Vos lieder/mélodies/art songs/... préférés à faire découvrir

[pianojar]

Une petite émission avec la soprano canadienne Karina Gauvin
http://www.franceinter.fr/emission-lhum ... ina-gauvin

[pianojar]

Denise Duval
http://www.francemusique.fr/actu-musica ... enc-120667
https://www.youtube.com/watch?v=0rVLnQvF6FA

[Kât]

Ma première rencontre avec cette œuvre m'avait vue rester sur le bord du chemin... Redécouverte un peu par hasard aujourd'hui, je crois que c'était le bon moment.... ce premier air me laisse pétrifiée....

Elektra - Strauss -"Allein!"

[pianojar]

En fait c'était plus pour le personnage que pour l'oeuvre que j'avais mis le lien

[Kât]

Je parlais d'Elektra, Pianojar, pas de "La voix humaine" qui effectivement me laisse de glace!
J'ai pour ma part réécouté le "Dialogue" dans la version où Duval est accompagnée de Crespin, ce Salve Regina final me laissera toujours les larmes aux yeux. Il n'est pas sur YT, j'essaierai de le poster à l'occasion.

[pianojar]

Découvert dans l'émission "sacrées musiques" ce W-E l'oratorio de Ralph Vaughan Williams : Sancta Civitas
J'ai aimé de manière inégale avec de très beaux moments mais sans doute l'oeuvre nécessite-t-elle plus d'une écoute pour l'apprécier complètement
https://www.youtube.com/watch?v=Q6ex6OJZJ9E

[pianojar]

https://www.youtube.com/watch?v=JHM3zMBQxTQ

DVORAK Song to the moon
Sans doute un tube mais je ne connaissais pas.

Certains passages me font penser à "Somewhere over the rainbow"
https://www.youtube.com/watch?v=MXJ2Q0F8H80

[jean-séb]

https://www.youtube.com/watch?v=JHM3zMBQxTQ
DVORAK Song to the moon
Sans doute un tube mais je ne connaissais pas.
Certains passages me font penser à "Somewhere over the rainbow"
https://www.youtube.com/watch?v=MXJ2Q0F8H80

Ah ben oui, c'est THE tube de Renée Fleming qui a interprété ces vingt dernières années Rusalka avec succès de nombreuses fois (notamment à New York et Paris) et a un peu fait redécouvrir cet air. Il a été donné en bis dans un concert au théâtre des Champs-Elysées où j'étais mercredi dernier (Irini Kyriakidou, femme de Bryan Hymel).

[Stereden]

https://www.youtube.com/watch?v=xfL5D_MN5bE

[pianojar]

Pour sortir un peu des sentiers battus ce soir et en rediff

http://www.mariinsky.ru/en/playbill/pla ... 26/3_1900/

Ivan Dzerzhinsky - Quiet Flows the Don

WIKIPEDIA
"Dzerzhinsky consulted Shostakovich while composing the opera Quiet Flows the Don to a libretto adapted by Dzerzhinsky's brother, Leonid, from the Sholokhov novel And Quiet Flows the Don. According to Leonid's own account, he utilized Sholokhov's work motifs, freely rearranging and adapting to the purpose of accentuating the dramatic aspects of the plot and to condense as much as possible of the novel's social significance within the confines of the operatic format.[2]

This opera was premiered at the Leningrad Malïy Opera Theater in October 1935. Stalin saw the work on January 17, 1936 and immediately recognized its propaganda value. Its subject was heroic and patriotic; it glorified the spirit of the Don Cossacks, whose support would become necessary in the event of war (a war that, incidentally, seemed increasingly inevitable); and its music was both lyrical and immediately appealing. Sholokhov's novel, whose first edition was the basis of the opera, was later hailed: "...with its substance, construction, style and symbolism [it] is one of the most notable contemporary literary works of the Soviet Union. The author's selected setting is the Don Cossacks, their life and ways, class struggle, schisms and seesaws, that define and evoke the patriarchal order of Cossack life, the first imperialist war, the revolution and people's struggle. The great events of history are made manifest in the quietude and tranquility of Cossack life suffering a total upheaval, degenerating into in a bloody struggle."[2]

Within weeks Quiet Flows the Don was proclaimed a model of socialist realism in music and won Dzerzhinsky a Stalin Prize (Ironically, Stalin saw Shostakovich's opera Lady Macbeth of the Mtsensk District at the same theater nine days after attending Quiet Flows the Don. His disapproval of Shostakovich's opera set the stage for its composer's official denunciation, which lasted until Shostakovich wrote his Fifth Symphony.)[1]

Due at least in part to official praise, Quiet Flows the Don proved wildly successful, reaching its 200th performance in May 1938. However, its undistinguished musical style—lyrical and folkloric in style but not based on any true folk songs—possessed little potential for future development. Dzerzhinsky wrote his next opera, Virgin Soil Upturned (Podnyataya tselina), in 1937. Also based on a Sholokhov novel, it is tauter dramatically and is similar in musical style to its predecessor. Nevertheless, it failed to repeat the success of Quiet Flows the Don—nor did any of Dzerzhinsky's subsequent operas.[1]"

[pianojar]

Découvert suite à mon écoute des sonates de Scarlatti par Alice Ader et comme en ce moment j'ai écouté pas mal de Lekeu : 3 poèmes
https://www.youtube.com/watch?v=t81nK6D93qA

[Kât]

Grâce au nouveau thème lancé par Strumpf (merci Strumpf de me pousser à jeter une oreille ailleurs que chez Schubert ou Bach!!) j'explore les mélodies de Dvorak. Des choses magnifiques dans les opus 55 et 83...

Dvorak Als die alte Mutter -Verrett -Wilson

[Kât]

L'opus 55 au complet par Bernarda Fink et Roger Vignoles:

Dvorak-Songs op55

[Arabesque44]

L'Aria duetto de la Cantate BWV 758 de JS Bach.
J'y ai pensé après avoir entendu le duo Kat/Caralire à Beuvray dans la "Barcarolle" des Contes d'Hoffmann.
Un Aria tout simple, joyeux et cependant si poignant qu'il me met à chaque fois les larmes aux yeux.
Il y a aussi des versions pour soprano + contre-ténor, mais je préfère les voix de 2 femmes pour ce duo.
A préparer pour Beuvray 2017... en programme libre!
https://www.youtube.com/watch?v=ujLK28Nlmq4

[chantal313]

Bien que le piano en soit absent, j’ai un faible pour les « quatre derniers lieder » de Richard Strauss, en particulier pour les 3ème et 4ème, dans l’interprétation d’Elizabeth Schwarzkopf :

https://youtu.be/Cs0vSC9DUhU?t=9m23s

[jean-séb]

L'Aria duetto de la Cantate BWV 758 de JS Bach.

Dans mes bras, Arabesque, mais BWV 78, s'il te plaît. Un de mes airs absolument favoris, de la danse à l'état pur, une musique que je voudrais à mon enterrement, qui m'évoque, pardonnez ma naïveté, des petites âmes qui volètent joyeusement vers l'au-delà ! Je pourrais écouter ça en boucle des heures durant, et j'ai complètement usé le sillon de mon disque noir sur lequel j'avais découvert cette pure merveille.
Très belle version, au demeurant, que celle que tu nous mets.

[jean-séb]

Bien que le piano en soit absent, j’ai un faible pour les « quatre derniers lieder » de Richard Strauss, en particulier pour les 3ème et 4ème, dans l’interprétation d’Elizabeth Schwarzkopf :
https://youtu.be/Cs0vSC9DUhU?t=9m23s

Ah, mon Dieu, c'est aussi dans cette version que je les ai découverts, ces quatre lieder si anachroniques mais si émouvants, si nostalgiques. Bon j'écouterai ceux-là d'abord, et Bach ensuite pour reprendre espoir.

[Kât]

Ah oui Arabesque tu nous en avais parlé! C'est très beau en effet, très aérien, et en ce qui me concerne, parfaitement pas pour ma voix qui tient plus du tracteur que de l'ange qui volète je passe mon tour!
Je trouve d'ailleurs que l'alto de ta version s'en tire très bien, dans un texte vraiment pas évident pour ce genre de voix.

[Moderato Cantabile]

Un peu de douceur exotique , sur les ailes du chant ....

https://www.youtube.com/watch?v=Xfj4thZrFj4

[Midas]

L'Aria duetto de la Cantate BWV 758 de JS Bach.

Dans mes bras, Arabesque, mais BWV 78, s'il te plaît. Un de mes airs absolument favoris, de la danse à l'état pur, une musique que je voudrais à mon enterrement, qui m'évoque, pardonnez ma naïveté, des petites âmes qui volètent joyeusement vers l'au-delà ! Je pourrais écouter ça en boucle des heures durant, et j'ai complètement usé le sillon de mon disque noir sur lequel j'avais découvert cette pure merveille.
Très belle version, au demeurant, que celle que tu nous mets.

Je plussoie bruyamment, cette musique est divine. Elle me rappelle les dimanche matin de ma jeunesse, mon père la mettait à pleins tubes pour réveiller les traînards, ou le magnificat, au choix. Et tu as des points communs avec ma mère-grand, qui voulait le magnificat pour son enterrement, précisément.