Le syndrôme du gratuit
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Re: Le syndrôme du gratuit
Je ne prends que les cartes de fidélité qui m'intéressent réellement. Et soit enregistrées au magasin, soit format papier et pas d'adresse mail. Comme ça je suis tranquille.
Et si je n'ai pas besoin, je n'achète pas.
Pour les échantillons, je n'aime pas car les produits ont une compo qui me déplaît ( je fais mes cosmétiques moi-même ).
Je refuse les sacs plastiques depuis....bien avant que ce soit "tendance"
Et si je n'ai pas besoin, je n'achète pas.
Pour les échantillons, je n'aime pas car les produits ont une compo qui me déplaît ( je fais mes cosmétiques moi-même ).
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- VIX
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Re: Le syndrôme du gratuit
Le journal gratuit à l'entrée du metro, je désapprouve. Mais aprés tout, mieux vaut lire ça que tripoter son smartphone..
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Re: Le syndrôme du gratuit
Tiut depend de ce qu'on fait avec son smartphone ! Parfois, les deux se valent
Re: Le syndrôme du gratuit
C'est de l'humour, Le Gorafi est un journal satirique. Franz Kafka est un écrivain célèbre des romains avec des situations très frustrantes comme dans un rêve qui tourne toujours vers la cauchemar : souvent on lit d'une personne qui commence au point A et puis est envoyée au point B qui lui renvoie au point R qui lui envoie donc au point A comme il vient de B (ou quelque chose du genre) et puis il termine dans un autre monde et ça ne se finit jamais, la personne est toujours en train de chercher une chose mais elle est toujours frustrée de son but. On se moque donc que l'admin française a fait le plagiat des situations Kafkaesques.roulroul a écrit : ↑ven. 07 déc., 2018 15:36J' ai visité l' article, je pige rien. Le mec a fait le tour des administrations Françaises et a fait un bouquin avec ? C'est du n'importe quoi...Prague – Connue dans le monde entier pour son incroyable complexité, l’administration française se voit attaquer par les héritiers de la famille Kafka. Selon eux, il y a bien trop de similitudes entre l’univers de l’administration et les ouvrages du célèbre auteur tchèque pour que cela soit un simple hasard.
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Re: Le syndrôme du gratuit
Finalement, il y'a une très grande différence entre le gratuit publicitaire (échantillons, super-remises essayant de vous entraîner dans un parcours du combattant après le moindre achat en ligne) etc. et le gratuit communautaire.
Le gratuit publicitaire m'ennuie au moins autant que Galadrielle.
Le gratuit communautaire a ceci de particulier qu'il met en péril de grands principes économiques et sociologiques occidentaux selon lesquels personne ne ferait rien "gratuitement". On ne voit effectivement pas bien quel est l'"intérêt" des personnes qui contribuent à des sites comme Imslp ou Wikipédia "gratuitement", alors que la majorité utilise ces sites sans contribuer. Thomas Hobbes aurait dit que leur intérêt est d'améliorer l'image qu'ils ont d'eux-mêmes, mais je ne suis pas si convaincu que ça par cet argument.
Le gratuit publicitaire m'ennuie au moins autant que Galadrielle.
Le gratuit communautaire a ceci de particulier qu'il met en péril de grands principes économiques et sociologiques occidentaux selon lesquels personne ne ferait rien "gratuitement". On ne voit effectivement pas bien quel est l'"intérêt" des personnes qui contribuent à des sites comme Imslp ou Wikipédia "gratuitement", alors que la majorité utilise ces sites sans contribuer. Thomas Hobbes aurait dit que leur intérêt est d'améliorer l'image qu'ils ont d'eux-mêmes, mais je ne suis pas si convaincu que ça par cet argument.
- coignet
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Re: Le syndrôme du gratuit
Je ne suis pas convaincu non plus. J'ai participé longuement à l'élaboration de documentation en ligne, mon seul moteur étant le souhait que les données que j'ai fournies soient disponibles.
J'ai également bâti un site Web pour les mêmes raisons.
J'imagine que le fondateur et administrateur de pianomajeur est dans le même état d'esprit.
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Re: Le syndrôme du gratuit
je l'ai déjà dit à de multiples occasions mais ce site, libre de toute pub envahissante est vraiment irremplaçable, merci Malik
on ne réalise peut être pas mais c'est vraiment un luxe gratuit
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Re: Le syndrôme du gratuit
Galadrielle t'ennuie ?
Dans notre merveilleuse société, si quelqu'un fait quelque chose de bien***, on dit qu'il le fait par égoïsme, pour se valoriser, pour se faire du bien à lui, et si quelqu'un fait quelque chose de mal***, on dit que ce n'est pas de sa faute, qu'il ne faut pas le punir parce qu'il n'est pas responsable...JPS1827 a écrit : ↑dim. 09 déc., 2018 2:17Le gratuit communautaire a ceci de particulier qu'il met en péril de grands principes économiques et sociologiques occidentaux selon lesquels personne ne ferait rien "gratuitement". On ne voit effectivement pas bien quel est l'"intérêt" des personnes qui contribuent à des sites comme Imslp ou Wikipédia "gratuitement", alors que la majorité utilise ces sites sans contribuer. Thomas Hobbes aurait dit que leur intérêt est d'améliorer l'image qu'ils ont d'eux-mêmes, mais je ne suis pas si convaincu que ça par cet argument.
C'est parfois décourageant !
*** Évidemment, il reste à se mettre d'accord sur ces notions !
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Re: Le syndrôme du gratuit
Dramatique ambiguïté sur la fonction grammaticale de Galadrielle (ici complément d'objet et non sujet bien sûr, lire : "Le gratuit publicitaire m'ennuie au moins autant qu'il ennuie Galadrielle")
Bon, je fais l'âne pour avoir du son, vous aviez compris…
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Re: Le syndrôme du gratuit
Et bien, parfois on donne juste parce qu'on trouve ça juste. J'estime que j'utilise wikipedia 1 fois par jour au moins, pourquoi ne pas leur donner 10€ de temps à autres ? Pareil pour le navigateur Firefox que j'utilise tous les jours, et qui est quand même le seul navigateur grand public qui ne vous espionne pas tout en fonctionnant très bien.
Autre comparaison : donner de l'argent à un mendiant dans le métro, on n'y gagne rien mais ce que les gens oublient parfois, c'est qu'on ne perd pas grand chose non plus (je parle pour ceux qui vivent décemment bien évidemment). On m'a déjà fait cette remarque "tu donnes à des mendiants mais tu ne sais pas où va l'argent, si ça se trouve il va aller s'acheter de l'alcool, ou alors ton argent va aller dans les mains de la mafia". Je réponds que de toute manière cela ne changera pas ma vie, que je ne verrai pas la différence à la fin du mois (1€ de moins à la fin du mois c'est pas grand chose pour un cadre célibataire sans enfant), en revanche ça pourra peut être changer la sienne, au moins pour 1 demi-journée.
Ma chaine youtube : http://www.youtube.com/MrBigrounours
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Re: Le syndrôme du gratuit
Oui je fais à peu près le même raisonnement en me disant qu'il a beaucoup plus besoin d'1 ou 2 euros que moi.bigrounours a écrit : ↑lun. 10 déc., 2018 13:02 Autre comparaison : donner de l'argent à un mendiant dans le métro, on n'y gagne rien mais ce que les gens oublient parfois, c'est qu'on ne perd pas grand chose non plus (je parle pour ceux qui vivent décemment bien évidemment). On m'a déjà fait cette remarque "tu donnes à des mendiants mais tu ne sais pas où va l'argent, si ça se trouve il va aller s'acheter de l'alcool, ou alors ton argent va aller dans les mains de la mafia". Je réponds que de toute manière cela ne changera pas ma vie, que je ne verrai pas la différence à la fin du mois (1€ de moins à la fin du mois c'est pas grand chose pour un cadre célibataire sans enfant), en revanche ça pourra peut être changer la sienne, au moins pour 1 demi-journée.
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Re: Le syndrôme du gratuit
Très joli ton texte, Galadrielle ! Faut-il croire, parce que sa lecture est gratuite, qu'il ne vaut rien ? Et le clip de Bernard 183 avec nuages et coups de tonnerre, et les conseils de piano majeur ? Tous gratuits.
L'abonnement à la bibliothèque ? - Gratuit.
Les podcasts de France culture, les livres dans les boites à livres, les tutots et les conférences de you tube ? - Gratuit.
Les rivières fraîches entre les falaises et les petits bateaux faits avec des écorces et des bâtons ? -Gratuit
Quelle abondance toute ces choses gratuites. Non, il ne faut pas en dire trop de mal !
Pourquoi y a-t-il des choses gratuites dont nous n'abusons pas et d'autres que nous accumulons, dont nous nous empiffrons ? Est-ce que cela a trait à leur caractère gratuit ou bien au fait qu'elles auraient du être payantes ? J'ai vu des gens se gaver dans un buffet à volonté ; je n'en ai jamais vu boire à se faire éclater auprès d'une source.
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Quelle abondance toute ces choses gratuites. Non, il ne faut pas en dire trop de mal !
Pourquoi y a-t-il des choses gratuites dont nous n'abusons pas et d'autres que nous accumulons, dont nous nous empiffrons ? Est-ce que cela a trait à leur caractère gratuit ou bien au fait qu'elles auraient du être payantes ? J'ai vu des gens se gaver dans un buffet à volonté ; je n'en ai jamais vu boire à se faire éclater auprès d'une source.
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Re: Le syndrôme du gratuit
Oui, il ne faut pas mettre tout ce qui est gratuit dans le même sac.
Entre un logiciel open source ou un logiciel gratuit avec options payantes (et encore, ça ne me dérange pas si le logiciel est vraiment fonctionnel dans sa version gratuite et non qu'on n'essaie pas de te faire croire que tu peux t'en servir alors qu'en fait, non), et surtout, entre ça et un site comme Facebook!...
Quant aux cartes fidélités, effectivement, il y en a beaucoup trop.
J'avoue personnellement ne prendre que celle de l'épicerie. Après tout, ça ne me dérange pas que l'épicerie fasse des études sur ce que je mange et comme il faut bien manger, avoir des rabais sur des produits que j'achèterais de toutes façons, je trouve ça plutôt gagnant.
Sinon, il y a un café où j'allais à une certaine époque qui proposait un code fidélité plutôt qu'une carte. J'avais vraiment trouvé l'idée sympa! Ça n'encombre pas ton portefeuille et tu choisis ton code. Moi, j'avais simplement pris les 4 derniers chiffres de mon numéro de téléphone.
Bref, faut en prendre et en laisser, dans tout. Mais il faut éviter de tout mettre dans le même panier. Tout ce qui est gratuit n'est pas mauvais.
Entre un logiciel open source ou un logiciel gratuit avec options payantes (et encore, ça ne me dérange pas si le logiciel est vraiment fonctionnel dans sa version gratuite et non qu'on n'essaie pas de te faire croire que tu peux t'en servir alors qu'en fait, non), et surtout, entre ça et un site comme Facebook!...
Quant aux cartes fidélités, effectivement, il y en a beaucoup trop.
J'avoue personnellement ne prendre que celle de l'épicerie. Après tout, ça ne me dérange pas que l'épicerie fasse des études sur ce que je mange et comme il faut bien manger, avoir des rabais sur des produits que j'achèterais de toutes façons, je trouve ça plutôt gagnant.
Sinon, il y a un café où j'allais à une certaine époque qui proposait un code fidélité plutôt qu'une carte. J'avais vraiment trouvé l'idée sympa! Ça n'encombre pas ton portefeuille et tu choisis ton code. Moi, j'avais simplement pris les 4 derniers chiffres de mon numéro de téléphone.
Bref, faut en prendre et en laisser, dans tout. Mais il faut éviter de tout mettre dans le même panier. Tout ce qui est gratuit n'est pas mauvais.
Mon parcours musical, du jour 1 (février 2016), avec ses hauts et ses bas. ;)
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Re: Le syndrôme du gratuit
Dans mon magasins bio (et d'autres ) je suis inscrite mais pas de carte. Je donne mon nom et au bout d'un moment j'ai une réduction mais sur la somme globale. Donc j'achète ce que je veux. Et comme je me fournis régulièrement là-bas en alimentation, j'y trouve mon compte sans être poussée à l'achat.
Re: Le syndrôme du gratuit
Il ne se passe pas une semaine sans qu'on m' offre 15 jours de télé normalement payante, après Mezzo, les chaines de sports, et en ce moment Ushuaïa TV. Sans doute que les directeurs de chaine et les opérateurs internet offrent ce type de prestations dans l' espoir que je m' abonne.
Peine perdue, je suis un peu en froid avec la TV, je la regarde de moins en moins surtout les chaines d' infos, les chaines généralistes ( a part de rares exceptions avec des émissions instructives sur les chaine publiques ).
Autrement j' ai beau chercher, presque rien n'est gratuit, sauf ce forum sur lequel je tape mes âneries, comme quelqu'un l' a déjà souligné, et quelques gestes vraiment désintéressés, qui font autant plaisir a soi qu' a autrui, comme récemment, aider quelqu'un en panne de voiture avec des pinces de demarrage, un mal voyant a traverser la rue, ou filer un paquet de purée, et une boite de cassoulet a une assos caritative.
Peine perdue, je suis un peu en froid avec la TV, je la regarde de moins en moins surtout les chaines d' infos, les chaines généralistes ( a part de rares exceptions avec des émissions instructives sur les chaine publiques ).
Autrement j' ai beau chercher, presque rien n'est gratuit, sauf ce forum sur lequel je tape mes âneries, comme quelqu'un l' a déjà souligné, et quelques gestes vraiment désintéressés, qui font autant plaisir a soi qu' a autrui, comme récemment, aider quelqu'un en panne de voiture avec des pinces de demarrage, un mal voyant a traverser la rue, ou filer un paquet de purée, et une boite de cassoulet a une assos caritative.
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Re: Le syndrôme du gratuit
Ah oui, ce genre de «gratuit» me pue au nez. Tout ce qui est «période d'essai gratuite», sauf si vraiment, on est intéressé à payer pour le produit, auquel cas il est bien de pouvoir se faire une idée avant. L'application sur laquelle je me suis entraînée pendant un moment pour ma formation auditive suivait ce format. J'ai téléchargé l'application gratuite, qui ne donnait accès qu'au premier module. C'était suffisant pour me laisser voir que l'application fonctionnait bien sur mon téléphone et répondait à un besoin. J'ai acheté (4,50$; ce fut bien investi). J'ai essayé d'autres applications sur le même modèle qui ne m'ont pas plu, où j'ai remarqué des problèmes et donc où je n'ai pas acheté. J'étais bien contente de pouvoir me rendre compte des problèmes avant un achat.
Là où ça me pue vraiment au nez, mais alors vraiment, c'est quand on te donne un truc gratuit, mais que tu dois te désabonner toi-même, sous peine de te voir facturé par la suite.
Ça m'est arrivé pas plus tard que la semaine dernière. Je me suis résolue à m'acheter un nouveau téléphone (ça fait un an que je reporte. La semaine dernière, mon alarme ne s'est pas déclenché et j'ai reçu un appel sans jamais que le téléphone ne sonne... je me suis dit que je ne pouvais plus reporter). En boutique, par défaut, on me dit «tel téléphone est gratuit avec un forfait à X$/mois!». Je fais au gars «tu me proposes un forfait 25$ plus cher que mon forfait annuel pour me donner un téléphone gratuit? Ton forfait est sur 2 ans... propose moi donc un téléphone neuf, que je paierai, qui coûte moins de 400$. Ça va être pas mal plus avantageux pour moi!». Mais évidemment, ce n'est pas ce qu'ils proposent pas défaut... j'en ai pas besoin de ton forfait à la con.
Et ensuite, il me dit que j'ai une protection gratuite pour le premier mois pour faire remplacer mon téléphone s'il arrive quelque chose. Mais à partir du 2e mois, c'est 10$/mois. Et évidemment, c'est moi qui doit appeler pour retirer cette protection pour éviter qu'on me facture (d'ailleurs, j'ai encore 3 semaines pour faire ça). L'attrape-nigaud... c'est clair que la majorité des gens vont continuer à payer le truc dans le vide pendant un moment. Je trouve ça tellement arnaqueur!
Là où ça me pue vraiment au nez, mais alors vraiment, c'est quand on te donne un truc gratuit, mais que tu dois te désabonner toi-même, sous peine de te voir facturé par la suite.
Ça m'est arrivé pas plus tard que la semaine dernière. Je me suis résolue à m'acheter un nouveau téléphone (ça fait un an que je reporte. La semaine dernière, mon alarme ne s'est pas déclenché et j'ai reçu un appel sans jamais que le téléphone ne sonne... je me suis dit que je ne pouvais plus reporter). En boutique, par défaut, on me dit «tel téléphone est gratuit avec un forfait à X$/mois!». Je fais au gars «tu me proposes un forfait 25$ plus cher que mon forfait annuel pour me donner un téléphone gratuit? Ton forfait est sur 2 ans... propose moi donc un téléphone neuf, que je paierai, qui coûte moins de 400$. Ça va être pas mal plus avantageux pour moi!». Mais évidemment, ce n'est pas ce qu'ils proposent pas défaut... j'en ai pas besoin de ton forfait à la con.
Et ensuite, il me dit que j'ai une protection gratuite pour le premier mois pour faire remplacer mon téléphone s'il arrive quelque chose. Mais à partir du 2e mois, c'est 10$/mois. Et évidemment, c'est moi qui doit appeler pour retirer cette protection pour éviter qu'on me facture (d'ailleurs, j'ai encore 3 semaines pour faire ça). L'attrape-nigaud... c'est clair que la majorité des gens vont continuer à payer le truc dans le vide pendant un moment. Je trouve ça tellement arnaqueur!
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Re: Le syndrôme du gratuit
Juste pour info, pour les cartes de fidélités des grandes surfaces, leurs retours sur investissement ne se fait pas avec la pub (mineur si on peut dire), mais avec les donnés que vous leurs fournissez, ils savent exactement ce que vous avez achetés. Et ça c'est hyper important pour eux. De même que je suis quasiment sur que les douchettes qu'on vous propose, permet de suivre votre déambulation dans la grande surface. De cette façon ils peuvent plus facilement savoir si pour le produit X il y a 10, 100 ou 1000 personnes qui se sont arrétés devant.Arabesque44 a écrit : ↑ven. 07 déc., 2018 11:12 Dans le même ordre d'idée, je refuse catégoriquement les "cartes de fidélité" (gratuites!) des magasins. Sous prétexte d'obtenir des "points" lors des achats, en vue d'une hypothétique remise ou chèque cadeau, il faut supporter une attente supplémentaire aux caisses, et une invasion de pub par e-mail ou SMS. Publicités d'autant plus détestables qu'elles sont ciblées en fonction de nos achats précédents!
Passe encore pour la F..C ( qui ainsi sait comme vous que j'aime - entre autres-Bach et Schumann...et me propose la dernière nouveauté) ou D...N qui sait que je pratique la course à pied et me prodigue des conseils pas forcément débiles, mais pas question que C...R me piste suite à mes achats de chocolat ou de papier toilette
En plus ça encombre le portefeuille!
D'ailleurs toutes la galaxy Google/Android/Facebook/etc. fonctionnent sur ce principe. Le service est gratuit, mais c'est sur vos données qu'ils gagnent des sous.
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Re: Le syndrôme du gratuit
C'est évident et, il me semble, assez connu.
Enfin, ça vaut la peine de le rappeler pour ceux qui l'ignoreraient.
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Re: Le syndrôme du gratuit
D'où le célèbre résumé : "du moment que c'est gratuit, c'est que c'est vous le produit"
Qui ne s'applique toutefois pas au gratuit collaboratif (logiciels open-source etc.)
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