Sebos a écrit :En quoi Rachmaninov était-il extravagant?
Il jouait de manière très extravagante, avec beaucoup de passion affichée. Il arrivait à transmettre au public ce romantisme exarcerbé que l'on trouve dans sa musique.
Es gab eine Zeit, wo ich nur ungern über Schubert sprechen, nur Nächtens den Bäumen und Sternen von ihm vorerzählen mögen. [R. Schumann, 1838]
Oui, moi aussi, pour l'exemple, j'avai entendu dire qu'il jouait son troisième concerto avec une passion affichée beaucoup plus retenue que les autres interprètes
La Tache a écrit :Et cette petite-fille est pianiste ou autre chose, ou bien est juste connue pour son ancêtre?
Elle est surtout auteure (cf. http://www.amazon.fr/exec/obidos/ASIN/2 ... 69-9840958Deux ans après le témoignage accablant de son cousin Gottfried, L'Héritage Wagner, paru chez Nil éditions, Nike Wagner a saisi sa plume pour conter les tribulations des héritiers de Richard Wagner, le compositeur allemand mort en 1883. Point névralgique de ce récit : Bayreuth, haut lieu du wagnérisme sis en Bavière, où depuis 1876, l'été venu, on glorifie les opéras de l'illustre aïeul, dans le cadre d'un festival célèbre de par le monde. Lourd héritage que celui de ce temple musical, qui voit toute une famille se déchirer chaque année davantage pour l'accès à un pouvoir sans partage. Passées les périodes du nazisme, qui fit de Bayreuth l'antre d'Hitler, et la reconstruction d'un nouveau "lieu saint" – que Nike Wagner, l'arrière-petite-fille de Richard Wagner, raconte sans jamais manquer de lucidité – vient le temps du passage de flambeau. Wolfgang Wagner, oncle vieillissant de Nike, règne sur Bayreuth depuis 1966. Il s'accroche à son fauteuil, tandis que les candidatures à sa succession s'accumulent. Parmi elles, celle de Nike Wagner, qui prône un Bayreuth plus ouvert, moins conservateur. Mais plus qu'un "livre blanc", ce document est la fantastique histoire d'une famille, sur fond de luttes fratricides permanentes.).
Es gab eine Zeit, wo ich nur ungern über Schubert sprechen, nur Nächtens den Bäumen und Sternen von ihm vorerzählen mögen. [R. Schumann, 1838]
yannis a écrit :
Non, le pianiste qui s'est formé grâce au Hanon et qui était capable de le jouer du début à la fin à un tempo de 220 était RACHMANINOFF !!
Quand je dis que ça tue pas, bien au contraire !
je sors ...
"Je ne cherche qu'à exprimer l'âme et le coeur de l'Homme"