J'ai remarqué que la plupart des gens n'ont que faire du second mvt de cette sonate. Aussi sur internet, (où les gens disent tout et n'importe quoi) dans les commentaires : "okay this is trash", " I don’t see how this correlates to the other 2. The other are played with similar notes, but this is much different", "First time listening to specifically the second movement. Maybe its just because how much I've heard the other two pieces used for cool things, but I don't find the second movement as great."
Bref, moi en tout cas je le trouve superbe et il colle parfaitement avec les deux autres.
N'y a t-il que moi qui l'apprécie (j'espère que non )
2°mvt sonate 14 Beethoven (au clair de lune)
- erichard9999
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Re: 2°mvt sonate 14 Beethoven (au clair de lune)
Hello. Pris isolément, ce mouvement serait, à mon avis, une oeuvre mineure de Beethoven. Mais on a bien sûr le droit de l'aimer.
Nick Borderline https://www.youtube.com/channel/UC2DNVl ... y2w/videos
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Re: 2°mvt sonate 14 Beethoven (au clair de lune)
La grâce classique alliée à une profonde compréhension de l'âme humaine, voilà le menuet de la 14e sonate à mon avis. Liszt disait que cette sonate était une fleur entre deux abîmes. Les abîmes sont spectaculaires, à vrai dire la fleur ne l'est pas moins.
Chez les classiques et chez Schubert, on voit des contrastes de ce type, peut-être dans tout le romantisme aussi.
Pour moi ce menuet n'est pas qu'un intermède, il faut l'aimer tendrement jusqu'à perce le mystère de son ton de bon aloi.
Et puis ré bémol majeur n'est autre que l'enharmonique de homonyme de do dièse mineur !
Chez les classiques et chez Schubert, on voit des contrastes de ce type, peut-être dans tout le romantisme aussi.
Pour moi ce menuet n'est pas qu'un intermède, il faut l'aimer tendrement jusqu'à perce le mystère de son ton de bon aloi.
Et puis ré bémol majeur n'est autre que l'enharmonique de homonyme de do dièse mineur !
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Re: 2°mvt sonate 14 Beethoven (au clair de lune)
Liszt parle à propos de ce mouvement d’une fleur entre 2 abimes. Pour moi, cela signifie que ce morceau ne doit pas être considéré isolément, mais comme un “organe” indispensable de la sonate.