Quelques lectures pour les temps froids...
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- Mon piano : Yamaha U3 & Feurich 190 Langlau 1982
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Quelques lectures pour les temps froids...
Ce matin, virée à Toulouse. L'événement dans ma vie de campagnard.
Après un tour incontournable dans ce très bon magasin de partitions "Croque notes" (du Chopin, du Beethoven et... un peu de solfège quand même) je pousse la porte du magasin d'à côté, une librairie... les "Ombres blanches". Le bonheur des rats comme moi pour qui une bibliothèque est toujours en manque DU bon livre du moment.
Je fouille le rayon musique/musiciens...
Un petit ouvrage attire mon regard... Je connaissais de nom...
Michel Schneider :
La Tombée du jour.
Schumann…
Schumann est au soir de sa vie quand sa création est obscurcie par la folie. Au soir qui toujours avait coloré sa musique - singulièrement celle pour piano -, cette musique attirée vers le bas, le déclin, la dépression.
Le soir schumannien ne parle - sans mots - que d'une seule chose: la douleur, ici nettement opposée à la souffrance. Douleur qui prend les visages, ou les masques, de la disparition, du langage perdu, de l'étrangeté, de l'intime, des lointains.
La musique y apparaît comme cette voix légèrement fêlée ou voilée, loin du pleur comme de la plainte, qui sans cesse retombe à la nuit. C'est elle, la tombée du jour.
Un peu plus loin un autre titre... mais laissez moi deux minutes, le temps d'en parler un peu.
Après un tour incontournable dans ce très bon magasin de partitions "Croque notes" (du Chopin, du Beethoven et... un peu de solfège quand même) je pousse la porte du magasin d'à côté, une librairie... les "Ombres blanches". Le bonheur des rats comme moi pour qui une bibliothèque est toujours en manque DU bon livre du moment.
Je fouille le rayon musique/musiciens...
Un petit ouvrage attire mon regard... Je connaissais de nom...
Michel Schneider :
La Tombée du jour.
Schumann…
Schumann est au soir de sa vie quand sa création est obscurcie par la folie. Au soir qui toujours avait coloré sa musique - singulièrement celle pour piano -, cette musique attirée vers le bas, le déclin, la dépression.
Le soir schumannien ne parle - sans mots - que d'une seule chose: la douleur, ici nettement opposée à la souffrance. Douleur qui prend les visages, ou les masques, de la disparition, du langage perdu, de l'étrangeté, de l'intime, des lointains.
La musique y apparaît comme cette voix légèrement fêlée ou voilée, loin du pleur comme de la plainte, qui sans cesse retombe à la nuit. C'est elle, la tombée du jour.
Un peu plus loin un autre titre... mais laissez moi deux minutes, le temps d'en parler un peu.
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Ca y est, nous sommes un peu plus loin...
Vladimir Jankélévitch : La Musique et les Heures.
La Musique et les Heures reprend une série de textes célèbres (et depuis longtemps introuvables, tel le Nocturne) de Vladimir Jankélévitch - série qui s'est organisée d'elle-même autour du temps humain. Du matin (Satie) au soir (Fauré, Chopin), en passant par le soleil de midi de Rimski-Korsakov, les heures scandent l'écriture des œuvres musicales. Et cette correspondance qui rattache chaque moment privilégié du jour à un style musical semble si naturelle qu'on ne peut s'empêcher de penser que -l'ordre des textes qui la révèle ne pouvant pas être tout à fait arbitraire - ce recueil aurait pu être constitué par Vladimir Jankélévitch luimême.
Je me suis arrêté là pour aujourd'hui ; une autre fois, d'autres titres, d'autres textes, sans doute...
Pour l'heure, je plonge dans mes bouquins ! A tout' !
Vladimir Jankélévitch : La Musique et les Heures.
La Musique et les Heures reprend une série de textes célèbres (et depuis longtemps introuvables, tel le Nocturne) de Vladimir Jankélévitch - série qui s'est organisée d'elle-même autour du temps humain. Du matin (Satie) au soir (Fauré, Chopin), en passant par le soleil de midi de Rimski-Korsakov, les heures scandent l'écriture des œuvres musicales. Et cette correspondance qui rattache chaque moment privilégié du jour à un style musical semble si naturelle qu'on ne peut s'empêcher de penser que -l'ordre des textes qui la révèle ne pouvant pas être tout à fait arbitraire - ce recueil aurait pu être constitué par Vladimir Jankélévitch luimême.
Je me suis arrêté là pour aujourd'hui ; une autre fois, d'autres titres, d'autres textes, sans doute...
Pour l'heure, je plonge dans mes bouquins ! A tout' !
- Christiano
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Merci ! c'est trop ! ! ! Mais j'avoue que c'est quand même tellement plus intéressant que W Sheller ! (voir le sujet où le ne doit pas être politiquement incorrect... même pour rire.)
Modifié en dernier par Jypé le jeu. 23 nov., 2006 6:37, modifié 1 fois.
Je viens de me commander entre autres Rémi Stricker, Schumann, le musicien et la folie. En espérant qu'il complète la tombée du jour. J'espère ne pas être déçue.
(je viens de visiter Amazon, je crois avoir acheté assez de lecture pour finir mes jours )
(je viens de visiter Amazon, je crois avoir acheté assez de lecture pour finir mes jours )
Le secret de la création artistique est-il impénétrable ? La question suscite périodiquement des mouvements contraires : on cherche à l'éclairer par les nouvelles conquêtes du savoir ou l'on s'en défend comme d'une sorte de sacrilège. Et le romantisme, qui parle tant de lui-même et invente pour ainsi dire la notion de génie, tout près de la situer en marge de la raison, fait figure de tentateur.
Le musicien, bien moins souvent étudié que le poète ou le peintre, semble échapper mieux encore à l'investigation. La folie de Schumann a pu servir à « expliquer » ses chefs-d'œuvre, mais elle se vengeait en condamnant du même coup une grande part de sa musique, qu'on ne connaissait pas car on ne l'écoutait pas. Ce que la musicologie et la psychologie ont découvert depuis lors remet en présence d'une interrogation devant laquelle Freud lui-même, si prudent lorsqu'il s'agit de l'art, a toujours manifesté quelque chose comme la crainte du tabou. Partant de la folie, l'auteur construit une enquête où c'est finalement la musique elle-même qui dévoile, plus que la vie de l'auteur, la logique énigmatique de la création.
Modifié en dernier par louna le dim. 26 nov., 2006 15:34, modifié 1 fois.
Je ne suis pas douée pour ça.dominique a écrit :Louna, tu nous feras des petits comptes rendus de lecture pour le Michel Schneider et le Remy Stricker ?
je me suis pris aussi Michel Schneider, glenn gould piano solo
Ainsi que :Mot de l'éditeur
"Mais ce jour-là, lors de son dernier concert donné à Chicago le dimanche 28 mars 1964, quelque chose s'était effondré dans le troisième mouvement de la Sonate opus 110 de Beethoven, quand se déplore le Klagender Gesang, le chant de douleur. Il n'avait pu faire le crescendo qui sous-tend la plainte. Il ne pouvait faire cela. Pas devant eux, les deux mille qui regardaient, attendaient la fin. C'était comme se dévêtir, ou mourir. Il fallait se cacher. Il savait que la fugue allait venir très vite, où il pourrait se masquer de sérénité. Mais il reviendrait aussi, encore, voilé, perdendo le forze, l'Arioso de douleur, et alors, la pédale una corda ne suffirait pas à teinter d'absence la phrase qui s'efface. Il faudrait encore moins de son." M. S.
lettre à un pianiste de Jean Fassina
Vous avoir lu ces livres ?LA DEDICACE DE L'AUTEUR : Cette "Lettre à un jeune pianiste" est mon credo musical et touchera, je l'espère, au-delà des professionnels du piano, une grande partie du monde musical, car les principes qu'elle énonce sont d'ordre universel. A partir de l'enseignement que j'ai reçu et de mon expérience de concertiste, j'ai élaboré des principes de jeu et de comportement au piano que je souhaite partagée par le plus grand nombre possible d'instrumentistes. Ce livre vise à faire des musiciens libres, à éduquer leur oreille pour que celle-ci les guide dans l'expression, afin de donner aux interprètes les moyens techniques de traduire leur imaginaire. (Jean Fassina)
Mais ma bibliothèque déborde déjà
Mais mes bouquins ne seront livrés qu'après noel, amazon semble débordé à l'approche des fêtes.
Heureusement, j'ai des recueils d'avance
J'ai hate de lire ce Fassina, mais pour un livre traitant ce sujet, étrange, il ne me semble pas qu'on en ait déjà parlé sur le forum. Pas le souvenir.
Mais mes bouquins ne seront livrés qu'après noel, amazon semble débordé à l'approche des fêtes.
Heureusement, j'ai des recueils d'avance
J'ai hate de lire ce Fassina, mais pour un livre traitant ce sujet, étrange, il ne me semble pas qu'on en ait déjà parlé sur le forum. Pas le souvenir.
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Je me permets de faire remonter ce sujet pour vous faire partager un conseil de lecture, celle d'un bouquin de Nicholas Cook : "Musique, une très brève introduction" paru cette année chez (l'excellente !!) maison d'édition Allia (je vous conseille d'ailleurs aussi de jeter un coup d'oeil du coté de "Experimental Music : John Cage et au-delà ." par Michael Nyman..).
Présentation de l'éditeur :
« Nicholas Cook enseigne la musicologie à l’université de Southampton, ainsi qu’à Hong Kong, en Australie et aux USA. Musique, une très brève introduction a paru en Angleterre dans la célèbre collection “Very short introduction” d’Oxford University Press. L’ouvrage s’est très vite imposé comme un classique, une oeuvre originale et personnelle. Nicholas Cook a, en effet, accompli un véritable tour de force en réussissant à faire le point en si peu de pages sur ce qu’est l’essence de la musique, et à analyser les valeurs et les qualités que nous lui associons. Qu’est-ce que la musique ? D’où vient-elle ? Comment est-elle construite ? Comment est-elle consommée ? Qu’est-ce qui nous charme en elle ? L’auteur entreprend de répondre à ces questions avec humour et finesse en s’appuyant sur des exemples qui vont de Beethoven aux Spice Girls en passant par la cithare chinoise. Il analyse les valeurs individuelles, sociales, culturelles et même sexuelles qu’elle véhicule, les différents usages qui en sont faits (du religieux à la publicité), et se place tour à tour du point de vue du compositeur, de l’interprète et de l’auditeur. Il met au jour les structures sociales et institutionnelles qui conditionnent l’approche que chaque société se fait d’elle. La musique nous semble, d’une certaine façon, constituer un monde en soi - et pourtant elle baigne dans les valeurs humaines, dans notre interprétation de ce qui est bien ou mal, vrai ou faux. »
Vous pouvez ecouter ici l'incipit de cet ouvrage (merci au blog Incipit, journal audio de lectures à voix hautes) :
http://www.incipitblog.com/go.php?http: ... uction.mp3
N'étant pas un brillant compte-rendeur, je préfère plutôt vous donner quelques liens vers des critiques de cet ouvrage qui je l'espère éveilleront vos curiosité et envie..
http://neospheres.free.fr/disques/musique.htm
http://musicweb.hmt-hannover.de/escom/M ... 2-01Fr.htm
Ce bouquin peut vous paraître pompeux.. mais c'est loin d'être le cas ! Il est écrit dans un langage proche de celui du parler, en utilisant des exemples clairs et explicites.. ne requiert quasi aucune connaissance en musicologie (ce qui est mon cas ca tombe bien !) et cependant vous permets d'avoir un autre regard sur l'acte d'interprétation, de composition et même (voir surtout) d'écoute.
Pour terminer, je vous note les dernières phrases du bouquins :
[...] C'est pourquoi, finalement, ce ne sont pas seulement les musicologues qui doivent prendre une orientation critique. Comme l'a bien compris Adorno, la théorie critique oublie la musique à son propre péril; la musique à un pouvoir unique comme agent idéologique. Il est nécessaire de comprendre son fonctionnement, ses charmes, à la fois pour nous en protéger, et, paradoxalement, pour les apprécier pleinement. Et pour cela, nous devons êtres capables non seulement d'entendre la musique mais également de la lire : non pas au sens littéral, sur la partition, mais d'après sa signification comme élément intrinsèque de la culture, de la société, de vous et de moi.
PS : après une reprise éphémère de cours de piano (3-4 mois) voilà maintenant 1 an rompue suite à un déménagement impromptu (j'essaie d'adapter mon vocabulaire au lieu..), je recherche de nouveau désespérément un prof sur Pau cette fois-ci.. Si jamais l'un de vous à un tuyau.. Merci !
Présentation de l'éditeur :
« Nicholas Cook enseigne la musicologie à l’université de Southampton, ainsi qu’à Hong Kong, en Australie et aux USA. Musique, une très brève introduction a paru en Angleterre dans la célèbre collection “Very short introduction” d’Oxford University Press. L’ouvrage s’est très vite imposé comme un classique, une oeuvre originale et personnelle. Nicholas Cook a, en effet, accompli un véritable tour de force en réussissant à faire le point en si peu de pages sur ce qu’est l’essence de la musique, et à analyser les valeurs et les qualités que nous lui associons. Qu’est-ce que la musique ? D’où vient-elle ? Comment est-elle construite ? Comment est-elle consommée ? Qu’est-ce qui nous charme en elle ? L’auteur entreprend de répondre à ces questions avec humour et finesse en s’appuyant sur des exemples qui vont de Beethoven aux Spice Girls en passant par la cithare chinoise. Il analyse les valeurs individuelles, sociales, culturelles et même sexuelles qu’elle véhicule, les différents usages qui en sont faits (du religieux à la publicité), et se place tour à tour du point de vue du compositeur, de l’interprète et de l’auditeur. Il met au jour les structures sociales et institutionnelles qui conditionnent l’approche que chaque société se fait d’elle. La musique nous semble, d’une certaine façon, constituer un monde en soi - et pourtant elle baigne dans les valeurs humaines, dans notre interprétation de ce qui est bien ou mal, vrai ou faux. »
Vous pouvez ecouter ici l'incipit de cet ouvrage (merci au blog Incipit, journal audio de lectures à voix hautes) :
http://www.incipitblog.com/go.php?http: ... uction.mp3
N'étant pas un brillant compte-rendeur, je préfère plutôt vous donner quelques liens vers des critiques de cet ouvrage qui je l'espère éveilleront vos curiosité et envie..
http://neospheres.free.fr/disques/musique.htm
http://musicweb.hmt-hannover.de/escom/M ... 2-01Fr.htm
Ce bouquin peut vous paraître pompeux.. mais c'est loin d'être le cas ! Il est écrit dans un langage proche de celui du parler, en utilisant des exemples clairs et explicites.. ne requiert quasi aucune connaissance en musicologie (ce qui est mon cas ca tombe bien !) et cependant vous permets d'avoir un autre regard sur l'acte d'interprétation, de composition et même (voir surtout) d'écoute.
Pour terminer, je vous note les dernières phrases du bouquins :
[...] C'est pourquoi, finalement, ce ne sont pas seulement les musicologues qui doivent prendre une orientation critique. Comme l'a bien compris Adorno, la théorie critique oublie la musique à son propre péril; la musique à un pouvoir unique comme agent idéologique. Il est nécessaire de comprendre son fonctionnement, ses charmes, à la fois pour nous en protéger, et, paradoxalement, pour les apprécier pleinement. Et pour cela, nous devons êtres capables non seulement d'entendre la musique mais également de la lire : non pas au sens littéral, sur la partition, mais d'après sa signification comme élément intrinsèque de la culture, de la société, de vous et de moi.
PS : après une reprise éphémère de cours de piano (3-4 mois) voilà maintenant 1 an rompue suite à un déménagement impromptu (j'essaie d'adapter mon vocabulaire au lieu..), je recherche de nouveau désespérément un prof sur Pau cette fois-ci.. Si jamais l'un de vous à un tuyau.. Merci !
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- Enregistré le : mer. 22 mars, 2006 7:22
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C'est sympa de faire remonter ce sujet même si le titre ne veut plus rien dire...
En effet, dans les Pyrénnées voisines, il fait presque chaud.Les touristes forcenés skient sur les cailloux et ceux qui ont compris s'en prennent aux raquettes... de tennis bien sûr. Cependant, il est des jours où on se dit que l'hiver est propice à la lecture... Hein ? pourquoi pas.
Alors j'y vais d'un petit dernier ; je le commence à peine.
Ravel par Jean Echnoz.
Ce roman retrace les dix dernières années de la vie de maurice Ravel, son voyage aux USA, sa rencontre avec Gershwin, son retrait à Monfirt-Lamaury... Le Boléro et le concerto pour la main gauche... puis la maladie dégénérative.
Un bon bouquin à n'en point douter pour un dimanche un peu gris tout de même.
En effet, dans les Pyrénnées voisines, il fait presque chaud.Les touristes forcenés skient sur les cailloux et ceux qui ont compris s'en prennent aux raquettes... de tennis bien sûr. Cependant, il est des jours où on se dit que l'hiver est propice à la lecture... Hein ? pourquoi pas.
Alors j'y vais d'un petit dernier ; je le commence à peine.
Ravel par Jean Echnoz.
Ce roman retrace les dix dernières années de la vie de maurice Ravel, son voyage aux USA, sa rencontre avec Gershwin, son retrait à Monfirt-Lamaury... Le Boléro et le concerto pour la main gauche... puis la maladie dégénérative.
Un bon bouquin à n'en point douter pour un dimanche un peu gris tout de même.
- sanne
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Je l'ai lu aussi. Très bien ce petit livre!!Jypé a écrit : Ravel par Jean Echnoz.
En plus j'avais visité sa maison à Montfort l'Amaury ( 78 ) peu de temps avant.
Donc quand Jean Echenoz décrit Ravel dans son jardin, au piano, etc. ça parle encore plus.
Les visites de la maison sont guidées, et ceux qui veulent, peuvent jouer sur son Erard (piano à queue). J'ai pas pu résister.....
Oui c'est vrai que le titre du sujet n'est plus trop approprié mais la méthode Coué a fait ses preuves.. Il fait froid il fait froid il fait froid il fait froid il fait froid.. tiens maintenant qu'on en parle je remettrais bien un ptit coup de chauffage
Sinon pour le Echenoz je l'ai trouvé plutôt.... anecdotique voilà le mot qui me semble le mieux convenir.
Mis à part ça je rentre tout juste d'un concert "lounesque" (si jpeux me permettre..) d'Eric Le Sage, au programme du schubert et du schumann.. J'essaie de résister à la tentation (mais délivre nous.. oups jm'égare) de ne pas massacrer la 1ère kinderszenen et attendre sagement les conseils de mon futur professeur bienveillant.. (enfin j'espère..)
Sinon pour le Echenoz je l'ai trouvé plutôt.... anecdotique voilà le mot qui me semble le mieux convenir.
Mis à part ça je rentre tout juste d'un concert "lounesque" (si jpeux me permettre..) d'Eric Le Sage, au programme du schubert et du schumann.. J'essaie de résister à la tentation (mais délivre nous.. oups jm'égare) de ne pas massacrer la 1ère kinderszenen et attendre sagement les conseils de mon futur professeur bienveillant.. (enfin j'espère..)