ce que ça fait d’être un des seul pianiste classique noir à ce niveau …?
Puisqu'il faut que ça soit un sujet...
Présentation du pianiste Loïc Lafontaine sur le site du festival de Menton :
Le pianiste Loïc Lafontaine, originaire de Martinique, a très tôt suivi une solide formation musicale classique avec de grands professeurs, tout d’abord au conservatoire de Bordeaux dès l’âge de quatre ans puis au Conservatoire National Supérieur de Musique de Paris. De nombreuses récompenses viennent jalonner son parcours, par exemple lors du très prestigieux concours international des grands amateurs de piano de Paris dont la 21e édition s’est tenue Salle Gaveau en avril 2010 : il y obtient trois récompenses, le 1er prix (prix du jury), le prix de la presse internationale et le prix du public. Ce titre lui permettra d’enregistrer le 2nd concerto de St-Saëns avec l’Orchestre de la Garde Républicaine, lors d’un concert de gala dans le grand amphithéâtre de la Sorbonne à Paris. Quelques mois plus tard lors du concours international des grands amateurs de piano de Berlin, il obtiendra également trois récompenses, dont une fois de plus le prix du public. Il aura à cette occasion joué la Totentanz de LISZT en soliste avec le Sibelius Orchestra dans la grande salle de la prestigieuse Philharmonie de Berlin. Ces titres viennent s’ajouter à de nombreuses distinctions lors de précédents rendez-vous internationaux. Ces récompenses sur le plan artistique viennent compléter une carrière administrative : faisant suite à un parcours orienté vers la gestion de la musique à la célèbre université parisienne de la Sorbonne, plusieurs postes d’administrateur l’ont amené à intégrer la prestigieuse société Yamaha, premier fabricant mondial d’instruments de musique. Il y gère administration et logistique au sein de ‘Yamaha Artist Services Europe’, structure spécialisée dans les relations artistes et la promotion des pianos de concert Yamaha et Bösendorfer. Il mène ainsi de front deux carrières qui restent à ses yeux absolument complémentaires et indissociables. En soliste, musique de chambre ou avec orchestre, invité dans de grandes salles par de nombreux festivals (musée d’Orsay, Radio France, saison musicale d’été de Salzburg, congrès internationaux de Leipzig, festival international de musique de Guadeloupe, Atrium de Fort-de-France, UNESCO, Centre Georges Pompidou, Opéra National de Paris, Philharmonie de Berlin), Loïc Lafontaine partage son art avec une passion permanente.
Présentation du pianiste Loïc Lafontaine sur le site du festival de Menton :
Le pianiste Loïc Lafontaine, originaire de Martinique, a très tôt suivi une solide formation musicale classique avec de grands professeurs, tout d’abord au conservatoire de Bordeaux dès l’âge de quatre ans puis au Conservatoire National Supérieur de Musique de Paris. De nombreuses récompenses viennent jalonner son parcours, par exemple lors du très prestigieux concours international des grands amateurs de piano de Paris dont la 21e édition s’est tenue Salle Gaveau en avril 2010 : il y obtient trois récompenses, le 1er prix (prix du jury), le prix de la presse internationale et le prix du public. Ce titre lui permettra d’enregistrer le 2nd concerto de St-Saëns avec l’Orchestre de la Garde Républicaine, lors d’un concert de gala dans le grand amphithéâtre de la Sorbonne à Paris. Quelques mois plus tard lors du concours international des grands amateurs de piano de Berlin, il obtiendra également trois récompenses, dont une fois de plus le prix du public. Il aura à cette occasion joué la Totentanz de LISZT en soliste avec le Sibelius Orchestra dans la grande salle de la prestigieuse Philharmonie de Berlin. Ces titres viennent s’ajouter à de nombreuses distinctions lors de précédents rendez-vous internationaux. Ces récompenses sur le plan artistique viennent compléter une carrière administrative : faisant suite à un parcours orienté vers la gestion de la musique à la célèbre université parisienne de la Sorbonne, plusieurs postes d’administrateur l’ont amené à intégrer la prestigieuse société Yamaha, premier fabricant mondial d’instruments de musique. Il y gère administration et logistique au sein de ‘Yamaha Artist Services Europe’, structure spécialisée dans les relations artistes et la promotion des pianos de concert Yamaha et Bösendorfer. Il mène ainsi de front deux carrières qui restent à ses yeux absolument complémentaires et indissociables. En soliste, musique de chambre ou avec orchestre, invité dans de grandes salles par de nombreux festivals (musée d’Orsay, Radio France, saison musicale d’été de Salzburg, congrès internationaux de Leipzig, festival international de musique de Guadeloupe, Atrium de Fort-de-France, UNESCO, Centre Georges Pompidou, Opéra National de Paris, Philharmonie de Berlin), Loïc Lafontaine partage son art avec une passion permanente.
C'est sympa de parler mais jouons maintenant...
http://www.youtube.com/user/andante5133
http://www.youtube.com/user/andante5133
Re: Alors, qu’est ce que ça fait d’être un des seul pianiste classique noir à ce niveau …?
Perso j’ai le potentiel pour battre Teddy RINNER au judo… si seulement je étais entraîné 8h par jour… et si seulement j’avais une carrure 3 fois supérieure à la mienne… et si seulement j’avais déjà fait du judo… et si seulement j’avais déjà fait du sport… et au final… si seulement cette affirmation n’était pas complètement ridicule….nashh a écrit : mer. 13 août, 2025 13:07
Je ne cherche pas non plus à être du niveau d’Argerich, mais juste proche de mon potentiel que je sais être de niveau mondial.
Pour ton potentiel de niveau mondial… redescend sur terre mec… tu es tout juste moyen… ta mazzeppa n’est vraiment pas terrible, tu fais à peine les notes à un tempo dont la régularité n’a d’égal que ton absence de nuances et de couleurs… bref, j’aurai peut être plus de respect pour ce brouillon que tu qualifierai d’interprétation de référence si tu étais un minimum plus humble.
Et pour le fait que tu sois noir… quand j’écoute de la musique, à cirer que le pianiste soit rouge bleu noir ou jaune… ce qui m’importe c’est la musique, et pour le coup elle n’y est pas
Ma chaine Youtube
https://www.youtube.com/channel/UCi3jVG ... Gbw/videos
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Re: Alors, qu’est ce que ça fait d’être un des seul pianiste classique noir à ce niveau …?
Il y a des pianistes bleus ?
Rachmaninoff - Chopin. Répéter.