[Fil Christof] We will meet again (début du travail)

[acx01b]

Bonjour Christophe, à mon avis sur ces enregistrements le batteur est vraiment pas terrible, et ça donne une grosse marge de progression.

[Philippe Le French]

C'est du live non mixé, et je suppose que vous ne jouez pas ensemble très souvent. Le batteur est trop devant, la basse est un peu "mangée" par les autres instruments. Tout dépends sur on écoute sur ordi, ou sur une barre de son. Malgré tout cela, ben, j'ai super bien aimé ce jazz, avec le seul, le vrai Christof que l'on connait tous, (c'est admiratif) et les autres musicos qui assurent, ça pulse bien, c'est du bon jazz. Donc un grand bravo.

[Christof]

Merci Christof du partage de cet atelier.
Avec tout de suite le ciblage de ce qui peut être modifié en bien.
Sacrée musicienne que Pieternel, l’art de cerner les détails importants pour embellir..
Tu es bien à l’écoute et en plein éveil pour prendre avec rapidité les conseils entendus .
Pas étonnant

Merci Ninoff. Oui, Pieternel entend tout et c'est une super pédagogue. Je suis allé la voir jouer mercredi dernier au Sunside !

Bonjour Christophe, à mon avis sur ces enregistrements le batteur est vraiment pas terrible, et ça donne une grosse marge de progression.

Merci pour ton message acx01b. Oui, tout est toujours perfectible. Il faut dire aussi que l'acoustique de la salle et où était placé le zoom ne donnait pas forcément un son d'écoute optimale pour le batteur...

C'est du live non mixé, et je suppose que vous ne jouez pas ensemble très souvent. Le batteur est trop devant, la basse est un peu "mangée" par les autres instruments. Tout dépends sur on écoute sur ordi, ou sur une barre de son. Malgré tout cela, ben, j'ai super bien aimé ce jazz, avec le seul, le vrai Christof que l'on connait tous, (c'est admiratif) et les autres musicos qui assurent, ça pulse bien, c'est du bon jazz. Donc un grand bravo.

Merci Philippe pour ton message et ton écoute toujours présente.
En fait, on n'avait jamais joué ensemble auparavant. Comme je l'explique dans le dernier message, ce n'était pas évident d'obtenir un bon son mixé... Il aurait fallu être dans un véritable studio d'enregistrement. Mon enregistreur Zoom n'était pas forcément placé au bon endroit.

[Christof]

Morceaux joués hier, lors d'une réunion en visio.

Le travail sur la Gavotte avance, mais quelques trous de mémoires (en fait c'était plutôt de l'inattention) et petites imperfections.
On peut accéder directement aux différents morceau depuis la page you tube.

- 00:00 Gavotte de Rameau (toujours sur le métier)
- 09:26 Musette (Christophe Jacquemin)
- 12:46 Mother (Jacky Terrasson)

Merci pour votre écoute et éventuels messages.

[Nick Borderline]

Morceaux joués hier, lors d'une réunion en visio.

Bravo pour ce beau programme Christof. Bravo pour ton abnégation à maîtriser cette virtuose gavotte.

[Ninoff]

Morceaux joués hier, lors d'une réunion en visio.

Le travail sur la Gavotte avance, mais quelques trous de mémoires (en fait c'était plutôt de l'inattention) et petites imperfections.
On peut accéder directement aux différents morceau depuis la page you tube.

- 00:00 Gavotte de Rameau (toujours sur le métier)
- 09:26 Musette (Christophe Jacquemin)
- 12:46 Mother (Jacky Terrasson)

Merci pour votre écoute et éventuels messages.

Salut Christophe,

Un Mother des grands jours, très émouvant …
Le genre de morceau qui soulève les foule.
Bravo mon ami

[Pos]

Alors j’avais plein de truc à dire et à commenter pendant l’écoute et puis il y a eu Mother.

Et j’ai oublié tout ce que je voulais raconter.

Sublime.

Je crois que c’est vraiment le morceau où je t’entends le plus « entier ». J’ai parfois cette impression qu’il n’y a plus d’instrument et que le son serait devenu ta voix. Lorsqu’un morceau est joué aussi sincèrement, on ne peut pas couper l’écoute avant la fin, j’aurais l’impression de te couper la parole. Merci pour ce très beau moment.

Du coup j’ai même pas envie de parler des autres la, même si je me suis régalée aussi, on aura l’occasion d’en reparler.
Ce matin tous les honneurs sont à Mother

[Christof]

Pardonnez-moi ma réponse si tardive. J'ai un peu déserté le forum ces précédents jours.

Salut Christophe,

Un Mother des grands jours, très émouvant …
Le genre de morceau qui soulève les foule.
Bravo mon ami

Merci beaucoup Ninoff ! L'envie folle de partager en jouant, peut-être est-ce aussi cela qui s'entend ?

Alors j’avais plein de truc à dire et à commenter pendant l’écoute et puis il y a eu Mother.
Et j’ai oublié tout ce que je voulais raconter.

Sublime.

Je crois que c’est vraiment le morceau où je t’entends le plus « entier ». J’ai parfois cette impression qu’il n’y a plus d’instrument et que le son serait devenu ta voix. Lorsqu’un morceau est joué aussi sincèrement, on ne peut pas couper l’écoute avant la fin, j’aurais l’impression de te couper la parole. Merci pour ce très beau moment.

Du coup j’ai même pas envie de parler des autres la, même si je me suis régalée aussi, on aura l’occasion d’en reparler.
Ce matin tous les honneurs sont à Mother

Ouh là là, Sophie, tu vas me faire rougir, ton message me touche tellement ! C'est toujours très important d'avoir le retour des auditeurs sur ce qu'on produit, la façon dont est reçue notre musique.
"il n'y a plus d'instrument et que le son serait devenu ta voix" : c'est le plus beau compliment qu'on ait pu jamais me faire tu sais !

Oui, pour les autres morceaux, on aura l'occasion d'en reparler. Je peaufine toujours la Gavotte, conscient du long travail encore à fournir.
Et je suis vraiment nul : j'ai toujours cru qu'il n'y avait que la Gavotte en tant que telle. Mais je viens de découvrir très récemment que ce morceau fait partie d'une suite beaucoup plus grande, suite en la mineur, magnifique, et je viens de commencer à travailler l'Allemande ! J'aimerais arriver à jouer toute cette suite.

[Christof]

Avec toute mon affection Aurèle.

[Aurele27]

Un grand merci pour cette dédicace qui me touche profondément Christophe.

[Ninoff]

Très belle attention avec ce thème qui revient inlassablement, autant de souvenirs qui remontent à la surface…
Merci Christof

[Christof]

Un grand merci pour cette dédicace qui me touche profondément Christophe.

J'espère avec cette dédicace t'avoir apporté un peu de réconfort.

[Christof]

Très belle attention avec ce thème qui revient inlassablement, autant de souvenirs qui remontent à la surface…
Merci Christof

Tu as eu la même attention.

[Christof]

Trop content : mes cours reprennent à partir de mardi prochain à la Bill Evans Piano Academy.
Dans cette perspective, j'ai commencé à regarder ce magnifique thème de Bill Evans : We will meet again, à partir de la grille suivante :

we will meet again.jpg (100.67 Kio) Vu 39 fois

Le cours se passe ainsi : je prépare à chaque fois une harmonisation que je présente à Etienne, qui va sûrement me dire que certaines combinaisons pourraient être bien plus peaufinées [et rythme encore à revoir d'ici le cours]... Je pose donc cela comme un jalon et suis curieux de voir jusqu'où Etienne va m'emmener.
J'ai aussi commencé à regarder l'impro sur cette grille mais encore beaucoup à travailler car ce n'est pas nickel au niveau de la stabilité du tempo. Un bon coup de métronome ne va pas faire de mal...
Work in progress, comme on dit. [Et pardon pour la pédale qui grince...].

Ce morceau est une valse de 16 mesures composée par Bill Evans en hommage à son frère Harry. La métrique est en 3/4 mais la mélodie enjambe souvent les mesures (une série de « blanches » de la mesure 3 à la mesure 12 donnant une impression de 4/4).
Une première version, inédite à l'époque, avait été enregistrée en 1977 en trio (dans le disque You must believe in spring qui n'est sortie qu'en 1981- Warner Bros Records). Harry Evans s'est suicidé au début de l'année 1979, quelques mois avant l'enregistrement d'une autre version de ce morceau en quintette (qui a donné son nom au disque), avec cette indication portée au dos : "In loving dedication to my late Brother, Harry L. Evans 1927-1929 ".
Morceau prémonitoire... : peut-être que cette mention en 1977 pouvait alors s'entendre comme la conjuration d'un sort que Bill pressentait inévitable.

Merci pour votre passage sur ce fil.



------------------------------------------------------


J'en profite pour présenter aussi ci-dessous ce documentaire "Universal Mind of Bill Evans", tourné en 1966, dans lequel Bill et son cher frère Harry échangent sur la nécessaire qualité autodidacte de la créativité et l'importance de travailler à l'intersection de la clarté, de la complexité et de la spontanéité.

[Naropa]

C'est très beau Christof !
Et je retrouve le mood que Terrasson avait transmis lors de son live à Céret en août dernier…