Merci Quazart pour ton message. Oui ce morceau "Improvisation", le jouer, le jouer, le jouer devant un public. Pour l'instant, je ne l'ai fait que trois fois devant public... Il doit falloir bien plus avant d'être "en béton armé".quazart a écrit : jeu. 12 déc., 2019 17:58 Ce qui me semble un peu étrange tout de même est que la version de la Gavotte que tu as publiée (la gavotte seule, pas les doubles) est bien carrée rythmiquement, même si chaque temps fort devrait être plus marqué. Tu as du travail avec les ornements, c'est sûr, mais je ne vois pas bien en quoi on pourrait lui trouver un côté "romantique" !
Mais tu l'as peut-être jouée différemment !?
Il y a quelques pâtés dans l'Improvisation, oui... mais l'essentiel, le fond du morceau, la musique quoi ! est bien là, comme tu le dis il reste la phase de rodage...
Pour la Gavotte, si tu réécoutes bien au métronome, tu verras que ce n'est pas "béton en place". Les triples de la première mesure, et aussi la durée exacte de la dernière noire. Et dès la 3ème ça décale. Je me reprends après, mais plus loin ce n'est pas ça non plus.
Je pense qu'elle a un peu exagéré exprès en parlant de "côté romantique" (quoique, j'ai un côté un peu toujours romantique dans tout ce que je joue, et c'est sûrement trop) pour que cela me soit plus explicite. Me faire aller chercher ainsi au fond de moi encore plus d'exigence, exigence avec moi-même, pour mieux comprendre cette musique. Parce qu'elle sait, sent, combien j'aime ce morceau. Et si je dois le jouer lors d'une audition, autant que ce soit bien dans l'esprit véritable de cette musique. Sinon, cela ne voudra rien dire.
Et j'ai oublié de vous dire. Maintenant que l'audition est passée et que l'on considère que le McDowell était su (mais je vais continuer à le jouer un peu tous les jours pour bien le conserver dans les doigts), à côté du Mendelsshon et de la Fantaisie en ré mineur de Mozart, déjà pas mal avancés, je vais commencer à voir la Pavane de Fauré.