Cher Patrice,
Je m'aperçois que le sujet de notre débat a dérivé.
Vous décrivez la complexité de l'instrument. Je suis d'accord.
Vous décrivez le bonheur que ressent le pianiste en jouant tel instrument. Je suis d'accord.
Encore que ma
petite expérience du jeu au piano ne me conforte pas (encore) sur ce point.
En effet, j'ai joué sur une douzaine de pianos à queue dans un magasin du bd st Germain à Paris.
Aucun ne me plaisait. Si, le dernier, celui qui était le plus près de l'entrée: Steinway A (55 k€).
Merci, la magie du piano complex. Bon, mais, admettons...
J'ai joué le C3 de jean-séb....du bonheur, c'est vrai, mais stressé comme j'étais.....pffff.....
J'ai joué l'Erard de Rubato. Même si je n'aimais pas le son de ce piano, je reconnais que, lorsque nous avons changé de pièce et joué sur son Kawai numérique, j'étais comme frustré du manque drastique de...de.....enfin, par comparaison, c'était nul, quoi....
J'ai effleuré l'allemand de Dominique....magique, l'allemand...
Pour les autres, entrée de gamme genre WL à 4k€...bof....
Cette magie, que vous tous, décrivez, est le
SEUL avantage du piano.
Considérant le nombre important d'inconvénients, ça coùte un peu cher la magie du pianiste (pas de l'auditoire).
Pas rentable, le piano.....
Et arrêtez vos dénigrements, SVP, ça me fera des vacances....
burns