Alors, pour dévier la discussion de l'autre sujet ici, puisqu'elle est un peu hors-sujet là-bas, reprenons où nous en étions :
Je crois que l'on s'est mal compris.Mathieu79 a écrit :Pour maitriser la 7e , et les sixtes ....Jouishy a écrit :Merci Christof. Je vais aller jeter un oeil.
J'écoute aussi la série de vidéo de Gradus Ad Parnassum sur la théorie de l'harmonie. J'ai commencé à me perdre avec le vidéo sur la septième de dominante. Pas à cause de la septième de dominante, mais parce que je ne comprends pas son chiffrage... j'ai l'habitude du chiffrage «pop» (Gm, A+, B°, D7, CM7/G, etc.). Je trouve ça mêlant de l'autre façon et peut-être pas assez expliqué en détails...
Enfin, je dévie du sujet là.
Il te faut maîtriser les intervalles, gamme majeur et mineur savoir les relatifs pour trouver plus facilement les altérations mineurs.
Une fois ça de fait faut que tu soies à l'aise avec les renversements.
c'est deux phases nécessite déjà beaucoup de travail , et d'application. tout le premier module à voir et revoir et surtout s'exercer.
Voici un lien qui permet de t'exercer à cela :
http://theoriemusicale.fr/?page=exercices
Mr Fabre te propose sur le site youtube des TD à 2 € j'en ai pris , mais il est rigolo il fini toujours par faire beaucoup de théorie au lieu d'exercices ! Mais bon ... Moi je l’estime beaucoup ^^ .
Une fois appris les renversements seront plus claire. le chiffrage n'est pas si compliqué que cela.
3/5 veut dire simplement que la fondamental à une tierce (mineur/Majeur) la fondamental à une quinte (juste ... )
Les renversements .... ça parait compliqué mais si tu t'exerces et que tu revoies les vidéos.
Suis sur que tu vas y arriver.
Ma fille avait du mal avec les renversement de trois son ... savoir lequel que c'était.
et donc je lui ai dit si tu n'as pas une succession de 3 notes en tierce ce n'est pas un état fondamental.
Si la succession de tierce est que sur les 2 notes du bas c'est le 1 er renversement.
Si c'est les deux notes du haut c'est le second.
Juste pour les puristes , je ne veut pas dire qu'un accord à 3 sons c'est une succession de 2 tierces , c'est une succession de 1 tierce mineur/ majeur et d'une quinte par rapport à la fondamental. Comme le dit Mr Fabre , ce n'est pas idiot de le constater.
En gros , faut vraiment bien voir et revoir les bases. Après c'est que du plaisir ;p !
J'ai repris les vidéos de Mr Fabre y a trois semaines, car tout comme toi j'avais bugué , sur la 7 eme et les renversements.
J'ai eu des déclics en cours de solfège qui me permet aujourd'hui de mieux comprendre. Je ne dis pas que c'est parfait.
Mais suis content de progresser ainsi.
Désolé d'avance pour les fautes d'orthographe.
Math
Je comprends bien les renversements (du moins, pour les accords de 3 sons).
Par exemple, voici à quoi ressemble souvent mes partitions : exemple 1, exemple 2, exemple 3.
Bon, dans le Mozart, je n'ai pas identifié les renversements. Dans le ragtime, on voit les «C/G» et autres.
Du chiffrage en chiffres arabes, je comprends le principe de base, mais c'est quand on arrive à forme simplifiée que je suis perdue.
Et il me manque une étape : quand tu notes les chiffres, tu les notes en inscrivant une note à la base? Genre «Ré 3 5»? Sinon, comment sais-tu? Est-ce simplement que tu prends la note la plus grave, sans la spécifier, et tu écris simplement au-dessus «3 5»? Et puis, tu écris «3 5» même si en fait, l'accord est écrit, supposons, «do sol mi» plutôt que «do mi sol»? Étant donné que c'est la basse qui définit le renversement, ce serait ça la logique, mais du coup, on ne se retrouve pas avec une forme «basse, tierce, quinte», mais plutôt «basse, quinte, sixte» (enfin, la sixte de la quinte, mais je pense qu'il ne faut pas réfléchir comme cela; donc je dirai plutôt «basse, quinte, dixième»); il faut tout ramener à la forme la plus «rapprochée pour obtenir cela».
Et bon, j'ai aussi l'impression qu'on se complique la vie inutilement.
Dire «j'ai un accord de do au deuxième renversement», ça me semble beaucoup plus clair si je dit «C/G», C me disant do = do mi sol, et /G me disant que ma basse est la 3e note de l'accord. Dans un chiffrage «4 6», je dois me poser la question «quelle est la quarte de sol» puis «la sixte de sol» pour ensuite voir que je suis sur un accord de do.
Je pense qu'une partie de mon blocage est là. Je n'ai pas encore compris pourquoi on se complique la vie ainsi.
C'est un peu pour cela aussi que je me suis dit que j'allais poursuivre mon visionnement, en espérant que cette question serait répondue plus loin.
Pour identifier les intervalles écrits, j'ai une autre application sur mon téléphone (que j'utilise beaucoup moins souvent que celle d'identification des intervalles à l'oreille, ce que je trouve beaucoup plus difficile). Les écrire soi-même est par contre un autre exercice intéressant. Je dois souvent me poser la question et réfléchir beaucoup pour savoir si je suis en présence d'un intervalle juste ou non, majeur ou mineur, etc., pour les intervalles autres que la seconde et la tierce. Depuis que j'ai capté que le «triton» est entre la quarte juste et la quinte juste, mça m'aide à retenir que la quarte juste fait 2 tons et demi et la quinte juste, 3 tons et demi. Les septièmes, ce n'est pas si mal : un ton ou un demi sous l'octave. Il reste la sixte en gros.
Les bases théoriques présentées sur ton lien, je les connais assez bien. Je connais mon ordre des bémols et dièses sur le bout des doigts. Et je connais les trucs pour retrouver le nombre d'altérations de chaque gamme (en bémol, il y a un bémol de plus que le nom de la gamme, donc la bémol majeur aura si, mi, la, ré bémols; en dièse, un descend d'un demi ton par rapport à la tonique et on a notre dernier dièse, donc supposons mi, un demi-ton en dessous, on a ré dièse, donc les dièses sont fa, do, sol et ré; il faut seulement retenir par coeur la gamme de fa à 1 bémol, le si. Et pour les relatives mineures, quand j'oublie l'intervalle qu'il faut descendre, je me base sur do. La relative de do majeur est la mineur. De la à do, il y a 1 ton et demi, donc je dois descendre de 1 ton et demi pour retrouver la relative mineure; ou monter d'un ton et demi pour trouver la relative majeure).