Si tu parles de mon dernier enregistrement du 22/10, il s'agit de mon numérique Kawai, qui a quelques sons plutôt sympa en réserve, c'est vrai
Carla Rocío a écrit : ↑ven. 29 janv., 2021 7:55
Peut être qu’un peu plus de conviction via des temps forts plus marqués ajouterait un chouette petit quelque chose, le genre de truc qui vient tout seul avec le temps.
Vivement la suite !
bravo
Je suis d'accord et je me suis déjà fait cette réflexion, mais mes mains refusent de faire les mouvements nécessaires, et en le faisant j'augmente le risque de tomber à côté pour l'instant...
Ah.... ben Mince j’avais trop pas vu!!! Ou plutôt pas lu
Mais.... toutes tes interprétations sont effacées j’ai pas trouvé ici le son de ta cathédrale... par contre j’ai trouvé ton prélude 24 dans le répertoire chopin pm, wouah J’adore!! (A la fin on dirait plus un point d’ironie que d’exclamation, j’aime bien cet effet mais du coup je me demande si c’est bien un re?!)
Ton piano gagnerait éventuellement à être un tout petit peu bordé sur tu recherches un son plus fin mais pour ce prélude c’est trop bien comme ça!
Pour le bout de nocturne 13 on dirait que le son est plus étouffé tellement c’est propre et délicat, t’as fait quelque chose ou c’est un travail de pédale ?
Pour le point d'ironie, oui, inconsciemment, il est possible qu'inconsciemment je mette de l'ironie dans mon jeu, peut-être par pudeur... le piano utilisé n'est pas non plus mon piano à queue, mais le droit qui est chez ma mère, au son extrêmement agressif, qui va pas mal pour le prélude de Chopin
Pour le Nocturne 13 c'est encore mon numérique, avec son son le plus doux
En tout cas j'ai l'impression que le coup de la couette a pas mal fonctionné sur mon piano, en tout cas j'aime beaucoup son son aujourd'hui (c'est pas toujours le cas, ça dépend des jours et des morceaux...)
Ces dernières semaines j'ai appris le Nocturne 1 de Chopin et je crois que je n'ai jamais autant aimé apprendre un morceau : la majeure partie est plutôt aisée, belle amplitude de nuances, quelques passages où Chopin se joue du rythme (c'est ce que j'adore chez lui). Maîtrisé en trois semaines et pas en trois mois, je n'arrête pas d'y revenir sans même y penser alors que je suis déjà plus que lassé du prélude de Franck après trois pages...
Je pense que ce nocturne représente le morceau parfait pour moi en ce moment : pas envie de trop me prendre la tête à apprendre un morceau super dur pour m'en lasser avant de le finir et ne plus jamais le jouer...
Je crois que je vais me lancer dans un marathon des plus beaux Nocturnes, je sens que c'est le bon moment... Est-ce que la difficulté du 2 est comparable à celle du 1, sachant qu'il est sorti à la même époque ? J'ai vraiment envie de continuer sur ma lancée...
La liste des Nocturnes envisagés :
OP 9 n II
OP 15 n I
OP 27 n I
OP 27 n II
OP 37 n I
OP 48 n I (à reprendre à 0)
OP 55 n I
OP 72 n I (à reprendre à 0)
B.108
Modifié en dernier par Chtilli le mer. 24 févr., 2021 12:06, modifié 2 fois.
Je trouve que les niveaux donnés par le site ci-dessous reflètent bien la réalité, pour les nocturnes grosso modo ils sont tous estimés du même niveau.
J'avoue ne pas être entièrement d'accord avec ce classement, certains Nocturnes sont bien plus difficiles que d'autres !
L'op 27 n°1 par ex. est d'une toute autre trempe que le Nocturne posthume en do#mineur etc, etc......ici en effet on dirait que tous les Nocturnes sont estimés à peu près du même niveau ce qui à mon avis personnel ne reflète justement pas "du tout" la réalité...
Bon les niveaux ne veulent en réalité pas dire grand-chose mais tout de même... suis assez stupéfaite..
Visiblement entre 7 et 8 il y a quand même un gap technique, 7 c'est le niveau donné au prélude n°15 par exemple, 8+ c'est pour les pièces les plus compliquées, 8 c'est déjà assez balaise. Ceci étant on n'a pas tous les mêmes points de blocage technique donc ça reste très indicatif.
En termes de raffinement et de difficulté (technique et interprétation), je trouve que 27/1, 27/2 et 48/1 sont bien au-dessus. Ensuite, tous ces nocturnes sont des miracles de sonorité, et les interpréter avec goût, sans en faire trop (de rubato notamment) est vraiment difficile.
Merci, c'est le classement qu'il me fallait, même si j'ai de gros doutes quand je vois le 1 et le 13 au même niveau... Bon en tout cas je viens de commencer le 2, plus facile que le 1 apparemment... On va bien voir...
Le problème du nocturne posthume, c'est sa partie centrale qu'il n'est pas facile de bien intégrer à la première partie. Et ce n'est pas parce que c'est un tube qu'il est facile...
Aucun n'est facile à interpréter mais....
Le posthume en do est tout de même le plus simple avec l'opus 15 n°3 et les ceux de l'opus 32 et 37.
Le plus difficile est l'opus 48 n°1. Le n°2 de cet opus est moins impressionnant mais beaucoup plus difficile qu'il n'en à l'air.
Les deux de l'opus 27 viennent juste en dessous de l'opus 48 n°1, je les mets au même niveau que les opus 62 et 67, qui sont de vraies merveilles, et qui se livrent moins facilement que les autres, tant à l'écoute que dans le jeu, ils sont parmi les plus difficiles.
Dans l'opus 9, le n°3 est au dessus des 2 autres.
Dans l'opus 15, le 1 et le 2 sont largement au dessus du 3.
Dans l'opus 55, les deux sont du même niveau avec des difficultés différentes, attention à la fin de l'opus 55 n°1 qui n'est pas facile.
Oukee a écrit : ↑mer. 24 févr., 2021 11:15
Le problème du nocturne posthume, c'est sa partie centrale qu'il n'est pas facile de bien intégrer à la première partie. Et ce n'est pas parce que c'est un tube qu'il est facile...
Oukee a écrit : ↑mer. 24 févr., 2021 11:59
Pourtant, B49 désigne bien celui en Do# ? Celui en Do mineur est classé B 108, et franchement, je ne le trouve pas au niveau des autres.