Merci beaucoup Aurèle et je suis très touché par ton mot, que tu me dises aussi que le répertoire classique me va très bien, que mon son est très beau. C'est quelque chose le son. Je crois que c'est l'essentiel. C'est comme du feu.Aurele27 a écrit : mar. 13 août, 2019 22:00 Bravo Christophe, c’est très bien parti !
On voit que tu as entamé un travail méticuleux, et c’est ce qu’il faut pour ce genre de pièces où il y a différentes voix et différents plans sonores.
C’est le même genre de travail que pour une fugue finalement.
Cela fait plaisir de te voir dans un répertoire classique, cela te va vraiment très bien.
Je trouve le son très beau.
En lisant les autres commentaires, et en écoutant la version que Jean-Seb a partagée, je trouve qu’effectivement, cette pièce sonne très bien lorsqu’elle est jouée dans un tempo un peu plus allant.
Mais tu y arriveras, tu sembles faire preuve de patience![]()
On a toujours du mal à vraiment percevoir cela soi-même, ce qu'est notre propre son. Bien sûr, il y a les enregistrements que l'on peut faire, qui peuvent un peu témoigner de certains progrès. Mais surtout, il y a la parole échangée, et vos mots à tous, cette attention, vos encouragements, qui me donnent de la force.
Pianomajeur fait partie des plus belles surprises de ma vie.
Et à propos de la patience, un jour j'ai écrit cela : "On voudrait toujours réduire à l'extrême le délai entre un désir et sa réalisation. C'est une manière angélique de nier l'épaisseur et la lourdeur du temps. Mais l'amour, l'amour de la musique, qui est envol a besoin de cette épaisseur et de cette lourdeur. Il prend son essor en s'appuyant sur elles.
Jouer, c'est vivre. Et soudain, dans un silence joyeux, le déclic se fait, la confiance se scelle.