je citais la coke parce que le marché explose, mais en dehors de la blanche, il y a l'embarras du choix : chichon, binouze, Lexomil...Lazur84 a écrit : ↑lun. 01 juil., 2019 21:15 Pour le dopage dans l'Antiquité, il n'y a qu'à lire Astérix
Pour le reste, il y a bien des métiers stressants, sans doute peu glamour mais très utiles, que chacun supporte sans prendre de cocaïne parce que ça ne fait pas partie de leur culture, pour l'instant...
Le "dopage" dans la musique classique
- quazart
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Re: Le "dopage" dans la musique classique
Re: Le "dopage" dans la musique classique
Ah oui, c'est vrai tu as raison. Snif.
- André Quesne
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Re: Le "dopage" dans la musique classique
En gros, stup, alcool ou anxiolytique. L'embarras du choix quoi, avec en plus les BB.quazart a écrit:
je citais la coke parce que le marché explose, mais en dehors de la blanche, il y a l'embarras du choix : chichon, binouze, Lexomil...
Si je devais choisir, à faible dose ce serait plutôt entre l'anxiolytique à dose très modérée (afin d'être plus serein sans pour autant perdre les réflexes ni les pédales) ou les BB. Surtout pas les stup ou l'alcool
Si le trac est plutôt d'ordre psychologique, qu'il coupe les pattes et que l'on ne tremble pas trop, peut-être l'anxiolytique ? (Timidité, anxiété...)
S'il est plutôt physique et qu'il empêche de jouer par les tremblements peut-être les BB ?
Je crois que Glenn Gould était un gros consommateur de psychotropes et qu'il était suivi par un ami psychiatre...
Que pensez-vous de tout cela ?
Et si un bon footing ou quelques longueurs de piscine produisaient le même effet ?
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Re: Le "dopage" dans la musique classique
Je ne crois pas qu’une activité sportive soit la bonne solution avant un concert. Arriver fatigué me semble un peu risqué.
Enfin j’ai jamais essayé.
Le reste non plus d’aillleurs: l’alcool au bout d’un verre y’a plus personne.
Si je n’ai pas un minimum de trac je me déconcentre complètement et ça ne va pas non plus alors les autres substances, ça ne me paraît pas la bonne solution pour moi.
Un petit tour dehors avant de jouer et beaucoup de travail et après advienne que pourra.
Enfin j’ai jamais essayé.
Le reste non plus d’aillleurs: l’alcool au bout d’un verre y’a plus personne.
Si je n’ai pas un minimum de trac je me déconcentre complètement et ça ne va pas non plus alors les autres substances, ça ne me paraît pas la bonne solution pour moi.
Un petit tour dehors avant de jouer et beaucoup de travail et après advienne que pourra.
Re: Le "dopage" dans la musique classique
je suis perdu, de quel snif parle t on ici?
Si un produit est necessaire pour permettre a une personne de completer l'action qu'elle desire, pour moi il s'agit de dopage.
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Re: Le "dopage" dans la musique classique
Je me demande si on ne devrait pas aussi tester l'oxygène....c'est un dopant bien connu
Sylvie Piano http://courspianocollectif.com/
Re: Le "dopage" dans la musique classique
Au bout de mon village rural, y a des jeunes qui viennent parfois le soir échanger de la came, au volant de Mercedes Classe C dernier cri, ça attire l' attention et ça dénote avec les vielles Renault Express et Xantia hors d'age des autres habitants. Je ne suis pas en train de dire que des hordes de musiciens pianistes de concert investissent le coin pour y faire du business, je suis en train de dire que la société a changé, par rapport au dopage, qui semble s’être banalisé. Tout ça en a peine 15 ans, ce qui est peu, a mon avis.
Re: Le "dopage" dans la musique classique
Roulroul, je crois que tu confonds la question de ce fil, le dopage chez les musiciens, et la question du trafic de drogue dans ton quartier.
- AntoineCln
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Re: Le "dopage" dans la musique classique
Effectivement je pense que les musiciens ne vont pas se fournir au dealos du quartier
Cela dit il n'a pas complétement tort quant à l'évolution du rapport au dopage. Il n'y a qu'a voir les étudiants en medicine, ou en prépa qui se transforment en veritable pharmacie ambulante pour lutter contre le stress et l'anxieté, il n'y a qu'a voir certains milieux (finance, droit...) ou au dela du coté récréatif, les personnes se chargent de "neige" pour assurer leur 12h quotidiennes, les musiciens sont exemple parmi d'autres.
Il est vrai que maintenant tout est competition, il n'y pas de place pour tout le monde, il faut performer et vite. Cela induit une quantité de stress et de fatigue monumentale, et je ne trouve pas étonnant que certaines personnes se tourne vers la chimie pour augmenter leurs performances.
Après là ou je ne suis pas tout à fait d'accord, c'est que je ne pense pas que ce soit le rapport aux dopants qui ait été changé, mais plutot l'exigence et le rapport au temps de notre société modern ou tout est sous flux tendu. Même les gens
- quazart
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Re: Le "dopage" dans la musique classique
Oui, dès lors qu'il s'agit d'un comportement systématique.
Par contre, qu'un amateur prenne un BB pour jouer occasionnellement en public équivaut à mon avis à prendre un Doliprane en cas de fièvre ou de mal de tête...
Re: Le "dopage" dans la musique classique
@Lazur, je voudrais que ce fil reste cordial, bien sur. Mais tu lis mes posts en diagonale, chaque fois. Je ne dis pas ca, je souligne la banalisation de la drogue, sur tout le territoire, phenomène assez nouveau. Pas un truc isolé dans mon quartier. Et pas un truc limité aux seules cités.Roulroul, je crois que tu confonds la question de ce fil, le dopage chez les musiciens, et la question du trafic de drogue dans ton quartier.
La question de savoir qui ces dealeurs fournissent ou pas me dépasse, pourquoi pas des pianistes dans le lot, ou cadres stressés ? Je ne suis pas qualifié pour répondre.
Re: Le "dopage" dans la musique classique
très clairement on parle tous de prendre des BB ou pourquoi pas d autre produits mais ce n'est ce dont tu parles, tu parles du traffic. La discussion parle plus des usagers et de savoir si prendre un BB peut être considéré comme tu dopage ou pas. On derive un peu en parlant pot de miel et star système ou grand concertiste pro, alors que la conversation fait plus reference a bcp d'amateurs qui veulent absolument réussir a partager leur musique mais malheureusement n'y arrive pas ou tres difficilement sans un petit coup de pouce.roulroul a écrit : ↑mar. 02 juil., 2019 20:11@Lazur, je voudrais que ce fil reste cordial, bien sur. Mais tu lis mes posts en diagonale, chaque fois. Je ne dis pas ca, je souligne la banalisation de la drogue, sur tout le territoire, phenomène assez nouveau. Pas un truc isolé dans mon quartier. Et pas un truc limité aux seules cités.Roulroul, je crois que tu confonds la question de ce fil, le dopage chez les musiciens, et la question du trafic de drogue dans ton quartier.
La question de savoir qui ces dealeurs fournissent ou pas me dépasse, pourquoi pas des pianistes dans le lot, ou cadres stressés ? Je ne suis pas qualifié pour répondre.
et tu as de la chance que ta sortie de route ne soit pas plus relevé que ca :
roulroul a écrit : D' abord je suis un mec, et surtout pas une donneuse de leçon, et pan !
Re: Le "dopage" dans la musique classique
C'est pas une sortie de route, la je quitte carrément le circuit. Siouplait fermez pas ce fil les modos.et tu as de la chance que ta sortie de route ne soit pas plus relevé que ca :
Et si c'est pour rerereciter pour la énième fois les vieux trucs moisis masculins-féminins :
Je déconnais, bien sur, si on plus le droit....
D' abord je suis un mec, et surtout pas une donneuse de leçon, et pan !
Re: Le "dopage" dans la musique classique
"je blague" et "on n’a plus rien le droit de dire" sont typiquement le genre de remarques moisies que les auteurs de blagues sexistes aiment ressasser (en plus de leurs blagues éculées).
Comme si le fait de ne pas adhérer à tes blagues faisait directement entrer dans la catégorie des gens très ennuyeux. N’y aurait-il qu’une forme d’humour, la tienne ? Comme si tu revendiquais le droit – au nom de la liberté d’expression ! – de faire des plaisanteries sexistes sur un forum, public, par définition.
Je te trouve très culotté de t’agacer de voir resurgir "les vieux trucs moisis féminins-masculins" alors que c’est toi qui as lancé ce sujet par ta remarque (il faut croire que le sujet te passionne). Tu répondais à Midas qui te taquinait sur ton attitude moralisatrice et auparavant, je t’avais juste fait une remarque dans le cadre du sujet de ce fil. Donc la réponse que tu fais face à quelqu'un qui n’est pas d’accord avec ce que tu dis sur un sujet quelconque, c’est je suis "un mec" et pas "une donneuse de leçons" (et il est évident que par cette expression que tu as mise au féminin, tu pensais à moi et non pas à Midas), comme si, par essence, tu incarnais le tact, la subtilité et l’ouverture d’esprit mieux que n’importe quelle femme (des chipoteuses, par définition). Tu comprendras qu’on puisse trouver cette rhétorique hyper vieille et hyper moisie.
Au sujet de ton inquiétude sur la fermeture des fils, je te répondrai que je trouve un peu totalitaire l'attitude de pensée qui consiste à exiger que tout le monde se torde de rire à ton humour sexiste et que définitivement, tu n'incarnes pas la tolérance que tu prêches pourtant bien souvent. Pour ma part, la lassitude ne l’emportant pas encore sur l’agacement, je continuerai de répondre, même si tu aimerais bien qu’on te laisse t’exprimer tranquillement sur ce sujet.
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Re: Le "dopage" dans la musique classique
@Roulroul, Lorsque Midas a écrit « C'est toi qui te trouves du côté de la bienpensance donneuse de leçons », le féminin s’imposait car accordé à la bienpensance et non à toi.
Je propose de revenir au sujet du fil, le dopage... point.
Je propose de revenir au sujet du fil, le dopage... point.
Re: Le "dopage" dans la musique classique
Merci Floyer pour cette clarification. Ce serait donc ça, la raison de ce mystérieux féminin à "donneuse de leçons" : Roulroul a cru que Midas le traitait de fillette et a donc tenu à rappeler qu'il était un homme. Logique.
Eh bien moi, j'en perds ma grammaire (genrée)
Mais revenons au dopage chez les musiciens, en effet.
Eh bien moi, j'en perds ma grammaire (genrée)
Mais revenons au dopage chez les musiciens, en effet.
Re: Le "dopage" dans la musique classique
Pour relancer le débat sur le dopage, je me dis qu’une façon plus constructive d’aider les musiciens serait de laisser de côté le biais moral (c’est de la triche, ne pas être capable d’affronter le stress sans aide c’est ne pas réunir toutes les qualités nécessaires pour jouer en public donc il faut passer son chemin et rabattre son orgueil, etc.) De toute façon, personne ici ne pense qu’une molécule résolve toutes les difficultés.
On pourrait peut-être juste se concentrer sur les problèmes du jeu en public, l’intérêt et les limites d’un usage des BB dans ce cadre, les autres voies pour apprivoiser le stress (je dis "apprivoiser" parce que je suis convaincue qu'il est nécessaire) ?
On pourrait peut-être juste se concentrer sur les problèmes du jeu en public, l’intérêt et les limites d’un usage des BB dans ce cadre, les autres voies pour apprivoiser le stress (je dis "apprivoiser" parce que je suis convaincue qu'il est nécessaire) ?
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Re: Le "dopage" dans la musique classique
Il sera dit que non, décidément, quel que soit le fil, cela dégénère (2 ou 3 ou 4 qui entendent ou n'entendent pas ce qui est dit, ou pas)..... Je ne suis pas vous, floyer, mais j'y mettrais un stop, car en relisant les anciens fils qui ont conduit à leur fermeture il n'y a pas si longtemps, les mêmes processus mentaux, susceptibilités etc... sont à l'action, et dirait-on, avec une certaine jubilation car ces personnes sautent sur la moindre parole "interprétable" comme la tique sur le dos du malheureux chien dans les sous-bois !
Cela dure depuis mars, et
même pas la chance que ces premiers jours de juillet voient l'extinction dudit processus.....
Les aliens nous ont apporté la musique.
Fox Mulder
Fox Mulder
Re: Le "dopage" dans la musique classique
Lazur84 a écrit : ↑mer. 03 juil., 2019 12:14 Pour relancer le débat sur le dopage, je me dis qu’une façon plus constructive d’aider les musiciens serait de laisser de côté le biais moral (c’est de la triche, ne pas être capable d’affronter le stress sans aide c’est ne pas réunir toutes les qualités nécessaires pour jouer en public donc il faut passer son chemin et rabattre son orgueil, etc.) De toute façon, personne ici ne pense qu’une molécule résolve toutes les difficultés.
On pourrait peut-être juste se concentrer sur les problèmes du jeu en public, l’intérêt et les limites d’un usage des BB dans ce cadre, les autres voies pour apprivoiser le stress (je dis "apprivoiser" parce que je suis convaincue qu'il est nécessaire) ?