Imaginons qu'il était une fois un vendeur d’enclume qui faisait fuir tous ses clients par sa morgue. A côté de son échoppe, un jeune vendeur d'enclume venait de s'installer. Amène, souriant, il avait de moins belles enclumes, mais tout le monde préférait aller chez lui pour passer un bon moment.
Un jour, le premier entend sur la place du village un cercle d'ami se plaindre de ses manières et de ses prix. Il les écoute, vient les voir et les menace d'agir contre eux s'ils refusent de venir chez lui et continue de lui faire du tort en le critiquant.
La semaine suivante, sur la place du marché, le même groupe d'ami discute de leur derniers griefs contre le vendeur d'enclumes chagrin. Ni une, ni deux, il les menace et les attaque en justice pour les faire taire et les forcer à acheter dans son magasin.
C'est ubuesque !

Quand un client n'est pas content, on ne l'attaque pas en justice ! A la fin, il faudra tout de même comprendre que c'est le client qui a l'argent, donc que c'est lui qui fait vivre un négoce. Si on exige de lui qu'il s'adapte benoîtement, prenne sur lui et ouvre docilement son portefeuille, on le fait fuir ! C'est une vision très basse et matérialiste, mais il ne faut pas oublier que c'est la réalité. Ca marche même pour les profs de piano : ils n'ont aucun pouvoir sur l'élève que celui de lui demander de l'argent. L'élève peut envoyer 30 profs se faire voir, il en trouvera toujours de nouveaux prêts à être payés. La réciproque n'est pas vraie.
Note :
Ce message ne montre aucune mauvaise foi, ne calomnie personne, ne contient que des généralités sur le monde du commerce. « Le client est roi ».
Je suis étudiant. Vous m'aideriez en corrigeant sans négligence les inexactitudes de ce message.