- système d'accord choisi
- inharmonicité propre du piano qui sert de cobbaye
Cas "gamme bien tempérée classique" du moins l'interprétation que j'en donne pages 4-5-6-7 de ce fil (au sortir de l'octave La2-La3 [La3-La4] ) :
Do3-Do4 = pure ou 0,2 - 0,5 bats/sec env (à cet endroit ce sont les quartes qui servent de paramètre pour dilater plus ou moins ainsi que les progression de sixtes ainsi que le synchronisme tierce-dixième ayant la même note de basse). Do4-Do5 = 1,5 b/s . Fa4-Fa5= 2 - 2,5 b/s . Do5-Do6=4 - 5 b/s
La progression de rapidité est quelquefois plus lente entre Do3 et Fa4 (grosso modo) pour éviter les sautes d'humeur des dixièmes qui ont parfois tendance à s'accélerer trop rapidement , et aussi pour conserver la propension qu'ont les quintes à devenir de plus en plus justes dès Do4-Mi4 env et ensuite à la conserver jusqu'aux aigus
Cas système "cordier" :
Do3-Do4 = 1 b/s . Do4-Do5 = 2 b/s . Fa4 -Fa5= 3 b/s Do5-Do6 = 4 /5 b/s (4 absolument dans le cas d'excellents pianos

Mêmes remarques que ci-dessus tout en précisant que malgré d'éventuelles tricheries sur la progression des battements d'octave (plus lente) pour garder une bonne progression des 10° entre Do3 et Sol4 (grosso modo) , les quintes conservent leur justesse apparente (merci l'inharmonicité ! ...)
Il demeure évident que les octaves doivent être les plus progressives possible entre les balises qui ont été décrites ci-dessus ! Dans tous les cas de figure ! ... Les double-octaves auront des dimensions proportionnées aux valeurs des octaves aux perturbations dues à l'inharmonicité près ! ...

On remarquera du même coup pourquoi les aigus obtenus à partir de Do6 pourront avoir une hauteur plus ou moins importante ... Imaginez ce qui se passe lorsque les octaves restent pures ... on peut avoir 10 bats/sec entre un Do6 obtenu en "cordier" et un Do6 obtenu par une succession d'octaves plates ...

Je considère les "valeurs" en "cordier" comme extrémité à ne pas dépasser ! D'une part elles sont suffisantes pour bien rééquilibrer les dessus par rapport aux médium sur le plan musical et , d'autre part , de décomprimer les valeurs acoustiques des intervalles ou accords , d'aérer en somme des hauts médium (notamment) habituellement congestionnés et ce d'autant plus que les octaves sont plates et que l'inharmonicité est forte ... relire ici: "Délires de ..." ou LA
J'évite les octaves plates comme la peste ...