Le Forum, on l'aime ou on le Quitte !Gracou a écrit : Et puis il y a marqué Pianomajeur.net, pas Pianoclassiquemajeur.net!Putschiste! On dirait un dangereux copéïste!
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et tu rends le pain au chocolat !!
Le Forum, on l'aime ou on le Quitte !Gracou a écrit : Et puis il y a marqué Pianomajeur.net, pas Pianoclassiquemajeur.net!Putschiste! On dirait un dangereux copéïste!
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Dans Mozart, je me suis dis plusieurs fois "tiens, on lui avait commandé 3 mouvements, donc il a fait un 3e mouvement "Gracou a écrit : je pense qu'on s'est tous déjà dit au moins une fois: "tiens, ça devient plus léger ici, limite ça casse un peu le truc" )
et ? je l'attendais celle là... encore heureux que j'ai pris la précaution de mettre 4 ou 5 fois "souvent", "pas toujours" etcbernard183 a écrit :"Les artistes qui ont survécu aux siècles avaient une démarche relativement "commerciale", Bach,"
je ne vois pas bien où est la démarche commerciale dans "l'art de la fugue ", par exemple
ou pas ...bernard183 a écrit :il me semble que c'est plutôt ce qui dépasse le coté "commercial", en prise avec la demande des contemporains, qui fait qu'une composition nous touche encore
non je ne vois pas d'ailleurs ce qui te fait penser ça.(Nem) a écrit : Et puis... veux tu dire qu'après Beethoven, il n'y a plus de compositeurs valables ? A partir du romantisme, tout se délite ?
mais tous ! par les jaloux, et certains rétrogrades. On reprochait à Bach "d'improviser trop longuement à l'orgue".(Nem) a écrit :Mozart était critiqué de son vivant...
des critiques sur Chopin, à part des jaloux il ne devait pas y en avoir beaucoup, ça fait partie des auteurs les plus immédiatement abordables pour l'auditeur.(Nem) a écrit : (cf.les critiques sur Berlioz et certainement plein d'autres... y compris Chopin.)
à partir du romantisme, la musique de piano, dans l'ensemble, me fait chier. C'est pas faute d'avoir essayé, je suis rétif et c'est comme ça. Je travaille un Scriabine d'ailleurs, et ça ne s'arrange pas. J'aime bien faire des écarts de 11e, en revanche, voilà, pour le moment c'est tout ce que je trouve intéressant dedans. C'est peut être triste mais c'est comme ça(Nem) a écrit :A partir du romantisme, tout se délite ?
oui, mais je ne vois pas trop le rapport avec le sujet.(Nem) a écrit :Les élèves de Mozart ou Chopin, sauf erreur, c'était pas des prolos
oui, des commandes, et quand on fait une oeuvre de commande on innove mais dans certaines limites. Histoire d'en avoir d'autres.(Nem) a écrit :Beethoven, par exemple, je ne crois pas qu'il comptait sur le succès auprès public pour vivre, c'était plutôt des commandes il me semble - à vérifier.
et moi ça m'étonnerait beaucoup au contraire.(Nem) a écrit :Ça ne m'étonnerait pas qu'il y ait sur terre plus de gens qui apprécient la musique contemporaine aujourd'hui que de gens qui allaient écouter Beethoven à Vienne en 1820.
et ce n'est pas la force qui fait aimer une musique, hélas. Je n'aime pas trop d'ailleurs le mélange des genres, j'ai toujours l'impression qu'on m'a appaté avec Mozart ou Chopin pour mieux me fracasser les oreilles après. Je préfère encore aller écouter du répertoire contemporain de mon plein gré (oui, ça m'est arrivé aussi, et je recommencerai l'expérience, on ne sait jamais).(Nem) a écrit :Si on se limite au concert, il y a des chances pour que l'on se frotte bien plus à la musique contemporaine... de gré ou de force.
faut arrêter là. Quand un mécène payait avec ses propres sous pour une messe des morts, ou une sonate ou quand on payait Bach pour écrire un choral par semaine, ce n'était pas pour obtenir quelque chose de complètement révolutionnaire qui explosait tous les canons de beauté de l'époque. On lui demandait de faire de la musique belle à entendre, dans l'air du temps, avec bien sûr la possibilité d'innover tant que le public s'y retrouve. Ce n'est pas pour autant que Mozart écrivait une musique plate, ou tout le temps consonnante. Je trouve d'ailleurs que c'est lui le vrai maître de la dissonnance, et pas les mecs du 20e siècle qui se sont piqués d'en mettre absolument partout.(Nem) a écrit :Au fond ça n'a pas tellement changé avec aujourd'hui : c'est essentiellement du mécénat...
Aucune oeuvre de commande chez Beethoven.bach_addict a écrit :oui, des commandes, et quand on fait une oeuvre de commande on innove mais dans certaines limites. Histoire d'en avoir d'autres.(Nem) a écrit :Beethoven, par exemple, je ne crois pas qu'il comptait sur le succès auprès public pour vivre, c'était plutôt des commandes il me semble - à vérifier.
La Bataille de Vittoria a été sa seule oeuvre de commande, oeuvre ratée d'ailleurs, et aussi 2 cantates dans sa jeunesse. C'est à peu près tout.Aucune oeuvre de commande chez Beethoven.
il touchait une rente de 3 nobles, avec pour seule contrainte de rester à Vienne.
Il écrivait ce qu'il voulait.
Oui, en 1790, la cantate pour la mort de Joseph II et celle pour le couronnement de Leopold II. Elles n'ont pas été terminées à temps...cris041 a écrit :La Bataille de Vittoria a été sa seule oeuvre de commande, oeuvre ratée d'ailleurs, et aussi 2 cantates dans sa jeunesse. C'est à peu près tout.Aucune oeuvre de commande chez Beethoven.
il touchait une rente de 3 nobles, avec pour seule contrainte de rester à Vienne.
Il écrivait ce qu'il voulait.