Re: [Fil Christof] : Une impro et Infant eyes

[Christof]

C'était vraiment une chouette époque

Oui c'est vrai mais parce quelqu'on a oublié certains aspects peut-être moins jojo aussi

Lesquels par exemple ?

[axolotl]

Oh un certain dogmatisme voire un dogmatisme certain dans la pensée politique par exemple
Les frontières en matière de politique étaient pas aussi poreuses que maintenant: il fallait être maximaliste si on voulait être bien vu par certains
Plus d'autres choses car comme il fallait se "libérer" on était considéré comme réac ou "bourgeois" si on ne faisait pas ou n'adhérait pas à certaines choses

ceci dit cette époque a engendré des choses plutôt positives qu'on voit aujourd'hui

[Christof]

Réunion live entre Pmistes aujourd'hui, par Zoom.
Je mets ici l'enregistrement de ce que j'ai joué avec un son de bien meilleure qualité que celui qui passait par internet qui, selon vous, était très mochouille)...

On entend d'abord une de mes compos, "Novembre", puis "Stairway to heaven" de Led Zeppelin adaptée à ma façon ; enfin, "Cantabile", thème de Michel Pétrucciani.

Merci pour votre écoute.

[Pos]

On a pas dit Mochouille on dit dit moins excellent que d’habitude !
Par contre j’ai adoré tout ton programme. J’y ai trouvé un sens du rythme et du timing très pointu. Sans perdre pour autant le naturel et le détachement qu’on aime tant dans ton jeu. Comme si tu avais pleinement conscience tout du long qu’on était là et qu’il fallait surprendre notre oreille, accrocher notre attention, parce qu’un public aussi attentif soit-il ne peut pas aller aussi loin que toi dans le transport. Un grand bravo !
Je réécouterais plus tard avec le son d’enregistrement

[Ninoff]

Comme au concert

[flober]

Bravo Christof, tu es de plus en plus a l'aise !

[Nick Borderline]

Très sympa Christof, avec ton style unique. Un vrai crooner du . Bravo l’artiste

[Christof]

On a pas dit Mochouille on dit dit moins excellent que d’habitude !
Par contre j’ai adoré tout ton programme. J’y ai trouvé un sens du rythme et du timing très pointu. Sans perdre pour autant le naturel et le détachement qu’on aime tant dans ton jeu. Comme si tu avais pleinement conscience tout du long qu’on était là et qu’il fallait surprendre notre oreille, accrocher notre attention, parce qu’un public aussi attentif soit-il ne peut pas aller aussi loin que toi dans le transport. Un grand bravo !
Je réécouterais plus tard avec le son d’enregistrement

Waouh, merci Pos ! J'adore ces réunions et jouer pour vous est pour moi une grande joie ! Et pendant, c'est difficile à expliquer, j'ai pleinement conscience que vous êtes là, je sens vos émotions.
De mon côté, j'ai adoré ce que tu as joué, et particulièrement "Rêve d'amour", à la fois plein de retenue et de fougue.

Comme au concert

Merci Ninoff !!

Bravo Christof, tu es de plus en plus a l'aise !

Merci Flober ! Je pense que le cours que j'ai pris avec Alexandre Sorel y est pour beaucoup !

Très sympa Christof, avec ton style unique. Un vrai crooner du . Bravo l’artiste

Merci Nick !

[Christof]

Vu sur le magazine "Pianiste" de janvier-février 2024, une proposition de Paul Lay de cette célèbre sérénade amoureuse composée par Schubert juste avant sa mort en 1828.
Et cela m'a inspiré pour en jouer une version ce matin à ma façon.
Premier jet à peaufiner et à garder pour l'inclure dans mon répertoire.

Merci pour votre écoute.

[Ninoff]

Bien jouée et bonne sensibilité, même si je n’aime pas trop qu’on modifie l’original..
Surtout chez les compositeurs comme Schubert, Mozart et Bach, c’est tellement proche de la perfection..
Merci de ton partage

[Christof]

Bien jouée et bonne sensibilité, même si je n’aime pas trop qu’on modifie l’original..
Surtout chez les compositeurs comme Schubert, Mozart et Bach, c’est tellement proche de la perfection..
Merci de ton partage

Oui, il faut y aller sur des oeufs...

[Nick Borderline]

Vu sur le magazine "Pianiste" de janvier-février 2024, une proposition de Paul Lay de cette célèbre sérénade amoureuse composée par Schubert juste avant sa mort en 1828.

J'aime beaucoup ton adaptation Christof. L'original fait partie des morceaux que j'ai trop entendus. Et du coup, ça me plait bien que tu lui redonnes un coup de jeune.

[mh_piano]

Pas facile de s'attaquer à ce "tube" du classique, mais si Paul Lay a ouvert la porte, tu as bien raison de tenter ! Tu vas te l'approprier petit à petit.

[fritz]

Je ne trouve pas que ce morceau en particulier se prête à l'exercice mais je ne demande qu'à changer d'avis !

[roulroul2]

Sérénade, Ständchen, en allemand) D.957, est l'ultime lied-sérénade amoureuse lyrique du compositeur autrichien Franz Schubert (1797-1828) avant sa disparition précoce à l'age de 31 ans. Cette œuvre pour une voix accompagnée au piano-forte, parmi les plus célèbres de ce maître de la musique romantique allemande, est publiée à titre posthume en 1829, dans son recueil Le Chant du cygne

Peut au fait de Schubert, il fallait bien que je fasse une petite recherche, et situer l’événement. Bon, le style Christof, tout ça, quoi...J'ai connu brièvement un prof qui disait que les doigts au piano étaient en fait "des petits marteaux". Bon je connais pas l'original, alors je suis allé sonner directement chez Christof, c'est une image, pour écouter ce délicieux morceau de presque 4 minutes. Moi j'aime qu'on s'inspire de l'original, pour s'approprier le morceau. Même si l’œuvre originale est deja supposée parfaite, peut importe J'ai pas trop trouvé de jazz la dedans, même un peu, ça swingue pas, est ce le plus important ? Et c'est tout de même très très très beau, est t'il besoin de le préciser.

[Spianissimo]

Proposition agréable à écouter, ça change de ce qu'on a l'habitude d'entendre,comme d'autres, je ne suis pas certain que ce morceau se prête particulièrement à l'exercice, mais merci pour ce moment Schubert/Christof !

[Marcel Patulacci]

C'est original, et pour tout dire, j'aime beaucoup ! Je ne crois pas qu'il y ait des morceaux auxquels on ne peut toucher, ou qu'on ne puisse réinterpréter. C'est ici un bon exemple !

Merci et Bravo pour cette proposition

[Christof]

Vu sur le magazine "Pianiste" de janvier-février 2024, une proposition de Paul Lay de cette célèbre sérénade amoureuse composée par Schubert juste avant sa mort en 1828.

J'aime beaucoup ton adaptation Christof. L'original fait partie des morceaux que j'ai trop entendus. Et du coup, ça me plait bien que tu lui redonnes un coup de jeune.

Merci beaucoup Nick ! Le danger, c'est que ce morceau était déjà tellement sublime sous l'écriture de Schubert, c'est d'en faire un truc mièvre ou bavard qui n'ajoute rien à l'affaire...

Pas facile de s'attaquer à ce "tube" du classique, mais si Paul Lay a ouvert la porte, tu as bien raison de tenter ! Tu vas te l'approprier petit à petit.

Merci Marie-Hèlène pour ton écoute. Ton message m'a d'ailleurs donné l'idée d'aller voir sur you tube qui s'y était déjà attaqué en "version jazz"... Finalement, on n'en trouve pas beaucoup
Il y a celle-là, que je trouve bien affreuse , ou comment complètement dénaturer l'esprit d'un morceau
Et celle-là, à mon avis, pas mieux.... car aussi, complètement dénaturée

Je ne trouve pas que ce morceau en particulier se prête à l'exercice mais je ne demande qu'à changer d'avis !

Merci pour ton message Frtiz !
Oui, surtout si tu écoutes les versions mises dans ma réponse à Marie-Hélène
Mais à mon avis, il doit être possible d'en faire quelque chose de vraiment bien... J'imagine Keith Jarrett que s'en serait emparé, ou Mirabassi, ou Guillaume de Chassy...

Sérénade, Ständchen, en allemand) D.957, est l'ultime lied-sérénade amoureuse lyrique du compositeur autrichien Franz Schubert (1797-1828) avant sa disparition précoce à l'age de 31 ans. Cette œuvre pour une voix accompagnée au piano-forte, parmi les plus célèbres de ce maître de la musique romantique allemande, est publiée à titre posthume en 1829, dans son recueil Le Chant du cygne

Peut au fait de Schubert, il fallait bien que je fasse une petite recherche, et situer l’événement. Bon, le style Christof, tout ça, quoi...J'ai connu brièvement un prof qui disait que les doigts au piano étaient en fait "des petits marteaux". Bon je connais pas l'original, alors je suis allé sonner directement chez Christof, c'est une image, pour écouter ce délicieux morceau de presque 4 minutes. Moi j'aime qu'on s'inspire de l'original, pour s'approprier le morceau. Même si l’œuvre originale est deja supposée parfaite, peut importe J'ai pas trop trouvé de jazz la dedans, même un peu, ça swingue pas, est ce le plus important ? Et c'est tout de même très très très beau, est t'il besoin de le préciser.

Merci beaucoup Roulroul pour ton message. J'ai parlé de "jazz" car c'est l'essai d'en faire autre chose, tout en essayant de respecter l'esprit du morceau. Je n'imagine pas très judicieux toutefois de le faire swinguer parce que ce n'est pas ce que je sens pour celui-ci.

Proposition agréable à écouter, ça change de ce qu'on a l'habitude d'entendre,comme d'autres, je ne suis pas certain que ce morceau se prête particulièrement à l'exercice, mais merci pour ce moment Schubert/Christof !

Merci beaucoup Spiani. Oui, pas simple d'en faire un peu autre chose, sans se ridiculiser (va voir plus haut les exemples que j'ai mis dans ma réponse à Marie-Hélène).

C'est original, et pour tout dire, j'aime beaucoup ! Je ne crois pas qu'il y ait des morceaux auxquels on ne peut toucher, ou qu'on ne puisse réinterpréter. C'est ici un bon exemple !

Merci et Bravo pour cette proposition

Merci beaucoup Marcel pour ton message et que tu aimes cette reprise ! Mais je me suis beaucoup inspiré aussi de ce que j'avais entendu de Paul Lay.

[Numa]

Merci pour le partage, un plaisir d'écouter ta version et de redécouvrir ce morceau d'une autre façon. J'aime beaucoup ce que tu en fais.

[Christof]

Merci pour le partage, un plaisir d'écouter ta version et de redécouvrir ce morceau d'une autre façon. J'aime beaucoup ce que tu en fais.

Waouh, merci beaucoup Numa !