ce que la société attend de nous...

[roulroul]

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[Lazur84]

Je trouve ça courageux (et peut-être un peu provocateur) d’évoquer ces vénérables sociologues que sont les Pinçon-Charlot sur PM. C’est une lecture que j’avais trouvée… dépucelante ! et qui m’avait bien décillée sur les stratégies de la grande bourgeoisie à maintenir ses intérêts. J’ai pensé très fort à eux en écrivant mon message mais je me suis retenue, préférant adopter une tonalité bon teint qui ne froisserait personne ; vœu pieux, certainement, car chacun aura deviné les « remous » qui m’animent sur notre société. Pas facile, même impossible d’espérer être neutre politiquement quand on intervient sur un tel sujet.
Une chose amusante que je constate, c’est que j’ai toujours été « contre » dans ma tête, par principe, par attitude de pensée, et bien avant l’adolescence, sur des choses importantes et aussi sur pas mal de broutilles, mais que dans les actes, je me découvre toujours très raisonnable et désespérément consensuelle : un fond de bonne éducation, peut-être, et sans doute beaucoup de lâcheté… pour répondre au sujet de Galadrielle, je crois bien que sur bien des points, je fais très exactement ce que la société attend de moi, parce que fondamentalement, j’ai très peur de me marginaliser.
Pour ces raisons, j’ai une profonde admiration pour les gens engagés.

Ma voiture, une 205 qui roule aussi à l'essence et non au diésel, est de 1992 et vient encore de passer avec succès le contrôle technique ; elle n'est pas polluante mais elle n'a plus le droit de pénétrer dans Paris en semaine, sauf nuitamment, et sera probablement bientôt interdite de circulation dans toute la couronne parisienne.

Ah ça me donne de l'espoir pour ma toute jeune Twingo de 1995 (qui a encore sa "pastille verte" de l'époque sur le pare-brise, je la garde religieusement) de passer le CT en juin prochain alors.
Une voiture presque neuve, ça me ferait mal de la jeter parce que les """écolos""" ont dit, et la société derrière aussi puisque c'est le sujet (mais je me fous de la société, ou plutôt du gouvernement que je méprise cordialement), que détruire des voitures comme celle-là (qui doit bouffer 5 l d'essence au 100 Km à fond vent de face) et en acheter des neuves c'était bien pour la planète et la nature.
Et tant pis pour la circulation dans Paris, je m'en passe
(même si bientôt je pense que je ne pourrais même plus circuler dans ma banlieue non plus, ils vont réussir à gagner, tant pis j'achèterai un gros 4x4 moderne de 3 tonnes à la place).

BM

Oui, puis ce n'est pas comme si les constructeurs trichaient sur leurs tests d'émissions de CO2...
Bon, contente de constater que ma voiture est une jeunesse (tout juste 17 ans) ! je fais petite joueuse à vos côtés.

[roulroul]

Je viens de mater sur Youtube des ricains qui font des concours de pollution avec des gros 4x 4 Ford, qui fument tout noir, c'est pas malin de leur part, limite gros con, et j' avoue, c'est pas plus malin non plus de regarder des trucs comme ça, mais voila ce qui arrive, quand on casse les c....a tout le monde, en leur parlant faussement d' écologie, avec des arguments cons(*), on peut obtenir finalement l' effet inverse.
(*) deux fois ce mot dans le même post, c'est limite.

[Galadrielle]

Juste un truc qui m'a fait sauter au plafond: les écoles privees et les pensionnats n'ont jamais été pour les élèves à problèmes. S'il est exact que certains etablissements privés étaient et sont spécialisés dans ces "cas" c'est loin de la majorité . Rien que pour y entrer, les parents doivent pouvoir financer mais si l'élève ne passe pas les tests

Décidément on a du mal à être d'accord
C'était le cas du lycée privé près de mon lycée public, ce dernier était jugé de meilleur niveau, mais dans le privé l'encadrement était plus important donc c'était mieux pour les élèves avec des difficultés.
Mon mari était dans la même situation, lui était dans un bon public (meilleur que moi, en région parisienne) et les établissements privés voisins étaient plutôt pour les élèves qui avaient du mal dans le public (et dont les parents avaient un peu de fric...). Alors bien sûr ce n'était sans doute pas une généralité mais cela existait.

[bernard]

c'est marrant , à mon époque, c'était les mauvais élèves qui allaient dans le privé, ceux qui ne bossaient pas assez au collège où au lycée, ils se retrouvaient dans des cours privés payés par papa/maman, si les parents ne pouvaient pas payer le lycée privé c'était le cours Pigier ( pour faire secrétaire ou aide-comptable) et la grande majorité c'était lycée professionnel ou bien apprenti
au lycée public la mixité sociale était présente ( j'enjolive peut-être le tableau là ) et ne posait aucun problème, heureuse époque

[Koll]

c'est marrant , à mon époque, c'était les mauvais élèves qui allaient dans le privé, ceux qui ne bossaient pas assez au collège où au lycée, ils se retrouvaient dans des cours privés payés par papa/maman, si les parents ne pouvaient pas payer le lycée privé c'était le cours Pigier ( pour faire secrétaire ou aide-comptable) et la grande majorité c'était lycée professionnel ou bien apprenti
au lycée public la mixité sociale était présente ( j'enjolive peut-être le tableau là ) et ne posait aucun problème, heureuse époque

Effectivement c'étaient les mauvais élèves qui allaient dans le privé.
La voie royale était le lycée public en section classique (avec latin) voire moderne (mais un peu moins, avec souvent passage au lycée technique en seconde).
Les autres allaient au CEG (collège d'enseignement général), voire au CET (collège d'enseignement technique, parfois après le "cours supérieur" et la "fin d'études" en primaire, qui menaient aussi à l'apprentissage).
Ceux de CEG pouvaient tenter, pour les meilleurs d'entre eux, un passage au lycée en moderne, en 4ème. Après c'était trop tard puisque la seconde langue n'était enseignée qu'au lycée. Ils pouvaient aller, après la 3è, au lycée technique (une seule langue vivante).
Cela a changé avec la réforme Haby qui accueillait, à partir de 1976, tous les élèves en CES (collège d'enseignement général), avec un enseignement commun, sauf pour les 6è/5è de transition, puis CPPN (classe préprofessionelle de niveau) puis CPA (classe préparatoire à l'apprentissage, avec alternance patron/école tous les 14jours).
Il y avait encore une orientation en CET après la 5ème.
Tout a changé en 1997 avec Allègre, le destructeur de l'école publique, celui qui ne voulait plus entendre prononcé (par les profs sans doute ?) le mot "silence", et autres joyeusetés.
Pourtant je pense qu'on travaille mieux dans le silence en classe, ce qui n'empêche pas d'avoir des dialogues entre élèves et prof/élèves.
Jumeler une massification de l'enseignement avec un rejet de la discipline, du goût de l'effort, de l'apprentissage des règles (grammaire, conjugaisons, orthographe : comme le solfège, c'était devenu interdit...), du "par cœur" (pour les récitations et le théâtre c'est pourtant mieux)...c'est sûr que ça n'apporte pas que du bon !
Et de là, ce fut le passage d'une partie des bons élèves dans le privé pour s'échapper de certains établissements devenus des bazars...
Pour y entrer il y a une sélection très rigoureuse. Autre point, au bac, certains de ces établissements présentent seulement leurs meilleurs élèves, les autres passant l'examen en candidat libre : on comprend pourquoi les 100% de réussite...

[Terpsichore]

Mais c'etait quelle époque ??
Jetais dans le privé (les années 80) et c'était selectif aussi par le niveau.
Mes parents idem dans les années 50/60 sauf ma mère de 8 à 14 ans mais école publique un peu spéciale avec horaires aménagés donc très peu d'élèves par classes et ça change la donne.

[bernard]

j'ai passé le bac en 72

[Koll]

Je parlais de la région parisienne, années suivant la guerre jusqu'à la réforme haby de 76, que je décris ensuite.
Il est possible qu'en province, il y eut des écoles privées de bon niveau car les parents y mettaient leurs enfants pour des raisons religieuses. A Paris ça existait aussi.
On voyait la concurrence public/privé surtout pour cela.
Mais la majorité des écoles privées, c'était pour y mettre les cancres qui se faisaient virer d'un peu partout, ou des élèves ayant échoué à l'entrée en 6è ou encore en seconde : il y avait un examen d'entrée en 6ème...

[Jerome.A]

vous parlez souvent d'établissement hors contrat ds ce cas. Pour moi également le prive était assimile soit a l échec ds le système public soit une éducation religieuse.

[Terpsichore]

J'ai fait mes études en Ile-de-France en établissement privé sous contrat et religieux.
Et ceux qui n'avaient pas le bon dossier n'entraient pas.
Au cp, ceux qui ne correspondaient pas au niveau attendu redoublaient parfois mais etaient le plus souvent non admis à continuer (en langage clair, ils étaient virés ).
C'est d'ailleurs en grande partie ce qui avait motivé mes parents à m'inscrire.
En sixième, il y avait un gouffre entre les élèves issus de prives similaires et ceux venant du public même s'ils avaient réussi les tests d'entrée.



Mais oui, il est exact qu'il y a aussi des établissements privés sous ou hors contrat qui sont spécialisés dans les élèves "irrécupérables" j'en ai connu et ils étaient dans des établissements parisiens connus pour ça.
La même chose en province.

[coignet]

J'ai été dans le privé à Avignon pour avoir été viré de l'éducation nationale alors que j'avais passé l'âge de la scolarité obligatoire, en première.
Il est évident que dans l'établissement où j'étais, qui récupérait quelques cas sociaux argentés (quelques immondes cancres qui roulaient en voiture offertes par les parents en même temps que le lycée privé), le niveau était moins bon qu'au lycée public où était ma sœur.

[roulroul]

Moi, roulroul :
Période 60s, époque Lennon / Mc Cartney,
Scolarité dans une école de Picardie, stricte, ou a la moindre insolence on prenait une baffe, ça rigolait pas. Je me souvient d' un poêle a bois, de parties de foot a la récré, et de quelques bagarres dans la rue déserte a la sortie de l' "étude", le soir. Et du mercurochrome tout rouge avec des énormes pansements. Sinon, a part ça, pas grand chose, si, j' était pas trop mauvais en grammaire, a l' époque, le reste, bof...
Après le CEG en 6eme, alors la, la décadence, enseignement chiant au possible, sans relief, j' étais bordélique, quelques castagnes dans les coins isolés a la récré, mais bizarrement pas de méchanceté, cours de dessin pourris, cours de musique d' un ennui a mourir, le sport on me forçait a faire du basket, un vrai sport de gonzesses (*), bref pas terrible, et après la 3eme, un CAP en trois ans, qui m' a permis de faire une carrière modeste dans la territoriale, a l' époque, y avait pas besoin d' un CV de 6 pages.

Mon Fils :
Dans les années 2000, après une scolarité en primaire sans histoire ( au sens figuré ) dans une école rurale d' Ile de France, nous avons décidé
d' inscrire notre fils en école privée catho des la 6eme, bien que sans religion de nature, on ne nous a jamais posé de question a ce propos.
Pas de test a l' inscription a l' école, on se souvient avoir fournir un relevé de notes, mais on a su par la suite qu'ils prenaient même les élèves disons moyens. Les principales raisons ? Le bouche a oreille comme quoi l ' école n' était pas mal du point de vue enseignement, les classes et les séjours linguistiques, et les journées complètes strictement aucune sortie avant 17 h 00, et a la moindre anomalie, un sms.
(*) c'est ce qu'on disait, il faut croire que certains ados étaient déjà cons, à l' époque.

[leLama]

J'ai été dans le privé à Avignon pour avoir été viré de l'éducation nationale alors que j'avais passé l'âge de la scolarité obligatoire, en première.

Oh, j'aurais pas deviné un tel parcours chez toi. Simple desinteret pour les etudes a cette epoque ou bien tu avais frappé a sang le gars qui t'avait piqué ton disque de Lipatti ?

[Serge]

Mon école privée c'était Un univers carcéral tenu par des psychopathes. Baffes, coups de règles degré zéro de la pédagogie, bourage de crâne au pied de biche.... étant gaucher et dyslexique, mes dictées quotidiennes à la plume étaient truffées de fautes et de tâches d’encre. Une fois j’ai même été privé de recré pendant des mois, pour recopier convenablement 50000 fois le mot « phrase » ... chaque année il y avait un examen de passage, fin de 6 eme je fais zéro faute à ma dictée... incroyable! On m’accuse d’avoir triché ( ce qui était faux), et je me fais virer!

Quand je vois l’évolution avec mes enfants qui sont allés dans le public, la qualité et la bienveillance des profs... il y a quand même un domaine où les choses ont bien évolué!

[jean-séb]

Il y a visiblement une grande variété d'expériences dont il me paraît difficile de tirer des conclusions générales. Pour ma part, j'ai connu le public et le privé et mon passage dans le privé (collège Stanislas à Paris) n'a été marqué que par la grande qualité de l'enseignement et des maîtres. Du public, j'ai connu le meilleur en prépa (deux années formidables au Lycée Saint-Louis) ou dans le primaire avec des maîtres très dévoués (Madame Loreille en 10e et Monsieur Cassina en 8e), mais aussi le pire en primaire, où j'ai dû subir en 7e la haine et les brimades d'un maître qui m'avait pris en grippe parce que le directeur m'avait fait sauter la classe de 9e tenue par sa femme ! Sans parler, la même année, du prof de gym sadique qui m'avait foutu une fessée cul nu devant les autres élèves pour une bêtise dont je n'étais même pas responsable.

[Abegg63]

Moi j’étais dans le privé; En primaire l’établissement était encore tenu par les soeurs. Au fur et à mesure des années elles ont progressivement été remplacées par des « civils ».
Pas de mauvais trraitements mais un manque absolu de bienveillance. C’était une pension, pas question, d’attendre des marques de tendresse ou de réconfort.
Par contre musique obligatoire! Pour tout le mondje doué ou pas et jusqu’en fin de collège.
Sans ça je n’aurais sûrement jamais touché un piano de ma vie.
Au lycée j’étais dans le public, je ne peux pas dire si l’un ou l’autre était meilleur, ça dépendait des profs mais dans le public on était quand même bien plus livrés à nous-mêmes

[Galadrielle]

... j'ai personnellement fait toute ma scolarité dans le public; école primaire avec un instituteur très élitiste, ce qui en un sens m'allait bien, parce que j'étais bien en tête de la classe; mais ce qui, en fait, me desservait beaucoup vis à vis des autres, qui m'ont harcelée sans retenue. J'étais vraiment très très naïve car je ne voyais pas le lien de cause à effet...!
Au collège, en 6ème et en 5ème j'avais des classes tellement turbulentes que je n'ai rien foutu. Les profs étaient plus ou moins bien... c'était très variable... j'avais une enseignante en français remarquable, qui nous a consacré beaucoup de temps pour que nous montions une pièce en fin d'année, le Médecin Malgré Lui. C'était super. Je ne me souviens d'aucun autre cours!
Le lycée ça allait; je suis devenue un peu plus intégrée, un peu plus ado normale, donc déjà c'était un progrès; et c'était moins le foutoir dans les classes. En prépa je me suis pris la claque de la différence de niveau entre ma terminale de province, et la prépa renommée la plus proche (au Parc à Lyon). j'en ai un souvenir épouvantable. Les profs n'étaient pas forcément malveillants; mais les annonces à voix haute des classements à chaque devoir... ils ne faisaient que refléter un système, ces profs; ce qui est le plus étonnant c'est que la plupart ne semblaient même pas spécialement intéressée par ce qu'ils enseignaient. Pourtant, j'aimais vraiment les maths, et j'ai été très déçue par les maths de prépa et la façon dont on nous en bourrait le crâne. A part certains aspects comme la topologie qui m'ont vraiment plu, le reste, eh bien ça ne passait pas, et j'ai même développé une sorte de résistance par rapport à la façon dont on était supposé travailler (je n'ai jamais pu me forcer à refaire un exercice, à bachoter comme certains). Ce n'était pas une bonne stratégie, j'aurais mieux fait mais voilà.
C'est intéressant comme les expériences de chacun diffèrent, et d'ailleurs, même dans un même contexte, les ressentis diffèrent beaucoup; j'ai revu récemment quelques camarades de math spé dont certains avaient gardé un bon souvenir de la chose... (surtout, en fait, des internes qui rigolaient beaucoup, donc il est vrai que c'est particulier... à l'époque il n'y avait pas d'internat pour les filles au parc. J'étais dans un "foyer de jeunes filles" tenu par des soeurs. C'était horrible cet endroit.)
Voilà ma petite expérience de la scolarité!

[JPS1827]

Et puis, les Pinçon charlot sur PM, je ne pensais pas que je verrai ça un jour. Bientôt Franck Lepage et Fréderic Lordon ?

Mais ce sont des sociologues, pas des politiques.
Peut-être faudrait-il aussi les brancher sur la sociologie du piano...

En tout cas les Pinçon-Charlot mettent le doigt sur un vrai problème qui n'est nullement un problème de "pédagogie", n'en déplaise à nos gouvernements. Et il y longtemps que je lis les billets de Frédéric Lordon, qui malheureusement ne font pas beaucoup avancer le schmilblick, quoique je sois à peu près d'accord avec tout ce qu'il dit. De toutes façons nous courons à notre perte à cause d''un système capitaliste qui a un comportement de toxicomane (essayez donc de demander à un toxico ou à un alcoolique de modérer sa consommation…), qu'on ne peut qu'observer qu'avec de plus en plus de tristesse.

Un petit rappel pour Roulroul et Galadrielle à propos des écoles privées : dans mon enfance, l'expression "il est dans un cours privé" s'appliquait essentiellement à de mauvais élèves dont l'enseignement public (qui était alors considéré comme de bien meilleure qualité) ne voulait plus. Je ne me pardonne pas de faire partie de la génération qui tout saccagé ainsi… mais heureusement mon piano s'améliore sans cesse en proportion de mon dégoût global.

[roulroul]

Un petit rappel pour Roulroul et Galadrielle à propos des écoles privées

Bah je n' ai fait que je pensait juste a l' époque, d' ailleurs pourquoi chercher à opposer les systèmes / privés / publics ? Les 2 ont leurs points forts, et leurs inconvénients. Je ne suis pas un ennemi des services publics, et pour cause : presque 40 ans de travail dans la fonction publique, ça laisse des traces, on n'en sort pas indemne, constamment dézingué par les médias, effectifs réduits jusqu' a fermer des services, et des vieux rossignols comme outils et des camions qui démarrent pas pour bosser, vite et mal, mais bon je suis pas le seul.
Ce que tu dit est vrai a propos du système capitaliste, tel qu'il de présente actuellement, il va falloir se calmer sur notre manière de consommer
( la, je m' adresse a la terre entière, moi inclus), sinon on va finir par niquer notre planète, si ce n'est déjà fait, en moins d'un demi siècle, alors qu'il aura fallu des millions d' années pour la façonner.
Mais bon je ne sais plus qui ici a dit qu'on pourrait remplir des pages entières sur le sujet, j' agis a ma petite échelle, j' essaie de faire gaffe en consommant, et d' ailleurs j' ai décidé de faire la gueule et de bouder dans mon coin pour les achats de Noël, comme expliqué plus haut,
et pour d' autres raisons.